Captivextorture

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Pdv externe
Une semaine s'était déjà écoulée depuis que [t/p] avait été capturé par Jonh. Il n'était pas venu la voir depuis un bon moment et intérieurement, elle souhaitait qu'elle ne le rêverait jamais.

Quand il l'avait raccompagné dans sa cellule, il lui avait fait boire de force un verre dos et lui avait fait une piqûre d'un produit qui lui était complétement inconnu. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'à cause de ce liquide qui coulait à présent dans ses veines, elle n'était pas parvenue à s'endormir.

Le silence complet dans lequel était plongée la pièce forçait la jeune femme à entendre tout les bruits inquiétants que la porte entre-ouverte laissait pénétrer dans la salle. [t/p] parvenait même à détecter le son des battements frénétiques de son coeur.

Sentant l'angoisse monter en elle, elle se débâtit férocement pour tenter de se libérer de ses chaînes, mais la corde ne fit qu'entailler encore plus profondèment ses frêles poignets. La jeune femme retint un cri de douleur en sentant le métal froid qui l'accrochait à la chaise lui mutiler la peau des pieds.

Ses cheveux lui collaient au visage et sa vision était légérement brouillée par les quelques larmes qu'elle tentait vainement de retenir. Elle refusait compltement de donner cette satisfaction à ceux qui la retenaient prisonnière.

[t/p] avait l'impression que sa tête allait exploser. Elle avait désespérément besoin de sommeil mais elle ne parvenait pas à rejoindre les bras de Morphée. Cela faisait une semaine qu'elle ne s'était pas endormie et elle n'en pouvait plus.

Elle avait l'impression qu'elle n'allait pas tarder à perdre la raison, seule dans cet endroit où le seule bruit qu'elle entendait à présent était celui de son coeur qui battait de moins en moins fort dans sa poitrine, alors pour éviter de complétement sombrer, elle se mit à compter les faibles battements de ce membre vital qui menaçait de s'arrêter n'importe quand.

Ses pensées se dirigèrent vers Levi et une lueur d'espoir illumina son regard quand elle se l'imagina en train de fracasser la porte et de venir la sauver, mais jusqu'à son dernier jour dans sa géole, l'entrée resta complétement intacte.

Jonh vint se placer à côtè d'elle sans qu'elle ne l'ai vu venir et il la souleva pour la déposer sur le ventre dans un vieux matelas posé sur une planche mobile qu'il avait emmené avec lui. Il enleva sa robe d'un geste sec et resta longtemps plongée dans la contemplation du corps à moitié nu de la femme. Soudain, il vit le sceau de la mort qui était implanté dans sa peau et il grimaça de dégoût.

-"ça me répugne. Ce sceau est la preuve que quelqu'un d'autre t'as touché. Mais tu es à moi, je suis le seul qui peut faire de toi ce que je veux. Tu es à moi. À moi!"

Dans un élan de colère, il planta une lame dans son dos et traca plusieurs lignes qui ne cachèrent pas le sceau complétement. Il lança le couteau dans un coin de la pièce et soupira d'agacement.

-"c'est problématique ça... Dis-moi ma belle, tu penses que de l'acide suffira à le faire disparaître?"

À peine consciente à cause de la douleur qui lui brûlait la peau, elle hôcha négativement la tête à plusieurs reprises en tentant de se dégager, mais Jonh l'avait accroché fermement à la table d'opérations avec des menottes et des cordes épaisses.

Il déboucha une bouteille d'acide et l'odeur extrêmement forte vint brûler les poumons de la captive avant qu'une goûte ne s'écrase sur son dos et la fasse hurler de douleur. Quelques secondes plus tard, le barbare qui l'emprisonnait fut allerté par son abscence de réaction depuis un moment et la retourna pour découvrir qu'elle s'était évanouie. Il déposa un baiser sur le front de sa bien-aimée avec cette lueur folle dans les yeux, et c'est avec la petite fiole rempli du liquide mortel dans les mains qu'il sortit de la pièce.

Concervant son rythme de la première fois, Jonh commença à revenir chaque semaine pour lui injecter des produits qui la maintenaient en vie et lui donner un peu d'eau avant de se mettre à torturer celle qu'il aimait.

Les premiers mois, il s'amusait à lui entailler les différentes parties de son corps, prétendant que c'était un moyen de découvrir son corps. Il plantait lentement la lame dans la chair de la jeune fille et prenait un malin plaisir à tracer plusieurs traîts ou même à dessiner des formes.

Il se réjouissait de la vision du sang qui coulait à flôts des plaies pour aller former une marre écarlate dans laquelle baignait parfois un morceau de peau qui lui avait échapper lors de sa dissection.

[t/p] elle ne pouvait rien faire. Enchaînée à cette table et sans aucune injection d'anesthésiant avant sa séance hébdomadaire de torture, elle était déstinée à regarder impuissante son corps se vider de sang.

Mais Jonh s'était vite lassée de ce petit jeu. Il avait hésité à la démembrer et avait failli lui couper le bras avant de finalement changer d'avis et de lui verser de l'alcool sur la plaie encore béante.

Il avait tout essayé, testé tous les liquides assez acides pour brûler la pauvre captive jusqu'à l'évanouissement. Mais là encore, ce n'était pas assez drôle pour lui.

Alors, vers la moitié de la première année, il s'était mis à brûler quelques zones du corps de la fille, allant même jusqu'à se servir d'elle comme d'un cendrier vivant sur lequel il écrasait les mégots de ses cigarettes.

Puis, au début de la deuxième année, la done avait changé. Après tout ce temps, les idées commençait à manquer et Jonh commençait à faire n'importe quoi. Il avait ouvert le ventre de sa prisonnière et s'était presque mis à jouer avec ses organes internes. Non pas avec ses mains, mais avec son vieux scalpel que la rouille dévorait de jour en jour.

Après les lames et les flammes est venu le tour des balles. Dès qu'il avait réussi à trouver une arme à feu, il avait laissé un mois de répis à [t/p] puis était revenu s'amuser en lui logeant des balles de différents calibres dans les bras et les jambes. Il voulait la blesser, la torturer, voir son visage se tordre de douleur pendant qu'elle criait jusqu'à son dernier souffle, mais il ne voulait pas la tuer.

Sans ses talents de médecins, [t/p] aurait succombé depuis longtemps. Il la soignait patiemment après chaque séance, tout en en profitant pour lui tordre un bras, lui casser un os ou lui arrâcher une pacerelle de peau.

Alors, quand [t/p] s'en était sortie le dernier jour, elle avait sû au fond d'elle que cet enfer l'avait changé à jamais et qu'elle ne pourra plus vivre de la même façon avec toutes ces marques et ces cicatrices qui lui rappelait l'être faible qu'elle a été.

Ohayo mes petits Nekos!
Voici un mini-gore (parce que je ne suis pas douée pour ça) pour vous donner un petit aperçu de ce que vous avez vécu dans les bas-fonds. Veuillez excuser la piètre qualité, mais je ne suis pas quelqu'un de sadique ni de violent moi😂 (hum hum...).

Pour finir, j'ai découvert aujourd'hui avec une immense joie une extrêmement bonne, magnifique, merveilleuse, sublime -et tous les adjectifs que vous voulez- surprise.
NOUS SOMMES PREMIERS DANS LA CATÉGORIE AOT DEPUIS 31 JOURS AVEC "LE JOUR OÙ NOUS NOUS SOMMES REVUS" PUTAIN!
MERCI MERCI MERCI ET MILLE FOIS MERCI POUR CE MERVEILLEUX CADEAU💕💕💕💕
JE VOUS AIMES MES PETITS NEKOS!❤️❤️❤️

~Caporal Neko

Quand nos regard se sont recroisés...(levixreader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant