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Certains profitèrent du lycée désert pour y organiser une petite fête avec beaucoup de filles, ainsi que des films d'horreur et XXX. Ils se donnèrent rendez-vous le soir même, pour fêter cet arrêt momentané des cours. Ils étaient tous réunis dans le hall où, pour l'occasion, avait été amenée la télévision. En effet, le hall avait été reconverti: contre les murs étaient les tables avec alcool et autres amuse-gueule  et il y avait au centre de la pièce, un trou appelé la piscine où ils dansèrent. La tequila coulait à volonté et dès qu'ils furent bien saouls, ils commencèrent à passer les films. C'est ainsi que pendant qu'ils regardaient "Confessions torrides", Guillaume et Florianne eurent l'idée d'imiter le film. 

"Dis donc Guillaume, est-ce que je te fais envie? murmura Florianne à l'oreille du garçon.

- Oui , répondit-il, celui-ci n'avait jamais rencontré l'occasion de baiser une fille et pour dire la vérité, il n'était jamais sorti avec une fille et s'en lamentait.

- Alors, viens avec moi, dit-elle en l'embrassant". 

Guillaume la suivit dans une classe et il découvrit que non seulement Florianne ne portait pas de culotte mais que c'était aussi une grosse salope ....

Ils commencèrent par s'embrasser, puis ils se déshabillèrent et Guillaume pénétra Florianne. Ils firent l'amour sur les tables, contre le mur, et même sur le sol. Mais leurs camarades laissés dans le hall n'étaient pas sans reste. L'alcool ayant levé les inhibitions des jeunes, les filles avaient enlevé pull et sous-tifs et étaient maintenant torse nu pour le plus grand plaisir des garçons qui pensaient au pied qu'ils allaient probablement prendre. Et ils le prirent ...

Mais à cause de leurs cris de plaisirs, ils n'entendirent, ils n'entendirent pas les gémissements se rapprochant. La porte du sous-sol s'entrouvrit. Une forme en sortit et se dirigea vers les portes qu'elle ferma. Puis la forme sortit de l'ombre et se dirigea vers le groupe. Julie était sous Fred, quand quelque chose traversa de part en part son partenaire. Julie vit une main tenant un cœur encore chaud et palpitant. La main lâcha le cœur qui atterrit sur la poitrine de la jeune fille maintenant recouverte de sang. Julie cria et les autres arrêtèrent leurs ébats pour se précipiter vers les portes qui étaient fermées. Le tueur s'approcha et armé de sa manchette, il trancha toute une rangée de têtes, lacérant et tranchant les chairs, faisant gicler le sang sur les murs. Il s'approcha ensuite de Aurélie, la souleva et la jeta à travers une vitre qui se brisa en mille petits morceaux tranchants. Aurélie retomba sur le verre et s'empalât dans un bruit de chairs coupées et de sang qui coule. Le tueur s'approcha ensuite de Nathalie, l'assomma, la coucha par terre, les jambes écartées pour découvrir son sexe, puis il lui attacha les mains et alla chercher une bouteille de champagne dont il cassa le goulot avec sa manchette  pour que les bords soient bien tranchants. Il s'accroupit en face de Nathalie et lui enfonça la bouteille dans le vagin. La fille se réveilla et hurla. Le meurtrier continua d'enfoncer la bouteille dans la chatte de la fille jusqu'à ce que son sexe saigne. Il retira alors la bouteille et laissa Nathalie agoniser par terre, son sexe déversant un sang chaud qui s'étalait sur le carrelage  froid où elle était couchée. Il s'approcha ensuite de Julie, coincée sous le corps de Fred, laissa tomber sa manchette, et décida de la faire souffrir étant donné que c'était la seule survivante. Il sortit de sa poche un couteau et l'enfonça  dans le poignet droit de Julie qui cria. Il enfonça un deuxième couteau dans son poignet gauche et tourna les couteaux faisant jaillir le sang sur le sol. Il redressa Julie qui n'était pas encore morte et enfonça les couteaux qu'elle avait dans ses poignets dans le mur et sortit deux autres couteaux qu'il enfonça cette fois-ci dans les jambes de sa malheureuse victime. Julie ainsi crucifiée, ne pouvait plus bouger: c'est alors que le tueur sortit de son autre poche une paire de ciseaux. Il la posa sur le téton gauche de Julie; tira son téton d'une main et d'un coup de ciseaux, il le lui trancha. Il fit de même pour l'autre et pendant que la jeune fille hurlait, le tueur alla chercher un verre en plastique. Il revient et malaxa les seins de Julie pour que s'écoule son lait dans le gobelet dont il s'empressa de boire le contenu. Puis, il alla chercher une hache, la leva et en fit descendre le tranchant sur la tête de Julie. La hache figée entre les deux yeux, une moitié enfoncée dans le mur, l'autre enfoncée dans la tête de la fille. Le sang coula sur le corps de Julie tandis que des bouts de cervelle tombaient par terre.

Guillaume et Florianne avaient assisté au massacre de leurs amis, cachés dans la salle de classe. Ils savaient que s'ils étaient sortis, le tueur les aurait attrapés et aurait fait subir un sort analogue à celui de leurs amis. Ils regardèrent le tueur partir et quand ils se crurent sortit d'affaires, le monstre apparut dans l'entrebâillement de la porte. Il poussa la porte et Florianne, appuyée contre cette dernière, valsa sa tête et heurta une table. Elle s'évanouit. Le tueur attrapa Guillaume, l'attacha à une gaine d'alimentation en gaz. Il attacha aussi Florianne à une autre gaine à l'autre bout de la salle, la réveilla d'une claque et lui colla juste sous les yeux de scotch hérissé d'aiguilles. La jeune fille ne pouvant fermer les yeux sous peine de s'arracher les paupières contempla le triste spectacle qui allait s'offrir à elle. Le tueur revint vers Guillaume toujours attaché , considéra sa victime, et enfonça sa main griffue dans le ventre du garçon. Il en retira un foie tout chaud qu'il porta à sa bouche et dont il avala un morceau. Guillaume mourut sur le coup. Le tueur laissa sa proie tomber à terre et s'accroupit à côté. Il commença à gober un œil, qu'il recracha à l'autre bout de la pièce. Il alla chercher une paille sur la table où se trouvaient gobelets et bouteilles, revient auprès de sa victime, mis la paille dans la cavité oculaire privée de l'œil, et enfonça la paille jusqu'au cerveau, qu'il aspira avec un répugnant bruit de succion. Il recracha la paille, sortit un couteau, l'enfonça dans la cage thoracique et ouvrit ainsi le corps de Guillaume. Il découvrit les côtes qui protégeaient les poumons, les cassa une par une puis arracha le cœur et les poumons. Il s'intéressa ensuite aux tripes qu'il sortit et qu'il étala sur le sol. Il en pris une poignée et trancha les boyaux en deux. Il saisit un des deux bouts, le tint au-dessus de sa bouche et aspira le contenu tout chaud de l'intestin. Il aspira la moelle avec la paille qu'il avait utilisée pour aspirer le cerveau du garçon. Il termina son travail en prenant une chaise  qu'il fracassa sur la tête de Guillaume.

Il décida ensuite de s'occuper de Florianne. Il saisit une agrafeuse, attacha la jeune fille, les jambes écartées  sur une table avec une corde qu'il avait amenée puis réveilla sa future victime. Le tueur saisit alors l'agrafeuse, écarta les jambes de Florianne, toucha et masturba son sexe, puis mis l'agrafeuse sur la bouche de Florianne et lui agrafa les lèvres. Il posa ensuite l'agrafeuse sur le sexe de Florianne et lui agrafa les petites et grandes lèvres. Elle mourut sur le coup. Il la souleva ensuite et la frappa  contre un mur.

Le tueur n'avait pas fini son travail; il rassembla les morts dans le hall et fit un tas.

Quand le lendemain les flics entrèrent dans le lycée pour faire leur ronde habituelle, ils virent une vision d'horreur presque apocalyptique: environ cinq corps étaient dans la piscine à flotter dans une eau ensanglantée. En plus, des têtes tranchées étaient posées sur des bouteilles pleines de sang.

Le lycée fut encore fouillé mais aucune trace du tueur.

Une nouvelle journée de terreur passa. Claudia était cloîtrée chez elle et elle se masturba toute la journée sur le lit où Brice était mort. Quant à Pierre, il pensait à Claudia et à tous ces meurtres.        

L'horreur est dans le lyceeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant