PDV Théa
Je me réveille paniqué avec un tube dans la bouche. Je suis relié à une machine et a un sac d'eau je crois. Ça me stress je me sens pas bien mais vraiment pas bien d'un coup. Je ferme les yeux et me rendors. Quand je me re-réveille, je n'ai plus le tube, ni la seringue sur le bras. Par contre j'ai une main dans la mienne et une touffe de cheveux brune mi longue à côté de moi. Pourquoi est il venu ? Je ne lui ai rien demandé. Je me rappelle bien avoir craquer et lui dire que je me suis fait violer mais pas plus. Ce ... ce n'est rien de grave tout ça. Je secoue sa main pour qu'il se réveille et ce le fut mais pas de la manière que je le pensais. Il se lève d'un bon, en panique. Et dès que son regard croise le miens il se calme. Il se rassois tout en me regardant.
- Je suis si hideuse que ça ?
C'est le tube, l'opération. Ça n'as pas du m'arranger la face.
- Non t'es toujours aussi ravissante.
- Je t'es déjà dit de ne pas m'aimer Thomas. Je ne souhaite pas te faire souffrir. Je sais que je l'ai déjà fait.
- Tu ne peux pas m'éloigner de toi à ta guise Théa. Si je veux t'aimer je le ferais. Je sais que tu as dit au autre que tu te servais d'eux, etc. Mais je sais pourquoi tu as mangé maintenant. Et c'est pas aujourd'hui que je te laisserai.
C'est mot me mette les larmes au yeux mais je m'abstient de les verser. Mon regard ce perd dans ses yeux vert, et tous mes problèmes semble s'envoler. J'aime qu'il me regarde comme ça, même si c'est une entorse à mes promesses. Quelqu'un toc à la porte de la chambre et entre se qui nous met mal à l'aise lui et moi. Nous qui étions en train de nous dévisager.
- Bonjours ma demoiselle Scott. Dit une infirmière.
Je regarde l'infirmière qui me parle puis à la sorti de mon nom de famille je suis prête à répliquer mais me dit que si il la fait c'est pour une raison.
- Bonjours.
- Je vais vous dire les détails de vos blessures si ça ne vous dérange pas ?
- Oui.
- Vous avez deux doubles fractures aux cotes et une de gros hématome au genoux. Vous avez aussi quelque irritation au niveau de la gorge. Et des bleus sur tout votre corps ainsi que des égratignures. Madame le plus étonnant c'est que vous aviez déjà des fractures avant l'accident et on pense même que les doubles étaient avant l'accident. Tout ce qui viendrait de l'accident serait quelque bleu sur le total et vos égratignures.
- Vous voulez dire que l'accident ne lui a rien fait ? Et que ses blessure viennent d'ailleurs ? Demande Thomas.
- Oui.
- Ce n'est pas possible madame je n'avais rien à la visite. Aucune douleurs. Aucune blessures physique. Vous vous êtes surement trompé.
- Très bien merci pour l'information. Je n'expliquerai pas vos doubles fractures au côtes alors.
Elle se retourne et par sûrement vers une autre chambre de l'hôpital. Je regarde de nouveau Thomas.
- Scott ?
- Je ne voulais pas qu'il prévienne tes parents alors je t'ai fait passer pour moi. Et alors, ça fait quoi d'être une fille de riche ?
- Ça fait que j'ai envie d'être super arrogante avec toi. J'ai envie de te faire chier et de péter la gueule à tout ce qui se mette sur mon chemin. Cela te fait il penser a quelqu'un ?
- J'étais comme ça mais ça a changé je te rappelle.
- Heureusement.
Je souris à mes mots et m'endors tranquillement, ce qui ne m'étais pas arrivé depuis bien longtemps. Je ne sais pas ce qu'il a, mais sa présence m'apaise, me rassure. Avec lui je me sens en sécurité. Peut être à cause du fait qu'il m'a sauvé la vie une fois. Et qu'il apporte à celle qui reste, une petite touche de bonheur. De joie. De vie tout simplement. C'est vrai quoi. Depuis 3 ans je ne vie plus mais encaisse cette vie qui me tue. Avec ce temps, la vie met devenue un fardot. Un cauchemar, quelque chose que personne ne devrais avoir. C'est tellement moche une vie.
Je me réveille en sursaut dans mon lit d'hôpital. Seul. Thomas à du s'en aller à la demande des infirmières je suppose. C'est pas grave je ne veux pas le déranger plus longtemps. Il faut que je les laisse en plus je sais que j'ai tous dit à Thomas mais je dois le faire sinon c'est eux qui vont souffrir.
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Je t'aime !
Teen FictionJe ne veux plus vivre, mais je dois continué pour lui, pour elle, pour eux. Mon corps est vivant lui. Et il ne reste que lui. Entre mon père et ses horreurs tous les soirs, et ma mère qui pleure tous les soirs. Forcément que je ne peux plus vivre. S...