Chelly paradise

Contrat

Chapitre 18

PDV Justin

« L'amour qui ne s'accroît pas de jour en jour est une passion misérable. »

Honoré de Balzac (1839)

Elle était coincée contre un mur bloqué par mes gars qui tentaient désespérément de la déshabiller, moi j'étais simplement appuyé contre sa seule échappatoire, la seule porte de toute la salle. Je me confondais avec la partit sombre de la salle tandis qu'eux étaient sous les projecteurs.

Conscience – Tu devrais peut-être l'aider.

Justin – Chel ?

Conscience – Bah, ouais.

Justin – Elle n'a pas besoin de mon aide, elle se débrouille très bien.

Conscience – Faut vraiment que tu l'aides, la pauvre petite fais des choses étranges.

Elle était dans une position assez étrange qui j'avoue me donnai une terrible envie d'étouffer de rire. Cependant je contenais mes fourriers afin de ne pas paraitre étrange. A près tout un mec qui se met à rire tout seul dans un coin sombre, c'est super glauque.

Zac – Jay, regarde elle assume enfin ce qu'elle est !

Chace – Une pute ?

Zac – Mais non, une truie. (mort de rire)

Leurs blagues à deux balles sont vraiment nulles. Ils m'ont coupé dans mon délire solo.

Zain – Les gars on devrait arrêter là. Elle est complètement épuisée et blessée de partout. Vous n'y prendrez aucun plaisir.

Attends-je rêve ou il veut la défendre ?

Conscience – Bah, il fait ce que je t'avais dit de faire plutôt. C'est de ta faute si ce n'est pas toi qui a le bon rôle à la fin.

Moi – Mais je m'en fou enfaite.

Conscience – Ouais, t'as raison. Il ferait un beau couple tout les deux, je me demande comment on pourrait les appeler peut-être Chain ou Zecha. En plus si je me souviens bien Zain est le fils d'un PDG, c'est un très bon partit Chelly sera assurer d'avoir une vie de luxure...

Chace – Tu n'y prendras aucun plaisir.

Zac – Nous si. (avec un sourire narquois)

Moi – Bon, c'est bon les gars dégager. (d'une voix ferme)

Je m'approche lentement mais sûrement d'eux, laissant mon imposant et magnifique corps les impressionnés. Les garçons qui se battait s'arrêtèrent pour me laisser la place. Et j'arrivais enfin devant elle, son teeshirt complètement relevé donnait plus qu'un aperçu de ça splendide poitrine ce qui était un régal pour mes yeux, quant à la mini-jupe, elle aussi relevé me permettais d'entrevoir une certaine partit de son corps que j'avais déjà eu le droit de goûter une fois.

Conscience – Je te rappelle juste que tu n'es pas tout seul.

Puisque je ne peux pas la baiser autant la frapper. Je la gifle de toute mes forces, provocant un énorme fracas. Tous mes superbes muscles contractés, je fis en sorte de paraître énervé afin que les autres nous laisses seul.

Conscience – Franchement, mec, je vais te parler honnêtement parce que je suis ta conscience. Tu ne trouves pas que tu ressembles à Godzilla. Je veux dire tu te ramènes toi et ta fraise, les mecs se poussent pour te laisser passer. Et tu fais quoi, tel un mal dominant tu frappe une pauvre femelle de passage.

Sans prêter attention à son discours philosophique je continue à montrer ma supériorité.

Moi – Dégager tous de cette salle ! (d'un ton autoritaire)