Je commençais réellement en avoir marre de se trajet pour Paris. Quel bande fainéants ses postiers. Faut quand même pas trois heures pour poser un putain de colis et partir voir si il y a pas mieux a faire ailleurs. Ça va faire deux heure que je suis arrivé à Paris et je commence sérieusement en avoir assez d'être dans cette maudite boite.
**Flash Back**
Je venais d'arriver devant l'entrée du lycée quand un pion vient à ma rencontre, j'avais de la chance c'était m'sieur Gijon. Ce pions était sympas quoiqu'un peu chiant sur les bord à faire ami-ami avec tout le monde.
Gijon : Bah alors qu'est ce que tu fait là Floren ? Tu as oublier des affaires? Ou ton ancien lycée te manque ?
Moi : Comment ça mon ancien lycée ? Je me suis juste pas réveillé se matin. C'est pas une raison pour me virer.
Gijon : Mais qu'est-ce que tu raconte. La direction a reçut un message se matin comme quoi tu changeais d'établissement. Tu es pas au courant on dirait.
Après une petite discussion fort interessante, je pris mes affaires dans mon casier et mon cadenas et partie car oui je n'étais plus un élève de se bahut. Je me rendis ensuite à la poste pour voir les horaires du bus me permettant de rentrer chez moi le plus vite possible. Grace à la fiche horaire et mon portable, il me restait plus que vingt minutes a attendre avant le suivant. Je patientais à l'arrêt de bus quand Christopher, mon voisin me fit coucou depuis l'intérieur du bâtiment des service postaux. Avec le temps que j'avais devant moi, je rentrais dans le bâtiment pour discuter avec lui. Une fois à l'intérieur, nous allâmes dans la salle de repos du personnel.
Christopher : Bah alors. Tu es pas en cours à cette heure là ?
Moi : Non j'ai pas cours. Et comme c'est les heures creuses, j'ai un bus toutes les heure pour rentrer à la maison.
Christopher : Si tu veux, tu peux me donner un coup de mains en salle des colis et je te ramène quand je finis mon service à dix-sept heure. Tu ferais comme pendant ton job d'été, classer les colis.
Moi : OK
Après avoir accepté, il me passe un uniforme et je me met à travailler. Mon dieu, c'est horrible, c'est pire que le sac à mains d'une femme, un bordel sans nom. Les colis sont sans dessus dessous, certain on été balancé au hasard d'autre son écrasé sont de plus gros. Il me faut trois heure pour ranger une bonne partie. Je continuais mon rangement quand une une voix que j'aurais préféré ne pas entendre apparu pour hurler comme un putois.
Ethan : Floren !! Ou es-tu ?
Qu'est-ce que j'ai fait au bon dieu pour mérité ça. Je tapais lentement ma tête contre la table de tri. Pourquoi moi? Je sorti de la salle et m'arrêtais dans l'embrasure de la porte derrière les bureau des guichetiers. Je fis signe à mon voisin que je ne voulais pas voir se gus et de le faire partir. Vous me dirais c'est pas simple de faire comprendre ça avec seulement des signes et sans faire de bruits. Je tentais un regard dans la salle. Ce couillons était venus avec Jimy et Kenny qui essayaient tant bien que mal de le calmer.
Christopher : Monsieur veuillez vous calmer. Vous faite peur au autre clients.
Je retourne en catimini dans la salle de tri et me met à chercher une cachette. A près une minute qui me paru interminable, je me glisse dans une caisse en direction de Paris entre deux gros vases archi moche. Qui peux bien avoir ça chez lui ? Je referme le couvercle de la boite en le faisant glisser dans l'autre sens. J'attend patiemment que le remue ménage coté par l'autre énergumène se calme pour sortir de ma cachète mais au bout d'un moment je m'endors comme un con.
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Jaloux comme un tigre
ParanormalDepuis une vingtaine d'années, des gens disparaisse un peu partout dans le monde. Cela se passe toujours de la même manière : un groupe de personnes en costard passe dans une entreprise ou un établissement scolaire, le lendemain une ou plusieurs per...