Chapitre Trente

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DANS LA PEAU DE JAMAL

Je reçois aujourd'hui comme visite les deux femmes les plus importantes de ma vie. Ma maman idolâtrée et ma Fara adorée. Abdu Khadre aussi reçois sa femme. Aujourd'hui c'est donc quartier libre. Trop de bonheur, trop de monde, trop de repas et trop d'amour.

A 16 : 00mn, c'est l'heure de ma mère. Elle entre dans la salle et me prend dans ses bras. Elle me donne son repas et on discute de la réduction de la peine et elle est très contente de la nouvelle. Elle fini par me parler de Fara. Elle dit l'avoir laisser dehors à attendre. Je lui explique que j'ai une relation amoureuse 😍 avec elle et j'en profite aussi pour la citer les bonnes qualités d'elle. De toute façon elle n'a pas de mauvaises qualités, j'en connais pas en-tout-cas. Elle sors et c'est le tour de Fara. Elle entre elle aussi avec son grand bole. Je me lève pour l'accueillir et la prendre dans mon emprise. On s'assoit ensemble mais elle est n'est pas du tout dynamique. Je lui prends la main et la caresse mais elle ne répond pas, elle n'est même pas au courant que je lui tiens la main. Mais je vois qu'elle ne souhaite pas m'en parler et je lui force pas. Je suis en phase de reconstruction donc toute chose pouvant gâcher cette opportunité, je l'esquive. Je lui parle d'autre chose, des affaires, de sa boutique et des fois, des blagues qui peut, peut-être me montrer ses belles dents blanches et bien structurées. On fini la conférence par un bisou et elle rentre. Je regagne ma cellule y trouvant Abdu Khadre très plaisantant. Le soir, presque la nuit, on s'assoit sur le lit à discuter que j'entends le garde appelé mon nom. Je me rapproche des grilles qui s'ouvre sur le gars qui me tend les menottes. Mais comment ça? Une visite à cette heure? Je le suis sans comprendre quoi que ce soit et je compte lui laisser faire aussi, sans le demander la raison de ce qui vient de se passer. Il me ramène dans la sale des visiteurs et je vois sans être étonner le Boss. Je lui sourit avant d'être à sa hauteur mais c'est pas mutuel. Je sais que c'est la seule personne qui a cette influence, visiter un détenu à cette heure. Le garde me débarrasse des menottes et je m'assis sur le banc laissant le boss debout.

- c'est aussi important qu'il ne peut pas attendre jusqu'à demain matin, ta visite? *commence je*

- oui! oui c'est aussi important car ça touche à ma famille.

- et qu'est-ce j'ai à voir là-dedans.

- hée la femme qui t'a amené aujourd'hui le repas, c'est qui?

- Ha! Maintenant tu me suis donc?

- ce n'est pas la question boy.

- elle, c'est ma vie et qu'est-ce tu lui veux?

- C'EST MA FILLE IMBÉCILE.

- QUOI?

- ouais c'est ça fait les imbéciles.

- non mais je comprends rien là.

- c'est le moment propice donc pour toi de comprendre petit. Cette femme qui tu fréquentes là, c'est ma fille et c'est le cadeau le plus cher qui m'est offert et j'enverrai en enfer toute personne qui abusera de ses sentiments.

- c'est une menace?

- prends la comme tu veux.

- ce qui me surprend c'est que tu n'as jamais avancé l'idée que je la laisse.

- ............ Ce que je viens d'avancer est beaucoup plus important que le fait que tu la laisses.

- mais expliques moi comment tu as su.

- j'ai regagné ma famille, il reste juste des chose à régler et cette Fara reste la seule qui ne m'a pas encore pardonné.

- et tu ne veux pas que je fais quelque chose?

Fara'ma'reine: TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant