Il y a beaucoup trop d'interférences entre ton humain et le mien. Alors ne pleures pas pour moi. Tu m'as déjà vue... Fond gris, arrière pensée passionnée et frissons. Mais pour autant, mon corps crie de n'être pas celui qu'il espérait. Je n'ai d'angoisses dans ce petit carré où seuls les rats savent se tenir débout. Mon oreille droite capte la souffrance du monde et pourtant ça ne sait m'atteindre. Mes pensées seraient gardées par une griffe, coincée devant mon tympan, et si tu t'y glisses...la griffe te lance un venin qui ne te permettra jamais à atteindre ton but. Le but qui te passionne ou qui t'a passionné. Le but de comprendre l'énergumène qui n'avait pas les yeux émotifs, dont les lèvres tremblantes ne parvenait pas à te parler comme ton humain l'aurait fait. Alors les sons n'atteignent pas mon soi qui guide mes pensées. Alors je reste égoïste et va voir ailleurs si mes pensées y sont.
J'ai rêvé un tas de fois de ce regards, de ces yeux de biche, de félin,... Celui qui entrera au contact de mon soi. Un regard étranger, pas le miens. Ne pleure pas pour moi. J'aurais essayé de te donner mes yeux pour que tu vois alors ne me donnes pas te bras pour en redemander.
Tu vois comme tout reste encore flou même avec des mots et non des regards. Restes flegme et respire l'air que tu partages encore avec tes congénères. Sans doute une façon de te rassurer que tu ne manque de rien. Ne pleures pas pour moi...