Ça a été le trajet le plus long et le plus chiant du monde car de un, je crevais de chaud avec se gros matou sur moi en plus des vingt-cinq degrés en plein nuit et de deux se chauffeur se foutait littéralement de ma tronche. Bah oui après quinze minutes de voiture, se maudit félin à collé sa truffe sur mon entrejambe et n'a pas voulu l'enlevé de tout le reste du trajet donc j'étais très mal à l'aise et je le suis toujours. On vient, après une heure et demie de voiture, d'arriver devant un grand portail noir en plain milieu de la forêt. Vivement qu'on arrive car je suis complètement lésivé et j'aimerais bien dormir et surtout que cet obsédé de matou VIRE sa PUTAIn de truffe de mon entrejambe.
Moi : C'est quand qu'on arrive? C'est quand on arrive? C'est quand qu'on arrive ? C'est quand qu'on arrive? C'est quand on arrive? C'est quand qu'on arrive ? C'est qu...
Je sais seul les gamin font ça mais mon quota de patiente est plus que dépassé.
Mat : La ferme !!! Ou je te jure que je te scotche la bouche. Qu'est-ce que tu peux être ...
On fait trop de bruit pour le gros matou ou notre chauffeur a fait quelque chose qu'il ne faut pas car sans même un avertissement, il passe devant et l'attaque. Je le sens pas se coups là donc je sort rapidement de la voiture en refermant la portière. En regardant près de l'ou on s'est arrêté je remarque un interphone pas loin de la vitre conducteur. On sait jamais quelqu'un pourrait venir aider si je demander. J'active l'interphone.
Moi : Hola. halo. halo. Y'a une panthère des neige enragé qui essaye de buté le chauffeur dans la voiture devant portail. Je suis pas sûr que la bagnole va y survivre.
J'entend un déclic de l'autre coté de la ligne puis le portail s'ouvre.
Interphone : Suivez la route. On se charge du reste.
Aussitôt sa phrase fini que la communication se coupe.Je sort mon portable et ai la joie de constater qu'il n'y a aucun réseau donc impossible de contacter quelqu'un et encore moins utilisé le GPS pour partir d'ici. J'ai plus car suivre la route jusqu'à une destination inconnu. Je suivi donc la route grâce à la fonction lampe torche de mon portable. Après vingt minutes de marche sur une route dans le noir en plein milieu de la forêt j'arrive sur une section éclairée par des lampadaires. Je continue de marcher en coupant la lampe sur monter et arrive rapidement devant une baraque immense, un manoir tout droit sortie des séries télé.
Moi : Pu...tain. C'est immense et faut que je rencontre quelqu'un ici.
Je me rapproche le plus vite possible du bâtiment, après tout plus vite je rencontre cette personne et plus vite je rentre chez moi. J'accélère le pas et une fois devant l'immense porte d'entrée je lève la main pour toquer mais les portes ouvrent d'elle-même et je me retrouve avec un majordome avec un chandelier tacher de rouge. Ça fait vachement film d'horreur maintenant et généralement dans ses films là le personnage que je représente meure dans d'atroce souffrances. Maman je veux rentrer à la maison...
Majordome : Avez vous une invitation jeune homme.
Moi : Euh non. On ma juste dit que quelqu'un voulait me parler. Le on c'est Mat le chauffeur mais il doit s'être fait bouffé par la panthère des neige à cette heure là si les gens de l'interphone sont pas arrivé à temps.
L'homme en queue de pie me regarde avec un sourcil levé puis m'invite à entré et à le suivre. L'intérieur est aussi grand que le laisse penser l'extérieur et en plus c'est décoré avec un certain gout. A force de tourné et retourné je suis complètement perdu et surtout incapable de retrouver la sortie tout seul. On arrive enfin a destination je pense car le majordome s'arrête devant un porte en bois massif richement décoré et y toque deux fois avant de l'ouvre.
Majordome : Si monsieur veut bien se donner la peine d'entré dans cette pièce.
Si un jours je deviens super riche j'en veux un comme lui, il est trop cool. Je rentre dans la pièce, ou plutôt le bureau vue l'énorme qui trône devant une porte fenêtre. Je suis seul dans la pièce. Elle est où cette personne qui veut me parler ? En attendant, je me balade dans la pièce et admire surtout le nombre d'ouvrages contenue dans la bibliothèque murale du bureau sur le mur de droite. Après un moment qui me parais interminable je m'installe sur le canapé face à la cheminé et m'endort.
Les rayons du soleil sur mon visage me réveille lentement. J'étais dans un lit très confortable et scandaleusement moelleux, que je n'avais absolument pas envie de quitter. J'ouvre les yeux et remarque un plafond avec des moulures. C'est pas ma chambre ça et encore moins mon lit. Je tourne lentement la tête et tombe nez a nez avec un mec qui j'avoue est plutôt mignon mais je préfère les filles au dernière nouvelle. J'essaye lentement de m'éloigner de lui mais un bras est fermement attaché à mon bassin. Je lève lentement les draps, ouf. Je suis toujours habillé. J'attrape avec beaucoup de précaution le bras et l'enlève sans réveiller l'inconnu. Une fois cela fait, je descend du lit en évitant in extremis de me casser la figure. Mais c'est quoi se lit de merde ?!?! Il est super haut, limite 1m et le matelas est super épais.
Je me dirige donc vers la première porte face à moi en croissant les doigts pour que ça soit la sortie. Pas de chance, c'est une salle de bain aussi grande que la chambre. Je continue ma recherche et après la quatrième porte je trouve enfin la sortie de la chambre. Je n'est pas le temps de savourer le plaisir d'avoir trouvé la bonne porte quand une voix mi-grondante mi-endormie m'interrompt.
??? : Tu vas ou comme ça petit ourson ?
Je me retourne lentement et le regarde. Vous connaissez ses scène dans les reportages animalier ou un bête chassant fixe sa proie prêt à lui sauter dessus pour la bouffer. Bah maintenant tout de suite, ce mec à le même regard et de se fait c'est moi la proie. Mon instinct de survie toujours là quand il faut, me fait partir en courant dans le couloir. Je cours comme un dératé et me perd complètement vue que je ne sais pas ou je vais. Au détour d'un couloir, j'ouvre une porte au hasard et entre dans une immense bibliothèque. Elle est immense et s'étale au moins sur trois étages de se que je vois. Complètement absorbé par l'exploration de la bibliothèque, j'oublie de fermer la porte et m'enfonce dans ses rayonnage. Après je ne sais combien de temps je m'installe dans un coin au deuxième étage de la bibliothèque entouré de plusieurs tours de livres sélectionnés ici et là et m'en fait une muraille qui me cache du regard des autres. Je viens de fini le troisième livre quand une paire de mains me soulève par les aisselles comme si je ne pesais rien.
??? : Trouver petit ourson fugueur.
Crotte. Il m'a trouvé. Il me retourne lentement et plonge ses yeux dans les miens. Une minutes papillons. Ils ont plus la même couleur, tout à l'heure il était bleu maintenant ils sont vers et ses pupilles ressemble énormément à ceux d'un chat.
??? : MIEN.
Moi : TIEN.
Pourquoi j'ai dis ça moi et pourquoi il dit ça lui. Il me colle contre lui et son odeur emplie mes poumons. Mon dieu. Son odeur est divine, il sent tellement bon. Par réflexe, je m'accroche à lui comme un koala et glisse mon nez dans son cou. Son odeur y est la plus forte. Comment je sais ça ? En tout cas lui aussi à la tête dans mon cou, sauf que moi je fait rien et que lui me mordille et que ça me fait rougir et me sentir bizarre. Si on était dans un roman à l'eau de rose, je serais une fille et lui avouerais ensuite un amour inconditionnel. Mais on est pas dans un livre et la magie du moment se fit la malle fissa quand mon estomac cria famine. J'essaye de descendre de mon perchoir mais se dernier n'en à absolument pas envie et me tient fermement
??? : Arrête de gigoter. On va manger un bon petit déjeuner et ensuite toi et moi allons avoir une discussion petit ourson.
Moi : Arrête de m'appeler comme ça et je peut marcher tout seul. Monsieur mystère.
??? : Alors primo, je ne m'appelle pas monsieur mystère mais Ethan. Deusio, je sais mais c'est mon privilège de te porter comme ça.
Toute en parlant, il avait navigué dans ses couloirs sans fin pour enfin entrer dans une énorme salle à mangé genre château de Versailles. Il s'installe sur une chaise au bout de la table en me gardant sur ses genoux face à lui.
Moi : peux pas prendre mon petit déjeuner comme ça
Ethan : Mais si tu peux car c'est moi qui vais te nourrir. Et c'est non négociable.
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Jaloux comme un tigre
ParanormalDepuis une vingtaine d'années, des gens disparaisse un peu partout dans le monde. Cela se passe toujours de la même manière : un groupe de personnes en costard passe dans une entreprise ou un établissement scolaire, le lendemain une ou plusieurs per...