PDV Théa
J'ouvre les yeux je suis dans un canapé. Je me lèves et je le vois, lui et c'est amis ainsi que Jackson. Cela veut dire que la fête n'est pas fini.
- Bonjours ma drogué. Dit il avec un sourire qui veut en dire long sur sa pensé.
Il a l'air de tenir à ce que je me drogue donc la meilleure solution est de l'ignorer. De toute manière je n'ai pas besoin de me préoccuper d'un petit arrogant qui n'en fait qu'a sa tête. Je regarde un de ses amis.
- Il est quelle heure. S'il vous plaît.
- Il est précisément deux heures quarante-sept du matin. Me réponds un de ses amis qui je crois s'appelle Ethan.
- Merci. Qu'est ce qui c'est passée ? Ou sont les filles il faut que je retourne chez moi ?
- Tu as du être drogué par quelqu'un d'autre et avec le jus d'orange que tu as bu ça n'a pas fait bon ménage. Elle sont en bas morte d'inquiétudes. Me répond Jackson, je ne l'avais pas vue d'ailleurs.
Je me lève en essayant de ne pas me péter la figure et descends les escaliers à une vitesse d'escargot et les vois toutes les trois en train de parler. Je m'excuse donc de l'heure avoir gâché la soirée et leurs dit que je vais rentré chez moi.
Arrivé à la maison je remercie Célia qui m'a raccompagné et j'entre dans la maison quand.
- TU AS VU L'HEURE !! TU ÉTAIS OÙ BORDEL ? ET RÉPOND MOI.
- J'étais à une fête d'un camarade.
Mon père s'approche et je recule jusqu'au mur. Sauf que je me rends compte qu'en restant contre ce dernier je suis une proie facile. Je me mets à courir pour éviter qu'il ne m'attrape, et qu'il ne me fracasse encore une fois. Mon dos ne supportera par une deuxième tortures. Au bout d'un certains moment de course, à tourner en rond dans cette petite pièce. Mon souffle devient de plus en plus dure, et je fonce vers les escaliers mais à contre chance, il m'agrippe la cheville et dégringole de trois marches. Je me débat de toute mes forces laissant échapper de ma bouche quelque gémissements de douleur. Pour au final lui donner un coup de pied dans la figure, ce qui lui fait perdre sa prise, en conséquence ma cheville. Et me retourne pour courir jusqu'à ma chambre et mis enfermer. Il hurle dessus mais il peut rêver pour qu'elle s'ouvre.
Quand il part je ne sais plus quoi faire. Avant j'espérais que la porte ne cède pas, tout en retenant mes larmes, et gémissement. Alors que maintenant j'ai les mains qui tremble, la panique et les nerfs qui commence à baisser. Et mes yeux, sans le vouloir, se remplissent d'eau pour ensuite les laisser couler contre mes joues rosi de ma course.
Je ne sais pas si je devrai dormir sur mon lit se soir. Il peux toujours revenir, la porte peut céder, et je peux encore, et encore souffrir cette nuit. Non change toi les idées Théa.
Je me lève, toujours tremblante et maintenant boiteuse du pied gauche. Me dirigeant vers cette pluie d'eau qui est une des seules sources de réconforts dans cette maison. Car la première et celle que personne ne pourrai dire '' source de réconfort '' à par moi. Cette lame que je prend chaque soir et qui est devenu on peut dire, ma meilleure amie.
Je me réveille à cause de mon propre crie. Me faisant froid dans le dos. Ai je vraiment criée aussi fort ? Après m'avoir posé trente-six-mille questions, je me lève car il est impossible pour moi de me rendormir. Mon réveil indique quatre heures trente du mat'. Je ne suis pas prête d'aller au lycée. Mais prendre de l'air frais ne me ferai pas mal. Je m'habille quand même, et prépare mes affaires pour ne pas retourner ici les chercher après cette petite viré nocturne. Au rez de chaussé mon père dort sur un des canapés et je me voie en train de prier pour ne pas le réveiller. Lui et sa fureur intérieur.
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Je t'aime !
Teen FictionJe ne veux plus vivre, mais je dois continué pour lui, pour elle, pour eux. Mon corps est vivant lui. Et il ne reste que lui. Entre mon père et ses horreurs tous les soirs, et ma mère qui pleure tous les soirs. Forcément que je ne peux plus vivre. S...