Jaloux comme un tigre

Chapitre 19

PDV Cathy :

Ça vas faire un mois depuis le fiasco de la cérémonie d'éveil, Floren est inconscient depuis et ne semble pas se réveillé et ne parlons même pas de sa blessure. De son côté Ethan est à deux doigts de devenir fou, il s'en veut comme pas possible de ne pas avoir pus protéger son compagnon et surtout de ne pas avoir retrouver James et son âme-soeur ainsi que le reste de la famille de se sale enfoiré vaniteux. Pourtant il se donne du mal pour les retrouver, l'intégralité de la communauté métamorphe les recherches depuis son réveil il y a deux semaines. Et ce n'est pas tout, il ne mange et ne dors plus et à déjà perdu pas mal de poids. De l'élégant jeune homme, que j'avais rencontrer chez moi il ne reste qu'une carcasse cernée et grognante qu'un simple coups de vent pourrait le briser en deux.

Il n'était pas encore neuf heure que le bêta d'Ethan descendit dans la cuisine la mine abattue et un énorme hématome lui mangeai la moitié du visage.

Moi : Kenny vient ici, on va mettre de la glace sur se bleue pour qu'il ne gonfle pas trop.

Je récupérais un baquet d'haricots verts congelés et lui mit sur le visage en le formant à s'assoir sur une chaise. Je lui fit une tasse de thé puis le laissait dans la cuisine avant d'aller dans le bureau d'Ethan. La pièce était plongé dans le noir et la seul source de lumière provenait d'un écran d'ordinateur survivant qui éclairait le visage de mon gendre.

Moi : Ethan, je te laisse le choix. Soit tu sort d'ici et va au coté de ton compagnon soit je te jette hors d'ici et tu ne le reverras jamais plus. Dans le cas du second choix je vous ferais avaler à tous les deux une potion d'oubli et vous ne vous souviendrais plus jamais l'un de l'autre. J'aurais tout le temps pour faire disparaitre le lien d'âme-soeur.

Pour toute réaction de sa part j'eu le droit à un grognement guttural et le bureau qui craquait. Puis il se leva et se retourna avant de prendre la parole.

Ethan : Je ne mérite pas d'être son compagnon. Je n'es même pas pus le protégé quand il en avait le plus besoin et maintenant il ne se réveille plus. La potion d'oublie est surement la meilleur solution.

Il venait vraiment de dire ça, ce petit con aveugle n'était pas capable de voir plus loin que le bout de son nez. J'allais donc faire un dernier essaie pour le réveiller.

Moi : Espèce de petit con sans cervelle et aveugle. Tu n'as pas été là au moment ou il a été blessé serte mais c'est la même chose pour moi et sa grand-mère. Pourtant on se s'appesantit pas sur notre sort comme toi. Tu es son compagnon, son âme-soeur et sa moitié mais au lieu d'être au près de lui quand il est le plus faible tu essaye de te tuer à petit feu en broyant du noir dans ton coin. Tu comprend pas pourquoi, il ne se réveille pas serte ils lui ont volé beaucoup d'énergie et sa blessure n'arrange pas la situation mais espèce d'abruti c'est à cause de toi si il n'ouvre pas les yeux. Ça fait deux semaines que tu ne manges pas, que tu ne dors pas et que tu te laisses dépérir mais celui qui est en train de mourir ce n'est pas toi c'est lui. Tu perd du poids mais c'est son énergie et sa vie a lui que tu es en train de siphonner et gacher. Si tu étais resté prêt de lui quelque jours de plus il serais déjà réveillé depuis un moment. Mais si tu ne peux pas comprendre ça, oui, la potion d'oublie est la seul solution.

Je sortie de la salle et dernière moi il se mis à hurler avant de briser le bureau en deux et jeter le pc dans le couloir. Je continuais jusqu'à la chambre de Floren, je croisais ma mère en chemin et elle m'appris que son état ne s'arrangeait pas. Si seulement un miracle pouvais arriver pour une fois.

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Pdv Floren :

J'avais tellement mal, mon corps entier me faisait souffrir mais le plus énervant c'était le bip aiguë et répétitif  qui résonnait dans la pièce mais aussi le fait que mes yeux était tellement lourd qu'ils ne voulaient pas s'ouvrir. J'essayais alors de bouger mon corps mais lui aussi avait décider de faire la grève, j'avais l'impression d'être passé sous un camion. Au bout d'un moment j'abandonnais et me rendormis, par moment je refaisais surface par intermittence et j'étais collé à un chauffage trop chaud et pourtant j'étais bien. Quand je me réveillait pourtant la fois suivante, la source de chaleurs si agréable n'était plus là et j'avais d'un coups extrêmement froid est je me sentait seul. Avec un effort qui me semblait surhumain, j'ouvrir les yeux pour découvrir que j'étais dans ma chambre chez ma grand-mère.

Moi : Maman, geignis-je plusieurs fois

L'instant d'après ma mère arrivait dans mon champs de vision heureuse comme tout.

Maman : Oh mon chérie. Ça va ? Tu nous a fait une belle peur à rester inconscient aussi longtemps. Mais bon le plus important c'est que tu soit enfin réveillé.

J'essayait alors de me redresser mais j'avais à peine esquisser le moindre mouvement que ma mère me plaqua au lit en ronchonnant.

Maman : Non tu restes allongé, tu es encore faible et c'est un ordre du médecin. Si tu insiste je t'attache au lit donc ne fait pas l'enfant et reste couché.

Vue le ton utilisé et le regard que ma mère me faisait, elle se faisait vraiment énormément de soucis pour moi. J'abandonnais pour lui faire plaisir mais il y avait quand même une question qui me tarabustait depuis mon réveille.

Moi : Maman, il est ou l'homme des cavernes pervers qui se change en félin ?

Ethan : Ici, j'étais parti au toilette et toi tu décide de te réveillé pile au moment ou je ne suis pas là, ronchonna mon ronchon de compagnon depuis la porte.

Il rallia rapidement le lit et s'installa à mes cotés puis avec une délicatesse que je ne lui connaissais pas il me pris délicatement dans ses bras en me gardant saucissonné dans les draps. Il s'installa ensuite adossé à la tête de lit et se mit à ronronner comme un chat. Le son était tellement agréable et hypnotique que mes yeux se refermèrent d'eux même m'envoyant de nouveau dans les bras de Morphée.

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Pdv Ethan :

Il s'était enfin réveillé et m'avait sourit. Son sourire avait allégé mon coeur mais ce n'était que provisoire car sa mère comme moi savions qu'il allait très mal réagir quand il découvrirait qu'il avait perdu son bras gauche.

Moi : Il n'a pas encore remarqué mais à son prochain réveil il faudra absolument lui en parler. Plus on tardera à lui en parler et moins bien il le prendra Cathy.

Cathy : Je sais. Je sais. C'est pas la peine de me le dire. En tout cas toi, tu à repris des poils de la bête en tout cas. Je t'avais dit que ça irai mieux qui vous restiez ensemble.