Jaloux comme un tigre

Chapitre 9

PDV Cathy :

Moi : Maman. Les deux jeunes ne risque rien ? Connaissant ta maison je préfère savoir.

Maman : Mais non il risque rien. T'es-t-il déjà arrivé quelque chose de grave ici ?

Moi : Laisse moi réfléchir... Je me suis fait attaquer par une momie  trois fois dont une fois où j'étais dans la douche, je me suis perdu pendant deux semaines dans l'aile Est qui se réorganise toute les 3 minutes, pour mes seize ans à Halloween la maison a été envahie par une armée de zombie... Qu'est-ce qu'il y a d'autre ? Les portes donnant sur des précipices sans fond, à l'intérieur de volcan, celle qui envoie en enfer, celle qui envoie dans le placard à chaussures ton amant ou encore dans un club SM. Mais non tu as raison, ils ne risquent rien.

Maman : bah voilà. Tu as survécu pendant vingt ans, ils peuvent y survivre un jours ou deux

J'avais bien eu raisonnée me casse de cette baraque de merde. Je ne savais même pas combien de fois j'avais fini à l'hôpital à cause des expériences foireuses de ma folle de mère.

??? : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!

Ça ne faisait même pas cinq minutes qu'ils sont partis et j'entendais déjà Floren hurler. J'espérais qu'il n'était pas tombé sur la salle de torture de sa grand-mère ou une autre salle renfermant des monstres foirés sinon j'allais tué ma mère une bonne dizaine de fois. Nous nous précipitâmes à l'étages pour découvrir la cause de se hurlement et on découvrit au carrefour d'un couloir de l'aile ouest une scène plutôt sur réaliste : Un tigre à dents de sabre de la taille d'un cheval face à une armure noire sans tête et vide tenant mon fils inconscient dans ses bras.

Armure noir : Salut chérie. Regarde ce que j'ai trouvé en train de tomber dans le précipice sans fond du couloir de torture. 

L'armure venais de parler, c'est tout ce qu'il y avait de plus normale dans cette maison mais le "Salut chérie" ça c'était étrange. Et je n'était pas au bout de mes surprises car une ribambelle des culottes en dentelle de ma cinglée de mère tomba de l'armure.

Maman : Mon chérie. Pourrais-tu reposé ton petit-fils avant que son compagnon ne te transforme en tas de petits bouts de ferraille machées.  Et je pense que ce sera une mort fort fort douloureuse et lente.

Moi : Tu es en train de me dire maman que cette perverse d'armure sans tête n'est autre que mon paternel et le grand-père de Floren ?

Maman : Oui oui c'es ça. C'est un peu compliqué à expliquer on verra plus tard. Hein ?

Pendant ce temps mon armure de père, avait déposé mon fils et en bon pervers récupéra rapidement les petites culottes avant de se reculer à une bonne dizaine de mètre de Floren et du félin.

Moi : Mais qu'est-ce qu'il se passe ici bon sang de bon soir ?!

Pendant un moment, ce fus le silence totale puis une cacophonie incroyable en l'armure parlante perdant des petites culottes a chaque mouvement, ma mère qu'il parlait et un félin de fort mauvais poils couché sur mon fils feulant comme un diable. 

Moi : STOP !!! Ethan redevient humain sur le champ ou je te jure sur ce que j'ai de plus précieux que je te transforme en descente de lit! L'armure obsédée tu vire de là avec tes petites culottes et tu reviens sans où je te jure que je te transforme en cannette de soda compressée et toi maman TU L'AS FER-ME!

J'était hors de moi, ma mère qui parlais de potion et d'expérience sexuelle avec mon père qui ont malheureusement foirées, ce dernier qui se baladais avec des dessous de la première sous forme d'armure et mon fils inconscient a deux doigts d'étouffer sous son propre compagnon. Je sortie des potions de dragons de mon sac à mains ce qui fit obéir mes parent rapidement et mon paternel parti en courant sans rien perdre. De son coté Ethan se décala assez de Floren pour que se dernier qui avait repris connaissance puisse respirer sans avoir à mourir étouffé.

Moi : Dans le salon et tout de suite.

Dans un belle ensemble tout le monde retourna dans le salon ou mon armure de père nous attendait sur un fauteuil avec son casque qui avait fait son apparition.

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PDV Floren :

De nouveau dans le salon, nous eûmes une grande discussion. Mon grand-père et ma grand-mère avaient tout deux plus de mille cinq cents ans alors qu'il n'en paraissaient trente, enfin pour ma grand-mère car il était difficile de voir l'âge d'une armure, et à cause d'un raté ou une erreur de dosage lors de la réalisation d'une potion aphrodisiaque mon grand-père se retrouvais transformer en armure possédée, cleptomane et perverse. Ensuite ma mère et Ethan m'apprirent qu'à la prochaine pleine lune, soit dans une semaine ou sept jours pour ceux qu'y ne le savent pas, j'allais:

- rencontrer mon esprit gardien car oui tout les sorcier en ont un 
- faire une cérémonie d'union avec Ethan 
- devenir son compagnon pour le restant de mes jours car le divorce ils connaissent pas les méthamorphe
- accessoirement consommer le lien ou un truc dans le genre mais personne n'a voulu me dire précisément quoi et comment ça se fait
- je vais devoir vivre avec Ethan car nous sommes des âme-soeur et que c'est la loi 
- je n'ai pas mon avis sur la question  Ethan/méthamorphe car si j'ai bien compris ouvrez les guillemets : sépare deux âme-soeurs séparées trop longtemps ou se faire rejeter par son âme-soeur = la mort lente des deux ou de l'un puis la mort de l'autre juste après la mort du premier

Et pour contrebalancer toute ces mauvaises nouvelles, ma mère m'appris que le ticket à gratter de la dernière fois lui avait fait gagner un millions d'euro et que du coup on déménageais. Et devinez ou, chez Ethan qui avait soigneusement proposer d'accueillir la mère de son compagnons chez lui.

La discussion terminé, il était déjà sept heure du matin. On avait parlé toute la nuit et je fini inexorablement par fermer les yeux entre les gros paluche d'Ethan qui j'en suis sûr devait ressembler à un chat rassasié par un bol de crème se léchant les babines en prévisions de son prochain coup. Après ce n'étais pas de ma faute, j'étais tellement bien installé sur lui mais je ne lui dirais jamais. Il peut toujours se brosser pour que je lui dise à haute voix. J'allais profiter de ma bouillotte personnelle encore un moment mais il ne fallait pas que je m'endorme. C'était plus facile à dire qu'à faire car a peine cinq minutes plus tard j'était en train de bailler au corneille de manière tout sauf discrète.

Ethan : Aller au lit mon coeur.

Moi : Au lit ok (baillement) mais sans toi (baillement) dans le lit.

Ethan : Ok, je te le promets. Je ne dormirais pas dans ton lit.

J'étais trop fatigué pour aller chercher un lit et accessoirement un lit où dormir donc je laissais l'autre change-formes me porter alors que je somnolais. Je me pelotonnais contre lui pour profiter uniquement de la chaleur qu'il dégageait et uniquement ça donc n'aller pas croire autre chose. Un temps indéterminé plus tard, je me fis déposé délicatement sur un lit scandaleusement moelleux. Je roulais lentement afin de m'éloigner de lui.

Moi : Oust. Dehors maintenant.

Ethan : Non mon coeur. Je reste, j'ai seulement dit que je ne dormirais pas dans le même lit que toi et il y a un canapé confortable dans la chambre.

Moi : Grumpf ...

Je me glissais tranquillement sous la couette avant de tomber aussitôt dans les bras de Morphée.