Cette fiction du nom de Chelly paradise, raconte en résumé l'histoire d'une jeune adolescente de 16/17 ans qui n'a pas vraiment ce qu'on pourrait appeler une vie normal et paisible. Dans son enfance, elle était en surpoids et était le souffre do...
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PDV Chelly
« Nos corps enfin unis, l'un à l'autre mélangeaient douleur et plaisir. »
- Driiiinnng !
La sonnerie de mon téléphone me réveillant, je remarque que Justin n'était plus avec moi. Je pris un certain temps pour me rendre compte de ce qu'il s'était passé, et répondit à la personne qui m'avait réveillé en m'appelant.
Appel :
- Chel ?
Moi – Oui ?
- C'est Marie.
Moi – Oui, qu'est-ce qu'il y a petite sœur ?
Marie – Ca fais plusieurs jours que tu n'es pas rentrée et je m'inquiétais.
Moi – Je vais très bien, ne t'en fais pas.
Marie – Justin est avec toi ?
Moi – Non pourquoi ?
Marie – Il y a quelques minutes il est venu échanger de l'argent contre toi et papa à accepter.
Moi, qui pensais qu'il avait changé. Finalement, je ne suis rien d'autre qu'un objet à ces yeux.
Moi – Merci, Marie, tu es un ange.
Fin de l'appel
Soudain, je sens que ma tête tourne et comme une sorte de nausée, je m'approche de la salle de bain afin de prendre une douche pour me calmer. J'ai à peine le temps de m'assoir dans la baignoire que mon téléphone se remet à vibrer.
Appel :
- Coucou, ma puce, comment tu vas ?
Moi – Tu tombes bien Clair, j'ai besoin de ton avis.
Clair – Oki, vas-y.
Moi – Hier, j'ai fait l'amour avec Justin.
Clair – Quoi ! Mais t'es complètement folle. Ce gars-là, c'est le plus gros fils de pute que je n'ai jamais vu ! Tu étais d'accord avec moi pourtant !
Moi – Laisse moi t'expliquer, nous avons passer un accord. Je devais l'accompagner chez ces parents pendant une semaine et après il m'accorderait deux souhaits.
Clair – Mouais, tu voulais lui demander quoi ? De l'argent ?
Moi – Non, la liberté de ne plus le voir et qu'il jette mon père en prison.
Clair – Ce n'est pas bête. Mais tu lui as donné ton corps pourquoi alors ?
Moi – Justement hier, il m'a parler de sa situation familiale et. (me coupant)
