Chapitre XXVI

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PDV Thomas

Je me réveille comme d'habitude en retard pour les cours. Mais cette fois ci avec des yeux rouges. Je me lève et sors directement pour le lycée après mettre habillé. Le vent frais sur mon visage me réveille et m'aide à réaliser ou je suis. Sur le parking. Sur ma moto. En train de regardé le lycée. Me demandant si Théa va mieux. Et plein d'autre chose d'autre. Je me décide enfin a renté dans le bâtiment et à frapper à la porte ou je suis censé avoir cours. Je rentre sans attendre l'autorisation et me dirige à coté de la brunette du fonds de la classe sous les menaces du prof. Je m'assois à coté d'elle qui ne me lance aucun regard. Qui m'ignore complètement d'ailleurs.

- Salut.

J'attends sa réponse mais en vain. Quand la sonnerie retenti, elle se lève en manquant de tombé et s'en va en boitant comme une malade. Je sors après tout le monde, et m' en vais dans la direction de mes amis.

- Qu'est ce qu'elle a Théa ?

Je pose ma question avant d'arrivé à leur niveau. Et culpabilise directement en voyant les trois filles en larmes devant nous. Je regarde Aiden puis Mathis et Ethan.

- Que ce passe t il ?

- Il se passe que Théa nous a tous dit qu'elle coupé les ponts. Plus d'amitié, plus de connaissance, plus rien en faite. C'est le cas pour toi aussi mec. Elle nous a demandé de te faire passer le message. Elle a dit qu'elle se servait de nous pour ne pas être seule au lycée, pour ne pas paraître idiote devant tout le monde mais qu'elle en avait marre de nos comportements donc, elle nous laisse comme des merdes. Et ça a détruit les filles.

Quoi, non impossible, pas celle qui m'a fait de nouveau vivre. Elle ment j'en suis sur ce n'est pas possible. Je ne la croit pas sur un mot de ce qu'elle a dit.

 Toute la matinée elle nous à éviter, en cours, au récré. Même dans le bus elle c'est mise distante. Elle a plongé ses écouteurs dans ses oreilles et c'est isolé du monde. Elle c'est mise dans sa bulle quoi.

- Eh mec.

- Quoi ?

- Arrête de la regardé comme ça, tu vas en bavé si ça continue. 

- Arrête t'es conneries. J'essaye de comprendre. Et moi je suis sur que c'est faux ce qu'elle vous a dit. Elle ne peux pas nous avoir lâché comme ça. 

- Et moi je te dis arrête de chercher plus loin. Elle c'est servis de nous point. Ce n'est pas la mort. Tu te monte la tête pour rien là. C'est un grosse salope, faut pas chercher plus loin.

- Ta gueule. Tu la connait pas, moi si. Et je te dis que tout sa c'est de la foutaise. Il y a un truc derrière.

Aiden se retourne montant ses sourcils au plafond. Me montrant qu'il s'en fou de se que je dis. Quand a moi je la fixe, elle d'où je vois son visage sombre et sinistre dans le reflet de la vitre. Son regard. Je n'ai jamais vue ce regard là. Si vide, sans vie. Elle fait cadavre, s'en ai même inquiétant. Je m'approche de son côté et quand elle bouge c'est yeux pour me voir. C'est pour me dévisagé. Elle se lève et se déplace en boitant vers l'avant du bus. En la croisant j'ai remarqué qu'elle boite plus que la dernière fois. J'ai même l'impression qu'elle respire plus fort que d'habitude, et qu'elle est plus maigre. Un tout petit peu. Mais je suis sur de moi.

Quand on descend du bus, les prof nous donne un sachet qui contient nos sandwich, nos boisson, etc. Elle le prend et par dans le sens contraire de notre direction. J'en profite pour allé la voir seul à seul. Mais quand je m'approche d'elle, elle se barre, deux fois de suite. Je recommence une dernière fois et cette fois ci elle m'adresse enfin la parole.

Je t'aime !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant