Le début du chapitre continue chez Alberto qui se lève un instant avec Sophie et voie par la fenêtre un avion avec une banderole «félicitation pour ton anniversaire Hilde». Alberto continue son cours sur l'évêque Irlandais Georges Berkeley 1685-1753, qui fut également philosophe. Il considérait la philosophie et la science comme un danger pour le christianisme. Contrairement à Locke, il affirmait que «la seule chose qui existe est ce que nous percevons», ce n'est pas de la matière ni de la substance. Selon lui c'est une volonté ou un esprit qui nous fait sentir les choses. «toutes nos idées ont une cause extérieure à notre propre conscience». Cet esprit qui nous fait ressentir les choses serait Dieu selon Berkeley «nouspouvons même affirmer que l'existence de Dieu est beaucoup plus clairement perçue que celle des hommes». Le philosophe en plus de la matière, met également en doute le temps et l'espace qui n'est pas vue de la même façon entre nous et le divin. Sophie et son professeur finissent par se troubler en mélangeant les propos de Berkeley et ce qui leur est arrivé jusque-là par rapport à Hilde et Albert Knag. Sophie rentre chez elle, mais il pleut, en passant par la ville elle retrouve sa mère qui la serre dans ses bras également mouillée, lui demandant ce qui peut bien leur arriver en ce moment.
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lecture du monde de Sophie, de Jostein Gaazdez
De Todoen ce moment je lis le monde de Sophie, comme je vais faire de la philo cette année. Ce livre est assez volumineux, mais très intéressant, et je pense qu'il est tout de même dommage de ne pas le lire, c'est pourquoi j'ai moi-même fait de petits résu...