Hilde en est au chapitre de la renaissance quand elle entend sa mère rentrer vers le goûter. Après que sa mère soit descendu se reposer Hilde continue sa lecture et finit par arriver à l'endroit où nous avons quitté Sophie précédemment. Après avoir lu la fin du chapitre sur Berkeley elle jette le classeur par terre. Lorsque sa mère vient la chercher pour le dîner elle se trouve devant le miroir de sa grand-mère, devant lequel elle se tient depuis qu'elle a arrêté de lire, cependant elle reprend sa lecture après manger. On continue de lire l'histoire de Sophie à travers la lecture de Hilde. C'est également l'anniversaire des quinze ans de Sophie que sa mère réveille en apportant un plateau de petit déjeuner rempli de cadeaux. Sophie est un peu chamboulée, et a peur d'être dans un rêve, sa mère lui demande si elle n'a pas besoin qu'elle reste à la maison avec elle aujourd'hui. Sophie lui assure que non, et qu'elle aussi doit aller au travail, car on va leur remettre leur notes de trimestre. Cependant avant qu'elle parte elle reçoit un coup de fil d'Alberto qui insiste pour qu'il finisse leurs cours avant la saint-jean (moment où doit rentrer le père de Hilde), car ce serait leur dernier « espoir »?. Il commence par lui demander si elle se souvient de Descartes « je pense donc je suis ». Car si l'on continue sans arrêt de s'interroger on finit par croire que nous ne sommes que des pensées et que nous ne pensons pas nous-même, cependant le fait d'être simplement imaginé ne nous laisserait pas le droit de croire et nous n'aurions que des illusions. Albeto finit par dire qu'il a un plan pour déjouer le jeu du père de Hilde, mais pour cela il faut qu'ils puissent finir les cours de philosophie. Sophie explique qu'elle doit passer à l'école prendre son bulletin, Alberto grogne un peu, mais veut bien la laisser faire avant qu'elle le rejoigne. Hilde fait une légère pause en se demandant bien, quel est le plan d'Alberto. Elle continue et lut que Sophie après être allée à l'école où on lui a souhaité un joyeux anniversaire, revient rapidement chez elle et découvre deux cartes postales, l'une pour son anniversaire, l'autre pour Hilde. Après avoir lu les cartes et déposé son bulletin chez elle, Sophie va retrouver Alberto près du chalet du major. Alberto lui parle des philosophes français du XVIII s qui s'inspirèrent des philosophes anglais. Les philosophes du siècle des lumières s'intéressaient à l'antiquité. L' Encyclopédie qui contient 28 volumes est l'œuvre la plus marquante de l'époque, les philosophes des lumières pensaient qu'il suffisait de répandre la raison et la connaissance pour que l'humanité progresse. Pou eu la raison et la nature signifie presque la même chose, car la raison de l'homme est pour eux une donné de la nature. Formule de Jean-Jacques Rousseau « Nous devrions retourner à la nature », la nature est bonne pour l'homme et tout le mal réside dans la société. Cependant les philosophes des siècles des lumières n'allaient pas jusqu'à concevoir un monde sans Dieu, qui ne leur semblai pas possible. Déisme: « conception selon laquelle Dieu a créé le monde il y a très, très longtemps, et ne s'est pas manifesté depuis ». Les philosophes des lumières luttaient pour la reconnaissance des « droits naturels », selon eux chacun devait avoir le droit de penser librement. Alberto finit la-dessus et propose à Sophie de rentrer. À ce moment la mère de Hilde l'appelle pour regarder la télé en mangeant une pizza toutes les deux ensemble.
![](https://img.wattpad.com/cover/80791656-288-k534130.jpg)
VOUS LISEZ
lecture du monde de Sophie, de Jostein Gaazdez
Rastgeleen ce moment je lis le monde de Sophie, comme je vais faire de la philo cette année. Ce livre est assez volumineux, mais très intéressant, et je pense qu'il est tout de même dommage de ne pas le lire, c'est pourquoi j'ai moi-même fait de petits résu...