Malik- J'ai aussi des photos et des justificatifs de son intégration au foyer votre majesté...
Pétrifié, Amir se trouvait entrain de détailler à son plus grand mal les différents documents de la jeune femme. Il reçut ces informations comme un impacte d'une foudre. Le cœur battant et le regard triste, Amir soupira puis posa les feuilles sur la table avant de lié ses mains contre ses lèvres.
Amir- Merci Mayëk...Tes services m'ont été efficace..Très efficace et je suis navré de t'avoir infligé cela Marmonna t il les yeux rivés river aux feuilles
Mayëk- Quel qu'elle soit votre majesté, je prie pour cette femme qu'elle est un avenir meilleur que ce son passé.
Amir- Ne t'inquiète pas, j'y veillerai personnellement Murmura-t-il d'une voix profonde et méconnaissable
Mayëk s'éclipsa après s'être incliner. Pour la première de sa vie, Amir se sentait assailli par la culpabilité. Cette femme au charme incomparable et au caractère bien trempé cachait donc finalement un lourd passé. Il soupira en se levant puis se mit à faire les cent pas d'un air nerveux. Que pouvait-il y avoir de pire que de se faire abandonner par ces propres parents ?
Il se sentait honteux, honteux d'avoir profiter de cette femme et pour la peine il devra alors reconsidérait son plan de faux fiançailles mais, plusieurs question trottait son esprit torturé. Avait-elle finalement retrouvé ces parents ? Vivait-elle seul ? Était-ce la raison d'avoir commencer ces trafiques ? Si c'était le cas alors comment se débrouillait-elle dans sa vie quotidien ? Avait-elle des problème de justice ? Manquait-elle de quelque chose ?
Un vague sentiment de compassion lui serra le cœur. De base, l'armée l'avait aidé à se durcir, il avait donc appris à geler son cœur et ressentir aucune émotion sauf si c'était de la méprise ou de la froideur mais depuis qu'il avait posé son œil sur la jeune femme et Amir n'avait de cesse à ressentir plein de chose étrange en lui. Il aimerait tant de chose avec elle, il aimerait tant l'aide, à commencer par s'excuser d'avoir était aussi dur avec elle, il aimerait tant prendre soin d'elle, à commencer par la faire protéger de son patron et l'aider à s'en sortir, il aimerait vraiment lui faire du bien et la rendre heureuse même si elle avait tenté de le voler. D'ordinaire, rien ne pouvait atteindre le prince, mais cette fois ci c'était différent. Pendant plusieurs années aucune femme n'avait réussis à faire en sorte qu'il lui accordait ne serait ce qu'un simple regard et maintenant il semblait plus qu'intéresser à la jeune Leila. Pendant plusieurs années, il avait été confronter à des problèmes aussi triste et rude les unes des autres dans sa vie quotidien mais malgré cela, il gardait toujours son sang froid mais en apprenant davantage sur la vie de la belle, Amir eut une folle envie de crier sa colère sur le monde entier et aller la rejoindre. C'était si nouveau, si étrange, qu'il ignorait comment expliquer ce qu'il lui arrivait.
Le prince du Maroc tournait tel un lion en cage car plusieurs détailles lui échappèrent. Pas de compte en banque, aucune inscription à la fac, ni poursuite d'étude, elle n'était ni enregistrée aux yeux de l'état française, ni dans les hôpitaux, ni ailleurs. Comme ci à partir de ses 18 ans Leila s'était effacée aux yeux de la France , et il se demandait même si c'était peut être son patron Quassim qui était derrière tout cela. Il serra ses poings puis partit à sa rencontre d'un pas déterminé pour obtenir des réponses à ses questions.
Lorsqu'il arriva enfin devant la porte de sa chambre, l'homme s'arrêta net. La jeune femme semblant parler au téléphone, doucement, il ouvrit la porte puis se mit à l'écouter discrètement en l'observant par l'entrebâillement. Amir déglutit en observant la jeune Leila dans toute sa splendeur, elle était habillée d'une simple robe patineuse blanche qui soulignait toute son innocence, ces épaules tout comme ces jambes étaient nues jusqu'aux mi-cuisses, sans oublié ces des spartiates montante en or à ces pieds, on aurait cru voir une déesse de la Grèce antique, elle était magnifique à voir. Ces cheveux fin comme des fils de toiles d'araignées brillaient, sa bouche pulpeuse qui demandait qu'à être saisie le fascinait et sa poitrine opulente qui se levait à chaque respiration le rendait tellement fou de désir. Il sourit tendrement sous le charme jusqu'à entendre le nom de son pire ennemie ce qui changea très vite son humeur. Il fronça des sourcils, contenant sa colère, tout en se résignant de rentrer puis écouta attentivement la conversation en se demandant par quel moyen avait-elle réussit à joindre Quassim.
Leila- Bon sang Quassim, tu ne te rends pas compte de la situation ! Tu m'as abandonné ! Je peux savoir où tu es ? Demanda-t-elle légèrement fâchée
Quassim- Ce que tu peut être conne putain ! T'as fait foiré ma plus grosse mission de ma carrière, ta mère ! J'avais tout misé sur toi et là tu te fait chopé ? Tel une débutant en plus ? t'es pathétique Leila ! Tu te rend compte combien de tune j'ai perdu pour ta petite gueule de merde ?! Et c'est à moi de te demander où t'es ? Parce que la vie de ma mère, quand je vais te choper mais qu'est ce que t'es dans la merde ! Hurla-t-il en colère
Leila- Le prince m'a attrapé, il est très dangereux Quassim, tu ne m'avais pas donné ce détail ! Al Hamdoullillah il m'a pas jeté en prison mais je reste tout de même coincée dans une cage dorée !
Quassim- J'en ai rien à foutre de ta gueule c'est bon ? C'est ton problème maintenant, à toi de t'en échapper, je peux pas t'aider, tu sais bien que je dois passer inaperçu imbécile, le monde entier est à ma recherche, tu crois vraiment que je vais revenir pour ta gueule ? Réfléchi un peu Leila wAllah.
Leila- T'es sur de toi ? Bien, c'est parfait ! Alors je me tire de tes services, c'est fini Quassim je ne veux plus travailler pour toi !
Il rit.
Quassim- Tu te fous de ma gueule j'espère ? Mais alors là ma belle, je suis le plus gros des fils de pute si c'est fini entre nous, retiens bien ça. Tu as oublié notre pacte je crois ? Tu m'appartiens, je t'aide et en échange tu me donne ta vie ou sinon ta mère y passe rien à foutre ! T'es malade toi, tu crois que c'est Monoprix ici, tu viens, tu taffes et tu te casses ? Jamais de la vie ! Menaça t il d'une vois de psychopathe
Leila- Non pas mère Quassim, par Allah ne t'approche pas d'elle ! S'emporta t elle en colère
Elle vacilla puis tomba sur ses genoux près du lit, comme si on lui avait extrait son âme. Leila eut envie de pleurer mais du se retenir de tout son être. Elle ne devait montrer aucun signe de faiblesse ou Quassim pourrait en profiter pour l'achever. Un colère noir monta petit à petit en elle, son interlocuteur la dégoûtait au point qu'elle eut une folle envie de le trucider sur place. Celle ci serra ses poings contre le matelas puis fronça des sourcils d'un air emplit de haine.
Leila- Cesse tes menaces Quassim, je veux arrêter et je fais ce que je veux, tout cela ne mène plus à rien à part de la souffrance. Je suis lasse de mentir au monde entier, lasse de fuir, lasse d'être triste et d'avoir tout le temps ce foutu stress de me faire attraper par les flics. Imagine si ma mère me voit me faire embarquer par l'un d'eux alors que de base à ses yeux je suis qu'une simple fleuriste ! Elle va mourir de tristesse et de déception ! Alors je vais pas me répéter Quassim, je ne travaille plus pour toi et laisse ma mère en dehors de cela espèce de traître ! Bon sang je suis libre de faire ce que je veux ! S'écria t elle au bord des larmes
Quassim- Eh mais il t'arrive quoi enfaîte ? Franchement ça m'est égale, tu es mon plus gros élément Leila, fait pas chier et arrête de dire des conneries parce que tu va le regretter et ta mère je vais pas que la tuer croit moi car tu sais bien de quoi je suis capable !
Leila- TU N'ES QU'UN MONSTRE ! J'ai envoyé plus d'un homme au coma Quassim certain étaient même au bord de la mort sous mes pieds alors je n'hésiterai pas à te tuer si tu touches à un cheveux de ma mère, je vais te faire des dingueries que tu t'en rappellera tout ta vie jusqu'en enfer, ainsi ta mort soulagera la terre entière
Quassim- SALE PUTE, TU SAIS AVEC QUI TU PARLES ?! C'est moi qui t'es tout apprit, déconne pas Leila tu va rien faire ! Maintenant j'en ai plus que qu'assez je te veux devant moi peut importe les moyens, débrouille toi ! Ronaldo viendra te chercher dès que tu es hors du palais ! Rugit il hystérique J'ai une mission pour toi, cela se passe à Marrakesh, tu vas devoir dépouillé un riche Saoudien d'une pierre précieuse, tu as une semaine et demi à partir de demain pour me revenir ou je jure sur ma vie que tu vas la faire dans le cas contraire je descends TOUT TA FAMILLE ! ALORS COMMENCE PAS A ME MENACER SALE CONNE OU LA VIE DE MA MÈRE JE VAIS TE VIOLER !
Et il raccrocha sec. La vision de Leila se brouilla et soudainement elle rugit puis éclata le téléphone par terre. Ivre de colère, elle fit les cent pas pour se calmer jusqu'à voir la porte s'ouvrir. Il ne manquait plus que lui, pensa-t-elle en fixant Amir d'un regard noir.
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Captive du prince.
Storie d'amoreL'une est une voleuse, l'autre un prince. Leur rencontre fit plus qu'une étincelle. Un soir alors qu'elle volait les plans du roi, la jeune femme se fit surprendre par l'impitoyable prince arrogant. Pour pouvoir alors obtenir sa liberté, elle doit a...