Chapitre III : Première leçon

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J'été obligée pour la vidéo, pardon héhé.
Bonne lecture !

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Je sens qu'on m'arrache subitement ma couette et que le froid s'imice entre mon pygama et ma peau.

- Hmm.. Laissez-moooii..

Je n'obtiens pas de réponse et me tourne sur le dos, je hurle de suite en voyant la cape de lévitation du docteur.

- Oh c'est toi ! Tu m'as fait peur..

Elle quitte la pièce après avoir réussi sa mission qui m'a mise de bonne humeur dés le matin ( le sarcasme on adore ) !

J'essaye de m'habiller plus vite que je ne le fait en temps normal pour descendre prendre mon petit déjeuner.

Je me dépêche de manger, j'ai hâte de faire mon premier entraînement "de magie" si je puis dire.
Je range mes affaires et me prépare pour aller rejoindre mon maître qui est.. je ne sais où tiens.

J'erre dans l'immense maison et trouve enfin une porte donnant sur une cour en plein air. Le docteur Strange m'attendais içi.

«- Bonjour monsieur !

- Insinue tu que c'est un bon jour ou qu'il faut être bon aujourd'hui ?

- Euhm.. Les deux je dirais ? Mais attendez, c'est au tout début du Hobbit ça !

- En effet. Bon, commençons par le commencement. La position est primordiale dans un combat. Alors..»

Nous commençions à nous entraîner et je suivais ses dires à la lettre. Pas question que j'échoue, alors je fus la plus attentive des élèves pendant longtemps.

~ Quelques heures plus tard ~

«- Je n'en.. peux plus »

J'essaie de reprendre mon souffle, en position de combat. Mon professeur, lui a l'air de bien s'amuser.

«- Ça ne fait que depuis 7 heure qu'on s'entraîne. Vous êtes déjà fatiguée ?

- Oui ! Il est midi monsieur ! Je vais mourir d'épuisement si-i je ne fais pas de... pause !»

Il semble considérer ma demande pour enfin relâcher le mouvement, signe que je peux arrêter.
Je m'écroule littéralement au sol en soupirant de bonheur quand ma peau bouillante entre en contact avec les dalles froides. Je l'entends rire mais j'ai trop peu de force pour réagir. Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi, dans les vappes, mais au bout d'un moment je sens qu'il me secoue légèrement l'épaule.
Par un effort surhumain, je lève la tête vers lui et une forte odeur de pâte carbonara prends d'assaut mon odorat.

Mon ventre se manifeste, lui aussi réveillé à présent. Je me relève, péniblement pour me retrouver assise et attaque le plat avec les couverts que me tends mon maître. Je me mets à manger avec pour objectif, l'explosion de mon ventre. Je crois que je viens de lâcher une larme de bonheur.

«- Vous aimez les pâtes tant que ça ?»

Je termine ma bouchée avant de lui répondre.

« - Je pourrais manger des pâtes même au goûter tellement j'aime ça et le fait d'en manger après tant d'efforts me procure un bonheur intense.»

J'insiste sur le dernier mot pour tenter de le faire rire. Eu lieu de ça, je n'ai qu'un soufflement de narines. Pourquoi est-il si insensible ?
À peine mon plat de DÉLICIEUSES pâtes finit, il se relève et un sourire sadique orne son doux visage... Quoi ?!? D'où je trouve son visage «doux»...
Bon c'est qu'il est pas mal foutu et à y regarder deux fois, ses yeux bleus sont...

Mon docteur ce hérosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant