prisonnière à tout prix

chapitre 4

Je vais le tuer c'est certain. Il se prend pour qui? Je suis une fille gentille, qui n'aime pas les disputes et qui n'a même pas d'amis car elle ne peux pas supporter l'hypocrisie. J'ai 24 ans,je suis un adulte vacciné très responsable.

Pour ceux qui me connaisse,je suis une vraie gamine. Mais de quel droit me fait-il des insinuations si déplacé?
Lui un simple inconnu?

_De quel droit osez vous? Je ne vous connais ni d'Adam ni d'Ève et vous m'insulter?
_Moi,vous insultez? Ce n'est que la vérité dit-il en me regardant une fois de plus avec dégout. Vous méritez le pire!

        Oh doux Jésus! Retiens moi. Je vais commettre un meurtre.J'aurais dû écouter mon sixième sens. Je suis si renfermée.je ne sors presque jamais si ce n'est pour le travail. Et lui,vient gâcher ma sortie en estimant que je suis une trainée. J'ai un grand problème avec le monde.

D'abord,la nature me prend mes parents sans aucune explication,et maintenant ça.

Les larmes me montent aux yeux,sans que je m'y attende,elles commencent à couler. Je suis trop sensible parfois! Je baisse ma tête pour ne pas qu'il se moque de moi. C'est ce que font la plupart des hommes en voyant une femme pleurer.je trouve cela méchant! Très méchant!

Mes larmes n'arrêtent pas de couler à mon plus grand regret.je sens une main passer le long de mon visage.Mes larmes redoublent,l'accident de mes parents me revient en mémoire, L'annonce de la mort de mon petit frère.je mérite tout ça. Je suis maudite.Il a raison. Je mérite le pire.

_vous.....vous pleurer? C'est une blague!

     Je m'en vais.j'aurais jamais du venir. Ça fait trop d'expérience pour une journée,trop d'événement.
           Je prend mon sac.pousse cet individu devant moi et cours en partant. On doit me prendre pour une folle. Je hais cette soirée.
      Je suis exténué à force de courir. Je suis toujours dans la villa.je ne veux pas renter avec ce visage humide et triste.
   Je suis sortie de cette salle ou j'ai rencontrer le fils du diable sûrement. Je m'avance dans les couloirs. J'aperçois une porte ouverte.

Pourquoi ne pas m'y réfugier en attendant de me calmer. Mmmmm bonne idée. Chose dite chose faite.je poussai la porte et......