Le paysage qui s'offre à moi est.. glaçant. Les vestiges de colonnes en pierres colorées jonchent le sol au côté d'arbres coupés en deux, leurs feuilles volantes dansent avec la poussière. Le silence est oppressant, il vous fait sentir que quelques choses de grave est arrivé. Il y a des débris de vases et de statues partout où les yeux se posent, des traces de lame ou de griffes sont parsemées sur les murs en morceaux, donnant aux cailloux, l'aspect de fossiles. Cet endroit semblerait abandonné depuis longtemps si des gouttes rouges foncé n'y était pas dispérsées.
Mais pour moi, le spectacle le plus désolant est la réaction du Docteur. Chers lecteurs, je vous demande de vous concentrer pour imaginez la scène suivante, car, si nous étions au cinéma, cet acte en aurait émus plus d'un.
Le protagoniste s'avance, les membres tremblants, sa mâchoire inférieure se décrochant légèrement pandouillante lui donne un air béat. Mais ses yeux, ses yeux vous ferez oublier une lance transperçant votre cœur si vous en possédez encore un après n'avoir rien fait devant cette désolation. Il continue de tituber jusqu'au cimetière d'un bac de fleurs, spectatrices muettes de la chose aillant produit tout ce désordre, pour s'y laissé tomber.
Son regard agissant contre sa volonté, survole les gradins vide et sa mémoire en gardera les moindres détails pour toujours, s'amusant de temps en temps à les comparer avec ceux de ses souvenirs anciens.
Puis, il me remarque. Seule étrangère assise sur une planche en bois, seule idiote à ne rien faire appars me laisser m'émouvoir de ce jeu d'acteur si réaliste. Mes sens me triture et me laisse voir ses mèches sombres et sages se faire busculer par le mistral d'émotions pesant.
Puis, il parle :
“- Qu'est-ce qu'il c'est passé ?..- Je n'en ai aucune idée Docteur...”
Il sembla réfléchir un moment.
“- Venez, vous devez voir quelque chose ”
Il dit ça en se relevant et quitta la scène pour m'amener vers la réalité. Je le suivis au travers d'un dédale de couloirs ravagés, nous traversons même une bibliothèque, enfin, je ne le sais que grâce aux étagères vides ou renversées ainsi qu'aux feuilles dispartes et écrasées au sol.
Nous arrivons dans une pièce obscure, entourée de trois gigantesques portes fermées mais abîmées, on voit en leur milieu, un cercle et en se cercle, des dessins simples et faits d'arabesques. Mais le plus intrigant, c'est ce qui ce trouve au centre de la pièce circulaire, en haut de trois marches de pierres, une sorte de petite table ronde dans le même matériel, trône. Le Docteur s'en approche et agite nerveusement ses doigts au-dessus. Je relève la tête subitement, effrayée par la sphère de lumière flottante qui vient d'apparaître sous le plafond. Je reconnais facilement la planète Terre avec ses pays dont les contours sont délimités en orange pâle.“- Vous êtes vous déjà demandé quelle est votre place dans ce monde ?
- Oui mais, jamais sans vraiment approfondir la réponse je dois avouer..
- Bien, alors permettez moi de la vous dire étant que "sorcière" si on peut dire.”
Sa voix n'était plus du tout hésitante ou faible, ce qui me surpris presque plus que ce qu'il me dit.
“- Vous voyez ces dessins sur ces trois portes ? Ce sont les saints dessins de New-York, Hong-Kong et Londres.”
En même temps qu'il énonce les villes, des lignes apparaîssent sur la carte pour se rejoindre, se relayant sur trois points.
“- Il y a trois gardiens chargés de défendre les trois saints dessins au péril de leur vie, je suis celui de New-York. Mais aussi, toutes les personnes capables de maîtriser les arts mystiques se doivent des protéger ces saints dessins.
- Pourquoi ?
- Parce que ce monde ainsi que cet univers possède de nombreux ennemis ou alors des créatures qui veulent nous exterminer pour semer le chaos. ”
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Mon docteur ce héros
Fanfiction∆ Histoire contenant des lemons hétérosexuels, je suis responsable de ce que j'écris mais pas de ce que vous lisez. ∆ Encore sous le choc du décès prématuré de sa mère, Jennie O'Brien se retrouve à posséder des pouvoirs qui n'en font qu'à leur tête...