PDV Floren :
A vingt-et-une heure trente précise la porte de la chambre s'ouvrit sur ma mère tout en beauté dans un robe de soirée magnifique, elle en était renversante et je tue le premier qui dit le contraire.
Moi : Tu es magnifique maman.
Maman : Toi aussi mon chérie quand on aura réglé ton costume avec un peu de magie.
Et une demie-heure et quelques goutes d'une potion bizarre plus tard, j'étais prêt avec un costume parfaitement à ma taille. Escorté par ma mère et une femme inconnue, nous allâmes dans un couloir que je ne connaissais pas et empreintes une porte totalement noire. Nous arrivâmes en bordure d'une clairière au beau milieu d'une forêt verdoyante. Au milieu de la clairière se trouvait regroupé des personnes. Nous nous rapprochâmes lentement et les gens s'écartèrent révélant un cercle tracé au sol avec de nombreuse bougies. Seul ma mère m'accompagna au centre en me poussant d'une mains dans le dos et une fois arrivé l'ambiance changea du tout au tout. Les gens présent se répartir tout autour du cercle puis ma mère commença à me présenter une partie des personnes présente. Toutes étaient des frères ou soeur de ma mère : Jésus dont on devais prononcer le prénom avec un accent espagnol, Maria, Eustache, Hannibal, K, les jumeaux Miro et Mira et mon oncle préféré Jean-Eustache junior. Elle m'expliqua aussi que pour le plus vieux de mes oncles il était née quand ma grand-mère avait seulement cent ans, il avait été conçus lors d'une bacchanale un peu trop arrosée. Les plus jeunes avait cent vingt ans et avaient survécus à la guerre. Toute la fratrie avait hérité de la jeunesse éternelle de grand-mère et de la santé de fer de grand-père mais bon moi j'étais pas concerné comme mes deux cent quatre-vingt six cousins et cousines dont une grande partie était déjà morte (les trois quart environs). Pour ce qui était des gens restant, c'était la famille de mon géniteur, mon géniteur et sa compagne et des représentants des autorités sorciers. Les derniers étaient au nombre de quatre et étaient facilement reconnaissable à leur toge blanche et noire. Permis la famille de mon géniteur, tout le monde prenait soin de ne pas me regarder ou de fusiller du regard avec ma mère. Ça ne me donnais pas franchement envie de faire connaissance, j'aurais préféré qu'il ne soit pas présent mais le pire c'était le couple dont la femme incarnant à la perfection le stéréotype de la blonde pétasse. Cette dernière riait comme une débille en se tenant au bras de son compagnon car elle n'arrivait pas à tenir de bout avec des talons aiguilles de vingt centimètres sur un sol en terre inégale. De retour au centre du cercle, ma mère fit signe à l'homme de se couple puis à un homme d'un certaine âge et à ma grand-mère et comme on pouvait si attendre la blonde suivit son compagnon dans le cercle alors qu'elle n'y avait pas été invitée. Je me demande bien qui est cette gros quiche maquillée comme un camion volé.
Maman : Pour répondre a ta question Floren. Cette gros quiche débile maquillée comme un camion volé est la catin de ton pè... géniteur et une blonde tout ce qu'il y a de plus débile et vulgaire
Elle se tourna ensuite vers mon géniteur et sa greluche pour lui hurler dessus;
Maman : James, dit à ta catin de viré son cul et ses seins en plastique du cercle ou je la transforme en grenouille recouverte de furoncles !!
L'effet fut immédiat, la concernée et mon géniteur devinrent rouge puis mon géniteur lui répondit.
James : Cathy, toujours aussi vulgaire à ce que je vois. La pomme de tombe pas loin de l'arbre après tout. Vous n'êtes qu'une famille de mal polit et d'abruti décérébrés. Et pour la énième fois, Beverly est mon âme-soeur, ma compagne et la future mère de mes enfant donc tu lui doit le respect.
Je ne sais pas trop ce qui était drôle dans ce qu'il venait de dire mais cela déclencha l'hilarité générale du côté de ma mère et de sa famille alors que du côté de mon père tout le monde tirait une touche de deux mètre de long.
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Jaloux comme un tigre
ParanormalDepuis une vingtaine d'années, des gens disparaisse un peu partout dans le monde. Cela se passe toujours de la même manière : un groupe de personnes en costard passe dans une entreprise ou un établissement scolaire, le lendemain une ou plusieurs per...