Chapitre 7

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PDV Floren :

Je me levais rapidement et m'éloignais de l'autre pervers. PLUS JAMAIS JE LE LAISSE S'APPROCHER DE MOI !!! Je mis le maximum de distance entre nous avant de le regarder de nouveau. Oh putain de merde d'sa mère la boulangère!! Je lui avais complètement pété le nez, je savais que j'avais la tête dur mais pas que c'était au sens propre. Je tâte l'arrière de mon crâne à la recherche d'un hématome en formation mais rien, que dalle, que tchi.

De son côté, Monsieur muscle pissait littéralement le sang et son nez était comment dire... anormalement plat. Non content de la nouvelle apparence de son nez, il se mis à le manipuler pour le remettre en ordre foutant du sang un peu partout sur son haut et ses mains au passage. Je vous passe les bruits d'os et les grondement qui ont accompagné le processus mais au bout de quinze minutes sont nez était comme neuf (si on ne tient pas compte du sang) et moi planqué derrière ma mère (accessoirement rempart anti-musclore). Ce qu'il venait de faire était affreusement deguelasse et effrayant mais j'avais envie de retourner entre ses bras. Mais qu'est-ce qu'il ne va pas bien chez moi à la fin!!!

Ethan : Ramène ton joli petit postérieur ici Floren.

Je le regardais en étant à moitié planqué derrière ma mère. Alors là, il rêve

Moi : Nope. Va brûler en enfer.

Je me planquais totalement derrière ma mère sans pouvoir décrocher mon regard de ses tablettes de chocolat dévoilées par sa chemise ouverte.

Maman : Ethan, reste ou tu es s'il te plaît ou tu risque en effet de brûler.

Ethan : Vous me menacez ?

Je savais pas ce qu'il y avait de drôle mais ma mère partie dans un fou rire monumentale qui nous pris tous au dépourvu.

Maman : Escuse moi Ethan mais tu m'as mal compris. Je ne te menace pas, je te préviens juste que ton compagnon risque de te transformer en banane flambée si tu continues d'avancer. Tu ne risque rien avec moi niveau flamme. Si je voulais me débarrasser de toi, une petite potion et on aurai un chaton à ta place ad vitam eternam. Ou une carpette ça prend moins de place.

Ethan : Et comment vous pourriez faire ça hein ? Vous êtes de simple humains.

Margarette : Ferme-la le méthamorphe. Tu es seul contre trois sorciers donc fait pas le malin.

Méthamorphe ? Sorcier ? C'est quoi se délire ? Pourquoi je suis le seul ne rien comprendre dans cette conversation ?

Moi : STOP !!!

Ils se tournèrent tous vers moi en m'accordant toute leur attention dans un silence religieux.

Moi : Je veux non j'exige des explications. Et maintenant.

Margarette se mit à glousser avant de faire signe de s'installer sur le canapé. Je m'installais rapidement sur le canapé ou l'autre énergumène canon n'était pas, ce qui provoca de nouveaux gloussements de la part de ma mère de de Margarette. Ces deux la virerent l'occupant de l'autre canapé et si installèrent. Résultat des cours après dix minutes d'affrontement, je finis de nouveau sur les genous d'Ethan. Grrr. Duo de conspiratrices...

Maman : Mon chéri arrête de grogner. Ton compagnon t'as serte marqué mais pas transformé à ce que je sache.

Ethan : Je l'ai juste marqué comme compagnon madame. Pour le moment...

Maman : Rien. Du. TOUT. Ethan. Si tu le transforme sans avoir l'autorisation de ses aînées, qu'importe qui tu soit, ce que tu es et ton poste au sein des tien tu le payeras chère, très chère.

L'ambiance devient soudainement très lourde entre ma mère et mon fauteil. De son côté la vielle bique se marrais comme une petite folle. Et moi j'étais totalement pommé. Je bouillais de rage et tout le monde mignorais. Toutes leur discussions sans rien m'expliquer commençais à me courir sur le haricot. Et en plus je commençais à avoir vachement chaud. Ah bah non, c'etais normal. J'etais en feu, au sens propre bien sûr.

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Pdv Ethan :

Mais c'était quoi se bordel ? Déjà se matin je me réveillais seul dans notre lit alors que mon âme-soeur devait être à mes côtés, ensuite je découvrais qu'elle avais réussi à se sauver de la propriété au milieu de la forêt, pour finir il était arrivé à Paris et pour couronner le tout lui, sa mère et la vielle femme ici présente étaient des sorciers. Donc pour continuer dans cette magnifique journée de merde, il était actuellement sur mes genoux et en feu. Et quand je disais en feu, c'étais que j'avais actuellement une torche humaine sur les genoux.

Moi : Putain c'est quoi se merdier ?!?!

Je me levais précipitamment en le tenant avec précession en l'air pour qu'il ne mette le feu à rien et surtout en évitant de me brûler les mains. Mais étrangement, les flammes qui me touchaient ne me brulaient pas. Je le posais alors délicatement sur le sol mais le remettais en l'air assez vite quand le sol commença à bruler sous ses pieds.

Moi : Pourquoi ça ne brule pas alors que ça brule le sol belle maman ?

Cathy : Cathy et non belle maman. Et ça ne te brule pas car tu es son âme-soeur. Il ne peut pas te blesser. Maintenant tu t'assois et tu te calmes pour qu'il puisse se calmer et ainsi ne rien brûler de plus. Avec un peu de chance, son état s'arrangera quand il sera calme.

Je m'exécute avec beaucoup d'appréhension. Et si le canapé brulais. Et si mes vêtement brulait. Et si... Je vous laisse deviner la suite. Mais au final rien, pas de canapé brûlé ni de vêtements en cendres. Juste ma petite torche humaine qui ronchonne sur mes genous et me donne surtout très chaud. Essayons de le calmer.

Moi : Mon coeur. Tu pourrais redevenir normal enfin plutôt arrêter les flammes. S'il te plait mi corason

Floren : ... Grumph ...

Ça fait un coups dans l'eau, essayons autre chose.

Moi : Mon cœur, si tu veux des explications sur la situation faudrait que tu te calmes et éteigne ses flammes sinon on te balance dans une piscine.

Alors est-ce que ça va marcher ou je vais devoir appliquer ma menace.

Floren : ...

Bon bah direction la piscine. Je me lève et commence à me diriger vers une fenêtre mon âme-soeur dans les bras. D'un coups il s'agite et essaye de descendre de mes bras.

Floren : Non fait pas ça! J'y arrive pas!! Je sais pas comment faire!!!

Je m'arrête et me retourne vers les deux sorcières pour avoir un coups de mains.

Margarette : Envoyez vous en l'air comme des bêtes sauvages. Ça devrais calmer ses ardeurs.

Ah bah pour calmer ses ardeurs ça les à calmer. En un instant les flammes se sont éteintes et je me retrouve avec mon âme-soeur en sueur et apeuré dans les bras. On dirait un lapin, trop mimi. Merde, je devient niais c'est pas bon. Je retourne directement sur le canapé et mit installe confortablement avec mon compagnon sur les genous et mes mains sous son haut. Ça fait tellement de bien de le toucher peau contre peau. Je suis pressé qu'on soit nue dans notre lit.

Moi : Qui commence ?

Cathy : Alors c'est une histoire qui commence comme beaucoup d'autre. Il était une fois...

Jaloux comme un tigreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant