Depuis une vingtaine d'années, des gens disparaisse un peu partout dans le monde. Cela se passe toujours de la même manière : un groupe de personnes en costard passe dans une entreprise ou un établissement scolaire, le lendemain une ou plusieurs per...
J'en revenais pas, il était venu de lui même jusqu'à moi avec une odeur divinement alléchante et avec une attitude provoquant. Déjà quand il était entré tout à l'heure, son odeur et son air mutin m'avaient presque fait sauter sur lui pour le faire mien définitivement et maintenant, il se déshabillait devant moi doucement sur le canapé. J'avais craqué quand se petit tentateur s'assit à califourchon sur moi et qu'il glissa ses mains sous mon t-shirt. J'attendais un peu et n'ayant aucune réaction de recul de sa part, j'enlevais mon haut et le plaquais contre moi brutalement. Ça faisait un bien fou et en plus il en demandait plus. Je pris mon temps pour savourer son petit corps du regard. J'y déposais un chapelet de baiser d'abord sur son cou puis sur son torse descendant petit à petit vers son nombril. Arrivé a se niveau, je soufflais léchais lentement son nombril avant de remonter me charger de ses mamelons. Je me mis à en sucer un tendit que je me chargeais de l'autre manuellement. Sous mes attentions, ma moitié se mis à se courber en arrière en poussant de petits gémissements très sexy.
Floren : Encore, geint-il en appuyant ses mains sur ma tête.
Je me mis à sucer plus fort provoquant de nouveaux geignements puis pour être équitable, je me mis à sucer l'autre bourgeon. Il avait un gout tellement succulent que je le dévorerais tout cru mais j'avais d'autre idée en tête et la première nous donner beaucoup de plaisir à tous les deux ensembles. J'étais sur lui et le dévorais des yeux. Après un premier baiser timide, je recommençais de nouveau où nos langues se jouèrent l'une de l'autre, je sentis son désir se manifester par une érection grandissante contre ma peau. Son envie grandissante se manifesta encore plus dans son regard qui descendit doucement vers mon bas-ventre puis un nouveau gémissement de plaisir quand ma bouche prit possession de son sexe après avoir enlever son caleçon. Il s'abandonna complètement et je perçus son bonheur en entendant ses râles de plaisir qui s'ajoutèrent aux miens. Enhardis par ses encouragements, je commence à titiller sa porte arrière avec un doigt. Je romps enfin notre baiser et le soulève. Nous passons dans la chambre attenante et le dépose lentement sur le lit.
Je l'abandonnais là sur le lit le temps de finir de me déshabiller puis je repris la conquête de son corps. N'y tenant plus je fis glisser mes mains sous ses fesses et le tourna légèrement avant de me coller contre lui me frottant contre lui. Florent enroule ses jambes au tour de moi, sans le lui demander il se met à sucer les deux doigts que je lui présente et les mouille très rapidement. J'enlevais mes doigts pour plaquer mes lèvres contre les sienne puis je le pénètre lentement avec un doigt d'abord lentement le temps qu'il se détende puis j'en ajoute un deuxième puis un troisième. Il commence à se tortiller sous mes attentions.
Floren : Prend moi !! Je t'en supplie fait le, j'en peut plus.
Moi : Tes désirs sont des ordres mo gràdh, amore mio, lui répondis-je avant de le pénétrer jusqu'a la base d'un seul coup.
J'étais enfin en lui là où j'aurais de l'être depuis si longtemps. J'attendis un peu qu'il s'accommode à la pénétration que je venais de lui faire subir mais très rapidement ma nature sauvage pris le dessus et je commençais à le pilonner. Ses couinements de douleur se transformèrent rapidement en cris de plaisirs qui sonnaient à mes oreilles comme des encouragement. J'en avais rien à faire que les autre occupants de la maison nous entendent, le plus important c'était de le marquer comme mien et j'avais trouvé les bon endroits.
J'arrêtais mon vas et viens sous les plaintes de ma moitié et le retournais sur le ventre avant de le pénétrer de nouveaux après l'avoir fait se mettre à quatre pattes. Je fis peser mon poids sur son dos et embrassais sa nuque en accélérant la cadence de mes vas et viens. S'entant ma jouissance venir, mes crocs d'accouplement sortir d'eux même et vient les planter à la naissance de son cou et de son épaule droite. L'effet fut immédiat, Floren jouis immédiatement se resserrant autour de moi me faisant le suivre dans la jouissance quelque coups de butoir plus tard. A bout de force, il s'écroula sur le lit quand ses bras le lâchèrent. Ne voulant pas quitter son doux fourreau, je nous fis rouler sur le côté et pris le soin d'admirer ma marque de morsure toute fraîche près de son cou. Il était enfin a moi, je léchais les dernière trace de sang de la morsure avec application. J'avais aussi sommeil que lui mais avant de dormir, j'allais devoir le laver sinon il allait être collant quand il se réveillera. Je me retirais et allais dans la salle de bain un gant mouillé puis lavait toute trace de nos ébats. Pendant que je le faisait je découvrit un tatouage qui était apparus sur le bas de ses reins, il me fit tout de suite bander de nouveau. Mais en prévision de ce qu'il l'attendait se soir je le glissais rapidement sous la couette après avoir changé les draps du lit. J'allais dans la salle de bain pour me laver rapidement à l'eau froide pour me calmer et c'est lorsque je me séchais que je remarquais un étage tatouage entre mes deux omoplates alors qu'il y aurait du avoir des traces de griffures laissés par Floren.
Moi : C'est nouveau ça.
Je restais un moment à regarder le tatouage plein de fierté, à tous les coups il me venais de mon compagnon. De ce que m'avait raconté les anciens lors que deux âme-sœurs se liaient, chacun avait gravé dans sa chaire la marque de l'autre avait un point commun. Je retournais me glisser sous les draps et me collais contre ma moitié. Il était si mignon, une fois rassasié il s'était endormi d'un coup. Il va falloir travailler son endurance car la prochaine fois, on ne le fera pas qu'une seule fois. Je le serais contre moi et une fois bien installé, je m'endormis comme un bien heureux.
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tatouage de Floren :
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