Et l'artiste a au bout de ses doigts une douce paroles que l'on susurre avec tant de mal dans l'oreille d'une âme meurtrie du regard que porte l'être supérieur sur ses vêtements informes, dépareillés. La main gauche, l'air sinistre, bat de l'indexe en pointant la souffrance du monde, harmonisant l'amertume du père qui ne dit rien devant le regard cristallisé d'un adolescent. La mails droite, pianotant les notes de sa conscience faufilé dans recoins méconnu. Le moi aveugle beuglant tout ce qu'il aimerait voir et ne plus entendre. Le moi fou. Dans un coin de la pièce cérébrale, rouge jusqu'au joue. Se bouchant les oreilles et criant son complexe de ses paupières cousues à ses pommettes. Petit ultrasons faisant vibrer et émoustiller l'imagination.