7 ʀᴇᴀsᴏɴs ᴡʜʏ • [𝙗𝙩𝙨]

2.5

J'ai pas trouvé de photo ou de gif d'RM triste, ducoup bah, voilà

Rap Monster (Namjoon) :

Personne ne sait véritablement à quel point quelqu'un peut souffrir. Tu peux être assis à côté de quelqu'un qui réfléchit à la planification de son suicide, tu n'en sauras jamais rien. Tout ce que tu verras, c'est son sourire, celui qui lutte à travers la douleur pour se dessiner sur son visage, tant bien que mal. Tout ce que tu verras c'est une personne ordinaire. Tout ce que tu verras c'est ce qu'elle veut que tu voies.

Pourquoi demander si ça va ? Pourquoi se contenter d'un simple hochement de tête ? Pourquoi quoi ne pas creuser pour connaître la vérité derrière son sourire si faux ? Pourquoi ne pas explorer les profondeurs de l'infinie tristesse qui nous habite ?

Un jour on m'a dit que l'humeur d'une personne se répercutait sur tout un groupe. Alors je souris, je fais des blagues pour vous faire rire. C'est pour ça qu'on sourit. On pense inconsciemment aux autres, à ce qu'ils vont ressentir après. Mais sérieusement ? Voir une personne qui sourit se suicider du jour au lendemain ? C'est encore plus horrible. Sûrement qu'elle ne voulait pas que les gens s'inquiètent pour elle, qu'on l'aide, ou alors c'était une personne incroyablement forte. Ce masque qu'elle avait peint, en disant qu'elle ne rentrait pas dans notre jeu, qu'elle se moquait des insultes, et les masques crées par le lycée, comme quoi c'était une pute, et bien sous ces masques, se trouvait simplement une fille forte, comme il n'en a jamais existé, elle était juste trop accablée par la lourdeur des rumeurs. Nos rumeurs.

Ça fait mal de vivre dans le mensonge. De constamment cacher ses sentiments.

Nan..., enfaîte ce qui fait vraiment mal, c'est que tout le monde s'en fou.

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Je déteste le fait qu'on me voit entrain de pleurer, mais je déteste aussi le fait qu'on ne sache pas ce qui il y a réellement en moi. Quel horrible paradoxe.

Ce que les BTS voient, c'est un ami qui essaie de rester fort. Pas un frère horrible qui vient de perdre sa sœur.

Mais elle, ça se voyait qu'elle était mal, qu'elle avait besoin d'aide, malgré ses efforts pour cacher ce qu'il y avait en elle et sur elle. Et elle n'en a pas reçu. Honte à nous, honte au lycée, honte à moi.

Elle ne vivait pas, elle survivait. Et peu importe la façon dont elle est passée de l'autre côté, que ce soit par la corde, la noyade, la mutilation, les médicaments, elle nous a quittés.