Jaloux comme un tigre

Chapitre 13

PDV Floren :

Dire que j'avais signé se document sur un coups de tête, me voila encore plus dans la merde. Pourquoi j'avais signé se foutu contrat ? Rhaaa. Sur le coups, ça m'était apparut naturellement comme la chose à faire et maintenant j'ai l'impression de m'être fait avoir en beauté. Au pire je pourrais le récupérer en douce et le déchirer ou le brûler. Mais maintenant le plus important c'est de calmer ma petite fringale donc direction la cuisine. Je pris donc le chemin de la cuisine a la recherche de cookies et de jus. Par miracle, il y en avait de tout chaud sur le plant de travaille et il avait des formes d'animaux.

Moi : Trop mignon !

Grand-père : C'est pour toi et ton compagnon. Les ours sont au miel, les loups au mures, les chat au caramel et lapin au chocolat. Prend l'assiette et apporte là dans le bureau, ta grand-mère et ta mère doivent avoir fini leur discussion maintenant.

Mon grand-père me mis un plateau avec une cruche de jus d'orange et l'assiette de cookies puis me poussa hors de la cuisine. Je retournais donc dans le bureau en grignotant des cookies en chemin, enfin façon de parler arriver devant la porte les cookies en forme de lapin et d'ours avaient complètement disparus. Pardon mais c'est trop bon surtout le chocolat. Après une dernière vérification sur d'hypothétique tache de chocolat sur mon visage, j'entrais dans la pièce sans autre forme de procès.

Moi :  C'est l'heure du goûter trou du cul !

Je m'arrêtais sur place, il était en plein milieu d'une téléconférence avec pas mal de monde vue le nombre d'écrans découpés en cadre allumé au mur.

Moi :  Oups... Je repasserais plus tard ou pas.

Je me retournais précipitamment dans l'espoir de m'enfuir mais j'avais à peine esquissé un pas vers la sortie qu'une mains m'attrapa et une autre me pris le plateau des mains. L'autre homme de cromagnon me balance sur son épaule puis retourna devant tout ses écrans. Il posa le plateau sur le bureau et j'atterris sur ses genoux une fois qu'il fut assis sur le bureau.

Ethan :  Mesdames et Messieurs. Je vous présence mon compagnon et âme-soeur. Tu te présente mon petit coeur, ces gens dirigent les métamorphoses des différents pays et sont sous mes ordres.

Moi : Enculé, lui murmurais-je à l'oreille.

Pour jouer le jeux jusqu'au bout et le faire chier, je regardais les écrans en souriant niaisement.

Moi : Enchanté de vous rencontrer mesdames et messieurs. Je suis le compagnon et l'âme-soeur de se gros matou en sucre. Je m'appelle Floren, je suis encore mineur et cet obsédé pense surtout à me mettre dans son lit donc c'est un gros matou pédophile.

Je pontuais ma présentation par un baisers bien sonore sur sa joue. A ma plus grande surprise, tout le monde éclata de rire sauf Le gros matou sur lequel j'étais assis et ce dernier grognais plus qu'autre chose.

Dame : Tu t'es trouvé un sacré petit bout comme compagnon Primus. Si il n'avait pas été tien, je l'aurais bien pris pour moi. Avec un caractère comme ça tu va t'amuser.

Ethan :  MIEN !!

Comme un gros taré il me serra fort contre lui. Son attitude provoqua un nouveau fou rire chez les autres métamorphoses sauf que moi j'étouffais avec l'autre qui me pressais comme un citron. Je me mis à lui mettre des coups quand je me rends compte qu'il ne desserrait pas son emprise et se con croyant que je voulais me sauver resserra d'avantage. Il ne me laissais pas le choix, je pris de l'élan et allait lui administrer un coups de boule quand un de ses subalterne lui fit remarquer que j'étais un peu bleu.

Ethan : Oh merde. Désolé mon coeur, dit-il en relâchant sa prise. Bon je pense qu'on poursuivra notre discussion plus tard. Au revoir tout le monde.

Tous les écrans s'éteignirent puis il me souleva et me fit faire un demi-tour avant de mettre son nez dans mon cou. Il se mit à respirer et progressivement son souffle se calma et ralenti.

Ethan : Qu'est-ce que tu m'as apporté de bon à manger à part toi, hein ?

Moi :  Des cookies pour que tu t'étouffe en les mangeant et du jus pour te noyer avec.

Et dire que ça le fait rire.

Ethan : Moi aussi je t'aime mon coeur. Tu ne mange pas toi ?

Après un moment de reflexion d'environ 2,5 seconde je trouve quoi quoi répondre. Il fait dire que ces derniers jours j'ai usé mon stocks de pics avec lui à une vitesse alarmante.

Moi : Nope. J'ai déjà mangé tout ce qui n'était pas drogué ou empoisonné donc si tu voulait bien faire une overdose et crever ma gueule ouverte, ça me rendrait grandement service.

Je me levais et après avoir récupéré la cruche de jus avec un verre, je m'installais sur le canapé pour déguster ce divin breuvage. Les jus de fruits étaient l'un de mes pêcher mignon alors qu'irroniquement je n'étais pas du tout un grand fan des fruits en générale. C'est la croix et la bannière pour m'en faire manger.
J'étais à mon troisième verres de jus et j'avais trop chaud. Le chauffage de la pièce devais être déréglé pour qu'il face aussi chaud et pour parler à ça je m'étais déshabillé partiellement.

Moi : Fait trop chaud ici, dis-je quand mon pantalon suivis le même chemin que mon haut.

J'te voulais me reprendre un verre de jus mais la carafe n'étais plus sur la table mais entre les mains de l'autre occupent de la pièce.

Moi : Rend le moi gros matou chapardeur.

Ethan : Non. Moi aussi j'ai le droit d'en avoir du jus d'orange, me repondit-il en buvant directement à la cruche.

Ce voleur venais de boir cul sec les trois quart du jus restant, il allait me le payer... Quand j'aurais moins chaud. D'abord le jus ensuite me rafraîchir. Je me levais du canapé en enlevant mon mailleau de corps et alla jusqu'à Ethan en caleçon. Je fis lentement le tour du meuble sous le regard du félin qui n'en perdait pas une miette la cruche à quelque centimètres de sa bouche. Je m'installais à califourchon sur lui et récupérait la cruche de ses mains puis but le reste cul sec. En touchant sa mains je constatais que sa peau était fraîche, divinement fraîche. Une idée fleuri dans mon esprit. Je glissait mes mains sous ses vêtements pour profiter de la fraîcheur de sa peau.

Ethan : Et ben dis donc ! Tu change bien vite d'attitude toi. Je suis si irrésistible que ça ?

Je l'ignorais et remontait son t-shirt pour me plaquer montre son torse. N'ayant rien contre, il retira son haut puis me plaque contre lui mais c'était pas assez j'avais encore trop chaud et mon esprit s'embrouillais de plus en plus. La seul chose importante c'était qu'Ethan me faisait du bien quand nous étions peau contre peau.

Moi : J'en veux plus, croassais-je faiblement.

Il se leva me portant avec mes jambes visées autour de son basin et mes bras autour de son cou.

Ethan :  Je vais te donner tout ce que tu veux mon coeur, murmura-t-il en m'allongeant sur le canapé juste en dessous de lui.

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Désole pour le retard, petite panne d'inspiration sur ce chapitre et du coups deux chapitre cette semaine

/!\ Dans le prochain chapitre lemon /!\