- Ah oui, eh bien on va voir ça... Viens chérie, viens.
Elle saisit sa pelle et en fit retomber le tranchant sur le pied du gars le plus proche. Il hurla. Ils se précipitèrent sur elle. Ils l'attrapèrent et elle eut beau se débattre, elle n'échappa pas à leur étreinte. Ils l'attachèrent à une croix et au moment où l'un des jeunes allait taillader à coups de cutter le jean de la fille, un long gémissement monta du trou qu'elle était en train de creuser. L'un des garçons alla voir ce qui pouvait bien avoir provoqué ce son, mais alors qu'il se tenait près du trou, une main armée d'une machette sortit et lui coupa les deux jambes. La victime s'effondra et porta ses mains aux moignons qui, encore quelques minutes auparavant étaient des jambes. Il hurla et alors que ses copains se précipitaient pour l'aider, une sorte d'homme tout couvert de terre à qui il manquait un bras, sortit du trou et toujours armé de sa machette se donna comme devoir de trucider ceux qui avaient troublés son repos. Il s'approcha près d'un jeune coincé entre deux tombes et lui enfonça sa machette dans le ventre jusqu'à ce que sa victime se soit entièrement vidée de son sang et de ses boyaux. Ces derniers tombèrent d'ailleurs sur les pieds du tueur avec un bruit mat dégouttant. Il coupa la tête d'un autre, cette dernière roula dans le trou fraîchement creusé tandis que le corps sans tête s'effondrait par terre, dans une mare de sang. Il réserva un sort particulièrement atroce au quatrième : il lui arracha avec ses dents un morceau de son cou. La dernière chose que vit sa malheureuse victime fut le tueur qui avalait sa Pomme d'Adam et qui éclata de rire en voyant ce pauvre humain se tortiller sur le sol ensanglanté. Le seul qui n'était pas encore mort eut la tête écrasée dans un fracas d'os brisés et de sang...
Après que le tueur soit parti, la fille, qui était resté jusque là cachée, sortit et décida de continuer le travail avait commencé : elle s'approcha du garçon n'ayant plus de tête, saisit et enleva une croix en bois d'une des tombes avoisinantes pour l'enfoncer dans le coeur du jeune. Ce pieu improvisé traversa la cage thoracique de part en part pour se planter dans le sol en terre. Puis elle décida d'achever l'unique rescapé de ce massacre. La personne en question n'était autre que celui qui eut les jambes tranchées. Elle s'approcha de lui et lui murmura dans le creux de l'oreille : alors, t'as encore envie de me baiser ? Elle s'agenouilla, ôta le pantalon du jeune, puis son caleçon, se pencha, pris le sexe du garçon dans ses mains, le porta à sa bouche, commença à le sucer et tout à coup, elle le lui coupa d'un féroce coup de dents. Il hurla. Elle prit ses bourses dans son autre main et les lui broya. Le pauvre homme mourut sur le coup, avec une horrible expression de souffrance figée à tout jamais sur son visage. Jugeant que son travail n'était pas encore terminé, elle prit le cutter dans la poche d'un des jeunes et lui trancha les testicules d'un coup net et bien placé.
Elle essuya ses mains ensanglantées sur son jean, puis elle baissa ce dernier, s'accroupit sur le cadavre et urina dessus. Elle se rhabillât et partit, fier de son travail...
Le lendemain, en cours, cinq personnes manquaient à l'appel : Marc, Nicolas, Florent, Cédric et Antoine. Le proviseur du lycée expliqua aux élèves que ces cinq jeunes avaient été retrouvés dans le cimetière près du lycée, tous atrocement mutilés. Tous furent choqués de la nouvelle et le proviseur leur demanda d'observer une minute de silence à la mémoire des disparus. Pendant cette minute, Claudia, la fille la mieux roulée de tout le lycée, décida qu'elle irait, dès la fin des cours, au cimetière voir de ses propres yeux le lieu du massacre. En effet, cette magnifique brune mesure 1m75, à une superbe figure, ne porte que des vêtements moulants qui font ressortir un cul magnifique, et qui n'a jamais de soutien-gorge étant donné qu'elle les fait tout le temps exploser. Une autre personne eut quelque chose à faire pendant cette minute : cette personne n'était autre que Guillaume, un petit merdeux fan des blagues à 2 balles qui sortit tout haut :
"Maintenant que Marc est mort, il aura plus besoin de tailler son bouc". Cette remarque déplut au proviseur qui le colla pour les dix samedis après-midi suivant...
Claudia parla de son idée avec ses deux meilleurs copains qui la traitèrent d'entrée de jeux de folle. Elle prit alors une voix douce, sensuelle et fit ressortir sa poitrine en leur disant :
"Vous savez, j'irai avec ou sans vous. Mais ce serai plus marrant qu'on y aille à trois, et puis après, on pourrait faire un tour chez moi, j'ai une superbe chambre avec un très grand lit... Vous ne regretterez pas le déplacement..."
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L'horreur est dans le lycee
HorrorDe l'horreur, du glauque, du malsain poussé à l'extrême, c'est le but recherché. En espérant que vous apprécierez ce texte. Cojeval