La douleur
Est dans mon coeur,
Ce qui a compté un jour
Restera toujours.
Mais je n'étais qu'une passagère,
J'espérais le contraire
Pourtant je n'étais qu'éphémère
Dans ta vie solitaire.
Et quand je vis la nuit
Tu vis le jour,
Quand je vis le jour
Tu vis la nuit.
Deux opposés,
Tout n'est qu'apparence,
Elles font partie de la même danse
Mais elles sont aveuglées.
Oubliée, Remplacée,
Elle n'était qu'un jouet.
Au coeur de la nuit elle pleure
Et déverse tout son malheur.
Dis-moi juste que tu me tend ta main,
Dis-moi juste que tu seras encore là demain.
Tu ne le feras pas,
Car tu n'es plus là.
L'ange est partie,
Emportant une partie de la vie.
Dis-moi que je n'étais pas elles,
Dis-moi que je ne suis pas une de ces demoiselles.
Pourtant je le suis
Puisque tu es partie.
Juste un signe dis-moi,
Tu as emporté une part de moi avec toi.
Et m'en a donné une nouvelle,
Ton souvenir
Aujourd'hui me fait sourire,
Au revoir petite demoiselle.
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Il n'y a parfois que le temps pour oublier. Douleur peut devenir douceur des souvenirs, comme aujourd'hui quand je rajoute une dernière strophe.
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Petits poèmes perdus au fond d'un carnet
PoetryJ'ai un petit carnet, Il ne me quitte jamais, Il amasse toutes mes idées, Chacune de mes pensées, Il est mon meilleur confident, Car il me comprend tout simplement, Il est bien le seul dans cet univers, Car je n'ai plus vraiment les pieds sur Terre...
