Me and the good boy

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Et oui, je suis toujours en vie. Je sais que ça va faire un bon moment que je n'ai pas publier de chapitre. Mais en fait, je n'ai juste pas eu l'envie et l'inspiration. Mais là, j'ai complètement fini de tapé l'histoire. Donc, je devrai pouvoir publier régulièrement.

PDV de Laure

Je suis dans la voiture de mon kidnappeur, c'est à dire Keyan. Il viens tout juste de me dire qu'il me trouve mignonne. Je ne dis pas que je suis vraiment heureuse que lui il le pense mais on me dit plus "tu es bonne au lit "  que "tu es mignonne".

Moi : Wouaw.

Keyan : Quoi?

Moi : C'est la chose la plus gentille que l'on ai pu me dire.

Keyan : On ne te le dis pas souvent?

Moi : On me le dis jamais. On me dit plus "tu es bonne au lit". Pas ça! J'ai pas l'habitude.

Keyan : J'ai vu ça. Parce que lorsque l'on fait un compliment à quelqu'un, il faut la remercier.

Moi : Merci.

Keyan : Attends quoi?

Moi : Je ne le répéterai pas pour tes oreilles.

Keyan : C'est pas grave. Je l'ai entendu. Je regrette juste de ne pas l'avoir enregistrer.

Moi : De toute façon, même si tu l'avais enregistré je t'aurais défoncé.

Keyan : Ou tu m'aurais embrassé.

Moi : Tcha. Pourquoi j'aurais fait ça?

Keyan : Parce que, hier tu ne m'as pas repousser tout de suite.

Moi : Ça ne veux rien dire.

Keyan : Donc si je t'embrasse tu ne me repousseras pas.

Moi : Bien sûr que oui.

Keyan : Tu en est sûr?

Moi : Oui. Je tiens à ma vie, tu vois.

Keyan : Tu crois vraiment que tu vas mourir ?

Moi : Vu que tu conduis et que tu as beau être le fils du pire ennemi de mon père, tu ne vas pas dire que tu aimes le danger.

Keyan : Qui te dit?

Moi : Tu es un intellectuel.

Keyan : C'est pas vrai.

Moi : À bon? Tu as combien de moyenne?

Keyan : 18 mais...

Moi : Donc tu es un intellectuel. Et tout les intellectuels ne risque pas leur vie.

Keyan : Ça ce ne veux rien dire. On en parle de toi?

Moi : Quoi moi?

Keyan : Une allure de bad girl pour masqué ta douleur.

Moi : ...

Je dois avouer qu'il a raison sur ce point mais je ne lui avouerai jamais.

Keyan : Alors tu as perdu ta langue.

Moi : ...

Keyan : Parle moi.

Moi : ...

Keyan : Ne m'oblige pas à t'obliger.

Moi : ...

Il arrêta la voiture et posa ses lèvres sur les miennes pour tout de suite les enlever.