La casa de papel

Chapitre 16

La nuit tombe je décide d'aller dormir. Je m'endors rapidement sauf que je suis vite réveillé par un rêve ou un cauchemar.  Dans ce rêve je vois mon père il s'approche de moi puis il prend la parole.

- je suis sûr que un jour tu me suivra dans mon métier
- c'est quoi ton métier papa ?
- c'est le métier que tout le monde rêve ma fille
- pourquoi tu le monde rêve de se métier ?
- car il est génial, je te promets que un jour tu auras le même métier que moi

Il se lève puis il part. Si j'aurais su qu'il parlait de ce métier je m'aurais barrer en courant mais à l'époque je n'étais qu'une gamine je ne connaissais rien à la vie. Aujourd'hui j'ai grandi et j'ai compris certaines choses. Au milieu des armes des braquages j'ai appris c'est quoi la vrai vie.  Au début je mettais perdu entre le faux et le vrai. J'ai grandi avec le rire de psychopathe de mon père des sac remplis de billets des armes des histoires de braquages. Je me dirige vers le bureau de mon père. J'ouvre la porte mais il y'a personne. Je décide de descendre en bas pour voir si il est dans l'autre bureau mais y'a personne. Soudain je vois Denver je l'interpelle.

- Denver !
- oui ?
- ta pas vu mon père ?
- il est dans son bureau
- non je viens d'aller voir
- oh putain , la disparition de mon arme la disparition de Arturo lui encore je m'en battais les couilles il est pas important mais la disparition de Berlin, TOUT LE MONDE AU TOILETTES !!!!
- ok...

Il part en courant vers le toilettes je le suis soudain Nairobi m'interpelle.

- vous faites quoi ?
- apparemment y'a un problème au toilettes
- mais Denver n'est pas plombier
- mais c'est pas une problème de plomberie c'est un problème avec des armes
- attend je viens avec vous

Je part en courant vers les toilettes Nairobi me suit. On n'arrive devant les toilettes je rentre avec Nairobi Denver et déjà dans les toilettes mais Arturo est entrain de menacer mon père avec une arme. Et mon père le menace aussi avec une arme. Je décide de me mettre au milieu avec Denver avant qu'il s'entretue. Soudain Arturo se met à hurler.

- ta baisser Monica espèce d'enflure !

Mon père répond directement

- c'est même pas moi espèce de con comme si j'allais baisser une poubelle

- très marrant Monica c'est pas une poubelle
- nan c'est une Pute

Je prends la parole.

- déjà arrêter ,déjà si il aurait comme tu dit baisser c'est son problème c'est pas le tiens
-si car Monica porte mon enfant
- sa je le savais espèce d'enculer tas pas honte de lui faire espérer des trucs et de tromper ta femme tu mériterais de crever
- vas-y frappe moi
- je suis désolé je frappe pas les handicapés

Je décide de partir soudain il m'attrape par la gorge puis il m'étrangle mon père commence à hurler.

- lâche ma fille espèces d'enculer !!!, lâche là j'tai dit !!!!, putain lâche là !!!

Soudain j'entends une balle Arturo me lâche mon père lui as tiré dans la jambe. Arturo hurle de douleur il s'écroule au sol en hurlant y'a du sang partout. Plus personne ne parle on n'entend des otages en panique soudain mon père prend la parole.

- Nairobi va calmer les otages
- d'accord

Elle part calmer les otages . Mon père s'approche de moi et il prend la parole.

- ta des marques à ta gorge

Je me dirige vers le miroir et effectivement j'ai des marques. Comment je vais cacher c'est foutu marques il faut que aucun otage remarque que j'ai des marques.

Pedro de ton nom papa mais Berlin dans les braquages tu apparaît comme un homme sans cœur. Mais je sais que tu as un cœur tu m'a sauvé des main de Arturo tu m'a défendu malgré que tu as voulu me tiré dessus quelques heures avant. Tu cache tes sentiments derrière ton rire de psychopathe. Presque tout le monde te prend pour un psychopathe mais je sais très bien que au fond de toi tu n'en n'ai pas un . Malgré tout les erreurs que tu as faite tu resteras mon père. Tu m'a appris c'est quoi la vrai vie. Je t'aimerais toujours Berlin ou Pedro mais je préfère Pedro car je sais très bien que Berlin c'est un personnage que tu joue.