Relation Professionnel

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PDV RYAN

Bon maintenant qu'elle a acceptée de travailler pour moi, il faut que je me canalise et tienne ce qu'il se trouve dans mon pantalon.
Je sens que ça va être compliqué, même avec une tenue pareil elle arrive à dégager un charme et une attitude terriblement sensuelle. Il va falloir que je la surveille, une beauté pareil peut facilement faire chavirer n'importe quelle homme. Mais elle est à moi, du moins, j'aimerais beaucoup.

Après notre négociation je décide de lui montrer moi même son bureau.

Au moment où je tourne les yeux pour voir sa réaction, je suis étonnée de ne voir ni de l'étonnement, ni de l'admiration

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Au moment où je tourne les yeux pour voir sa réaction, je suis étonnée de ne voir ni de l'étonnement, ni de l'admiration. Mais plutôt de la satisfaction, c'est ça, elle est contente de replonger peut à peut dans ce pourquoi elle a travaillée si dure.

D'habitude le peu d'assistante que j'ai pu avoir et à qui j'ai fais visiter leur bureau, avait toujours un " waouw" au bord des lèvres en voyant sûrement l'espace, le style et la vue. Mais la non, elle n'a pas les yeux écarquillés comme les autres pour exprimer sa joie d'être dans un beau lieu, elle à l'air contente de retrouver cet espace où elle pourra travailler. Ça me plait encore plus, c'est ce que je pensais elle n'est pas comme les autres.

Moi : il te plait ?

Eyden : Oui, c'est magnifique

Je m'efface un instant pour la laisser avancer dans le bureau. Elle arrive au niveau de son bureau, qu'elle frôle du bout de ses doigts en avançant vers la baie vitrée qui donne une jolie vu sur New York.

Eyden : J'adore

J'ai envie de la tester

Moi : Ça n'est que New York pourtant

Eyden : pour une Porto ricaine pur souche comme moi, ça n'est pas que New York

Elle tourne soudainement la tête vers moi pour planter son regard dans le mien

Eyden : tu ne devrais pas dire ça

Moi : pourquoi ?

Sa tête se tourne automatiquement à nouveau vers la baie vitrée. Elle a l'air songueuse en dessinant les buildings qu'elle voit au loin sur la vitre du bout de ses doigts

Eyden : si tu voyage beaucoup pour les affaires ou autres, tu devrais encore plus apprécier ton retour à la maison, pour toi ça devrait représenter plus. Même avec l'habitude tu devrais savoir déceler la beauté caché de cette ville

Sa façon de toucher et de regarder le monde, ça m'émerveille. Ça fais bien longtemps que je n'avais pas eu quelqu'un d'aussi sensible au monde qui nous entoure en face de moi

Moi : comment tu peux avoir une vision du monde aussi belle, et ne pas aimer ta propre personne ?

Un rire nerveux s'échappe de ses lèvres avant qu'elle se tourne entièrement face à moi

Eyden : ça, ce sont mes secrets monsieur Carter

Moi : je te l'ai dis, j'ai tout mon temps pour t'écouter

Eyden : je trouve que je t'en ai assez dis pour l'instant

Une voile triste passe sur son visage. Merde, il faut que je trouve un autre sujet

Moi : hm.. Bon, je vais te donner tes premières directives 

Son visage s'illumine à nouveau et elle me suit. 

PDV EYDEN

Une fois que Ryan m'es donné ses directives, je me met au travail sans tarder.
Je suis concentrée dans mon travail jusqu'à ce que l'ont frappe à ma porte.

Moi : Oui

Au moment où ma porte s'ouvre, sa grandeur s'efface complètement devant la carrure de Ryan qui apparaît dans mon bureau. Qu'est ce qu'il est beau quand même avec son foutu charisme et son assurance. Merde Eyden, c'est ton patron maintenant.

Ryan : pourquoi ça ne m'étonne pas de te voir encore ici ?

Moi : pourquoi ça devrait t'étonner ?

Ryan : il est 13h30 passé

Moi : je sais

L'étonnement flagrant qui se lit sur le visage de Ryan m'arrache un rire un peu trop spontané

Moi : Christian ne t'as pas prévenu ? Je ne vois pas souvent l'utilité de sortir déjeuner quand je suis en plein travail

Ryan : mais tu en as besoin

Moi : Ryan, ne me fais pas regretter de t'avoir parler de ma maladie, traite moi comme n'importe quelle de tes employés, s'il te plait

Il s'approche de mon bureau, en ne me lâchant pas une seule seconde du regard. Un rictus moqueur se dessine sur ses lèvres

Ryan : c'est d'accord, mais je vous signale que normalement mes employés me vouvoit

Je croise mes bras sur ma poitrine en soutenant son regard aussi intense soit il

Moi : dois je vous rappelez que c'est vous qui avais commencé à me tutoyer ? Monsieur Carter

Cette fois c'est un rire assez franc qui parvient à mes oreilles. Comme au bar de l'hôtel.. Je sens qu'il est différent des fois où nous nous sommes vu en dehors du travail.
Ça ne m'étonne pas, j'ai tout de suite vu que ça pouvait être un homme autoritaire, qui dissimule ses sentiments. Pour ne pas se laisser atteindre ou pour une autre raison, ça le regarde. Même si j'adorerais savoir qui est vraiment Ryan Carter.

Ryan : tu as raison et j'aimerais que ça continue, sauf qu'il faudra tenir ses formalités professionnel quand nous serons en rendez vous avec des clients

Moi : bien entendu

Ryan : apart ça tu as faim ?

Moi : oui, mais j'ai du travail

Je pense que j'ai parlée trop vite. Une grande main vient se poser sur mon dossier et le referme

Moi : eh !

Ryan : je t'emmène manger, maintenant

Normalement je me serais vite braqué à l'entente de ce ton autoritaire. Mais je sais que Ryan ne veut pas être brute avec moi. Il veut m'emmener manger pour mon bien après tout.

Ryan m'a emmené dans un restaurant italien pas très loin de Carter Corporation.

Ryan : alors comme ça tu parles italien ?

Moi : juste les bases

Ryan : je n'en saurais pas plus c'est ça ?

Moi : sì

Pendant le déjeuner nous avons beaucoup discuté de tout et de rien. Du travail que je devrais effectué etc..
C'était comme chez moi mais avec un peu plus de professionnalisme.  Je sentais que Ryan se retenait plus que d'ordinaire. Je ne lui en veux pas, au contraire ça m'aide à canaliser certaines de mes ardeurs causer par l'effet Carter.

Une fois de retour au bureau je reprend mes activités et boucles en fin de journées les deux dossiers que j'avais commencer dans la journée. J'ai passée les coup de téléphone qu'il fallait pour arranger cette histoire de chantier au Congo saboté.

Carter travail fait dans l'humanitaire et je trouve ça très admirable. Non seulement le travail que j'ai effectuer aujourd'hui m'a plu, la cause de Carter est aussi très intéressante et pour finir le patron aussi donc que demande le peuple.
Je vais peut être rester finalement.

L'homme Derrière Le PDG  (Is It Love ? Ryan )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant