Je serai ta dernière image,
Moi qui ai sombré dans la rage,
Tu m'y as violemment poussée,
Puis enfermée à l'arrivée,
Mais ces murs je les ai brisés,
Pour revenir et me venger,
Je t'avais donné ma confiance,
Mais tu m'as appris la méfiance,
Tu avais raison je suis sourde,
Sourde de tes paroles lourdes,
C'est à mon tour d'être blessante,
Oui, je peux être méchante,
Tu as sous-estimé ma force,
Tes règles j'y fais une entorse,
Pour te porter le coup fatal,
C'est moi qui te serai létale,
Ces mots sont ma libération,
De cette vile relation,
Tu m'es totalement néfaste,
Notre lien est un vrai désastre,
Tu as été un vrai fléau,
Caché derrière ses beaux mots,
Mais j'ai ouvert les yeux,
Prépare donc tout tes adieux,
Nous ne sommes désormais rien,
Qu'un bourreau et son assassin,
Je te méprise à jamais,
Je te hais et te haïrai,
Je veux ta fin et l'obtiendrai,
Par tous les moyens je l'aurai,
Nous n'existe plus à présent,
Il me faudra beaucoup de temps,
Je ne pense pas pardonner,
Mais je pourrai peut-être oublier,
Et c'est ainsi que tout s'achève,
Notre amitié n'est plus qu'un rêve.
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À tous ceux qui sont emprisonnés dans une relation empoisonnée.
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Petits poèmes perdus au fond d'un carnet
PoetryJ'ai un petit carnet, Il ne me quitte jamais, Il amasse toutes mes idées, Chacune de mes pensées, Il est mon meilleur confident, Car il me comprend tout simplement, Il est bien le seul dans cet univers, Car je n'ai plus vraiment les pieds sur Terre...
