Chapitre IV

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PDV Théa

Je me réveille en transe, les mains tremblante de cette vision. Je prends une douche rapide et m'habille en noir. Fais mon sac avec mes affaires de sport. En descendant je me rends dans la cuisine et pris un bol de céréale. Je regarde l'heure, et si je ne veux pas être en retard il faut que je me presse. Je me marche vers ce bâtiment si sombre et pourtant claire avec ses pierres jaunes. Écoutant mes pas sur le bitume du trottoir.

- Salut, tu ne m'a pas appelée hier ?

- Non, je n'ai pas pu, je .... euh .... euh je n'ai pas vu l'heure et mes yeux se sont ferme tout seuls.

- T'inquiète ce n'est pas grave.

En m'asseyant à ma place en cours je remarque un mots.

'' Si c'est pas la drogue alors c'est quoi ? ''

Je regarde vers l'avant de la classe essayant de trouvé ce regards si méprisant mais il n'est pas là. Une demi heure plus tard Samantha arrive et derrière elle, Alexandre.

- Vous êtes en retard.

-Je sais. Mais qu'est ce que ça peut vous faire ?

Il dit ça avec un tel sourire que même la prof fut dépassé quant à moi je lève mes yeux au ciel.

- Excusé moi madame. Dit Samantha essayant de calmer la situation.

Alexandre me regarde et nos yeux se croisent. Je détourne le regard je ne l'aime pas. Il m'insupporte. Et son regards et si, si outrecuidant, si méprisant. 

Le midi je mange ma purée ainsi que mon cordon bleu. Mais pas plus. La faim m'a décidément quitté.

La fin de la journée est arrivée vite et je suis allé chez Célia. En ce moment, on se maquille et se coiffe et enfin, nous enfilons nos robes.

Nous sommes arrivées chez Jackson et tous le monde nous regardent. C'est rare que nous allons à des fête alors forcément il y a des curieux, enfin beaucoup. Les filles sont partis dansé au bout de 10 minutes, quand à moi je suis parti au bar. J'ai demandé au barman un jus d'orange et le bus cul sec. Il y a bien trop de monde, tous le lycée est invité. La chaleur monte d'un seul coup. Je commence à crever de chaud dans cette pièce, je décide de prendre l'air. Je sors prés de la piscine là où personne n'est. Mais je m'étais trompée.

- Tiens tiens, mais qui voyons là. Ce n'est pas madame la drogué.

C'est pas vrai. J'aurais dû me douter qu'il serait là celui là. Que je suis conne.

- La ferme ! Pas maintenant s'il te plaît.

Je ne me sens pas très bien j'ai chaud, j'ai froid, je suis à bout de souffle. Son air change est sa façon de me regardé aussi.

- C'est vrai que tu as une sale gueule.

- T'occupe tu veux. Va voir ailleurs si j'y suis.

Non là ça ne vas pas je cours vers la haie et arrivé je vomis.

- C'est ça d'avoir trop bu en plus d'avoir pris de la drogue. dit il en s'approchant.

- Je m'assois comme je peux et me redresse, le regardant droit dans les yeux. Premièrement je ne me drogue pas, combien de fois il vas falloir que je lui dise, deuxièmement je ne bois pas, troisièmement si tu continues à avancer je ...... 

Trop tard je vomis sur ses chaussures au moins j'aurai voulu le prévenir 

- Dégage je me sens vraiment pas bien.

- Je vois ça. Me répond il en rigolant. Elle m'auront coûté cinquante balle, je te remercie de les avoir gâché aussi rapidement.

Il me prend le poignet, aïe, et me conduit à Marine. Je n'entends plus beaucoup, je voit flou mais je réussis à comprendre des brides de se que Alexandre dit à Marine.

Je t'aime !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant