SIXIÈME PARTIE

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J-2 premier jour des huitièmes de finale.
Dans l'hôtel.
Chambre de Benjamin Pavard.

- Non le Nutella c'est plein d'huile de palmes c'est degueulasse. M'hurle presque Benjamin.
- Le Nutella c'est bon ! C'est toi qui reconnais pas les bonnes choses de la vie.
- Non c'est toi la preuve tu parle plus à Antoine.
- Il mérite pas que je lui parle ... je commence à verser quelques larmes.
- Je sait, allé fais un câlin à tonton le mouton.

J'exquise un sourire.

Je suppose que t'es pas déterminée à dire ce qui c'est passé ? Contrairement à ce que tu pense, si. Alors vas-y ! Okayyy !

FLASHBACK :

Je toque à sa porte. Antoine m'ouvre.

- Tu m'en veux ? Lui Demandais-Je.
- Oui ...
- Au pire on oublie ?
- Non ... j'oublie beaucoup de choses ... je me trouve faible ... face aux femmes ... alors là ... je n'oublierai pas ... je souffre ... TU me fait souffrir ... je t'aime vraiment beaucoup mais ... je suis vraiment trop con pour te l'avouer alors je dit rien ... la fierté je pense non ? On a coucher ensemble et pourtant ... rien ... pas de 《Je t'aime Antoine》 non rien parce que on a pas les même sentiments ... Et je peut plus vivre sa ... on a cette complicité énorme mais sans être en couple et j'aime pas sa alors à moins que tu veuille qu'on soit comme un vrai couple et que tu assume t'es sentiments ... parts.

Après son monologue je me décide enfin à dire.

- J'ai sûrement des sentiments mais si j'en n'ai ma fierté me dira toujours de ne rien dire alors je ne parts pas à cause des sentiments mais du faite que j'aime pas les couples et que je n'assumerai probablement jamais donc aurevoir ... je te trouverais un nouveau kiné.

Je me tourne et parts la moitié des garçons était là. Heureusement mon frère n'était pas la mais avec Olivier au kiné je m'arrête en plein milieu du couloir me tourne vers Benjamin, il bouge son maigre corps pour me montrer sa chambre. J'y entre.

: FIN DU FLASHBACK.

c'est maintenant ici que je vie depuis quelques temps tout à l'heure j'ai les premières séances de kiné pour les huitièmes.

- Oublie pas. Ne le regarde pas et évite de lui parlais et ne pense pas à lui mais à moi. Je laisse échapper un rictus de mes lèvres. Je serais dans la même séances que Antoine donc si t'a besoin ou que tu sent que tu va pleurer viens t'occuper de moi tu dira que tu alterne et on discutera.
- Ok.

Je sort pour me préparer afin de donner lieu d'être à cette séance de kiné.

20 minutes plus tard ...
Dans la salle de kinésithérapie de Anaïs.

GRIEZMANN UN JOUR, GRIEZMANN TOUJOURS /1&2/Où les histoires vivent. Découvrez maintenant