Chapitre 23

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SCÈNE 127. NEED A SHOW!

NIALL: Peut-être que c'est juste trop tôt...pour nous tous.

LOUIS: J'ai envie de remonter sur scène, moi. J'en meurs d'envie...j'ai l'impression qu'on n'y a pas été depuis des années. (Il soupire et s'allonge sur le sol, perdu dans la contemplation du plafond)

NIALL: Ça te manque tant que ça? Je pensais que tu serais le plus soulagé...

LOUIS: C'est parce-que ma voix est faible que j'aime pas chanter en live, Ni'.

NIALL: Non, non, c'est pas ce que je suggérais du tout! Désolé si t'as cru que... Lou', j'adore ta voix. Elle est si spéciale.

LOUIS: (se relevant, un sourcil haussé mais souriant tendrement) Me fais pas ça, Nini: ne m'arroser pas de compliments juste parce-que j'suis un peu malade. S'il te plait.

NIALL: (yeux exorbités) Un peu malade? Lou', c'est grave... (Tentant d'alléger l'atmosphère de nouveau) Mais tu as raison: tu mérites pas mes compliments alors que la moitié de la planète t'en fait déjà. Je ne suis qu'une fangirl de plus, hein? Et tu me brisera aussi le cœur quand tu épousera...

LOUIS: (le coupant net) Ne finis pas cette phrase, Ninite. Sinon je risquerai de te faire me détester.

NIALL: Tu peux toujours essayer mais je vois aucune possibilité que ça arrive.

LOUIS: Qu'est-ce que t'es guimauve... (Il se rallonge par terre, se couvrant les yeux avec ses bras, comme une drama queen)

NIALL: Dit le mec qui chiale tout le long du Notebook...

LOUIS: Tu répètes mon secret à qui que ce soit et je t'enterre avec tes stupides collages de Z et moi.

NIALL: Ce serait plutôt cool...au moins, je pourrai fixer pour toujours deux des plus magnifiques hommes du monde.

LOUIS: (se relevant encore) T'es sûr que t'es pas un petit gay, Horan?

NIALL: Ah non non, aucune chance! (Rigolant presque comme un phoque)

LOUIS: La sexualité est très fluide, tu sais. En tout cas, c'est ce que les jeunes d'aujourd'hui disent.

NIALL: Arrête de causer comme un papi, Tomlinson, pitié. (Et il se mangea un coussin dans la gueule, n'étouffant même pas son rire trop irlandais)

LOUIS: Mon dieu...qu'est-ce qu'on va faire de toi... (Mais son sourire ne pouvait tromper personne: il adorait beaucoup trop le petit Horan)

NIALL: NOURRIS-MOI, JOLI DÉMON QUI TENTE DE ME CONVERTIR! (Et Louis partit en total fou rire)

SCÈNE 128. P.S: JE NE SUIS PAS SI FRAGILE...

LIAM: J'apprécie ta maturité sur ce coup-là, Tommo. (Ce dernier fait signe de se faire un check à lui-même et son ami secoue la tête, "fatigué") Oublie ce que je viens de dire: tu me fais si honte parfois.

LOUIS: Arrête ton char: tu m'adores plus que n'importe qui! (Si fier de lui, continuant à se déhancher lentement, comme emporté par sa "victoire")

LIAM: Sûrement pas. On devrait pas se sentir aussi bien alors qu'on vient d'anéantir la carrière de quelqu'un, Lou'... (Mais il semblait feindre sa culpabilité)

LOUIS: Vois plutôt les choses de ce côté: elle cessera enfin de détruire les vies des autres. Cette "journaliste" ne mérite que ce lui arrive. T'es pas d'accord? On aurait même pu faire pire mais on a préféré rester discrets et maintenant, elle paye toutes ses vacheries, insultes, harcèlements. Des gens nous remercieront, crois-moi.

More Than This...  (boyxboy)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant