Chapitre 1 : Une nouvelle année :

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      Une soirée qui semblait a première vue parfaite... Jusqu'à que je les vois a ma porte d'entrée, un visage remplis de pitié. J'ai tout de suite compris de quoi il s'agissait mais je refusais cette possibilité... Ils mentaient. Puis je me rappelle des ses injures, ses coups... Il avait raison, je le méritais. En dernier lieux me revint en mémoire cette horrible nuit puis les suivantes, je me souviens de ses mains sur...

      Je me réveillai en sursaut dans mon lit les larmes dévalent silencieusement mes joues, traçant encore et encore ce même chemin qu'elles avaient dévalé temps de fois au paravent. Je pris de grande respiration silencieuse pour métriser au mieux ma crise qui se faisait de plus en plus présente, plus écrasante... J'en avais besoin, c'était la seule chose qui pouvait me calmer quand j'étais dans cet état. Je me levais silencieusement de mon lit et me plaça a deux pied de ma fenêtre, a l'aide de mes ongles je surélevai la fine planche de parquet marron claire et récupéra l'objet que j'étais venu chercher. Je me plaçai à nouveaux sous les couvertures avec cette petite bouteille... Si petite et pourtant si libérateur. J'ouvris le bouchon permettant ainsi à l'odeur de whisky d'atteindre mes narines. Je mis mes lèvres sur le goulot de la bouteille, puis me tendis en entendant la porte de mon petit prince s'ouvrir et se refermer doucement. S'en suivie de ses petits pas se dirigeants vers moi, aussi vite que possible je refermai la bouteille et la plaça dans mon tiroir de table de nuit. J'eu juste le temps de refermer le tiroir que je vis la porte s'ouvrir doucement sur l'homme de ma vie. Il me regardait avec de grand yeux effrayer remplis de larmes, il avait ses mains entrelacer et avait croisé ses deux jambes ensemble tandis qu'il gigotait sur place surement effrayé que je le punisse pour être encore debout a cette heure.

- Qu'es qu'il y a bonhomme ? « Demandais-je avec tendresse. »

- Z'ai... Z'ai entendu tes pleurs et... Et « dit-il en contrôlant ses petites larmes. » Z'ai crus que le méssant monsieur... Était revenu pour... Pour te faire du mal. « Dit-il en essuyant rageusement ses larmes. »

- Ho... Non, viens là poussin « dis-je en tapotant la place à coté de moi dans le lit qu'il rejoignit rapidement avant d'enrouler ses deux petits bras autours de mon ventre et de poser sa tête par dessus. » Pourquoi as-tu pensé ça mon ange ?

- La... La dernière fois que ze... Ze t'ai entendu criée comme ça... C'était de sa faute !!! Ze veux te protéser...

- Écoute-moi bien mon ange, ce méchant monsieur ne reviendra jamais dans nos vie tu comprends ? « Demandais-je se a quoi il acquiesça avec un signe de tête. » Tu n'a pas besoin de me protéger mon ange, c'est à moi d'assurez cette fonctions pour nous deux... Tu veux dormir ici cette nuit ?

- Oui... Ze... Ze veut « dit-il en me regardant avec des larmes dans les yeux. »

- Aller fait dodo mon ange « dis-je en m'allongeant tandis qu'il se coller a mes cotés le pouce dans sa bouche. » Je t'aime Ethan... N'oublie jamais ça, tu es et tu resteras a jamais l'homme le plus important de ma vie « dis-je en posant mes lèvres sur son front. »

- Ze t'aime Ana... Et tu es la meilleure des grandes sœurs « dit-il en se blottissant un peu plus contre moi. »

      Je retombais enfin dans les bras de Morphée après avoir entendu la respiration calme et posé de mon petit frère. Demain aller être une journée plus tôt importante pour moi, en effet j'avais rendez vous avec ma professeur d'histoire, on n'avait appris l'année dernière que cette année elle ne serait pas présente chose qui me déplus fortement sachant qu'elle avait entamé ça première année de professeur quand j'avais attaqué ma seconde dans mon lycée actuel. C'était une prof en or et malgré qu'elle soit ma professeur j'avais cette impression qu'elle me soutenait, qu'elle s'intéressait a moi, que je pouvais tout lui confié... Même si je ne lui avais jamais rien dit concernant ma vie. Demain serait un grand jour puisqu'elle aller rencontrer mon petit homme... Personne n'était au courant de son existence et ça devais continuer ainsi... De plus je n'avais confiance en personne d'autre que moi pour le garder, à seulement 4 ans il avait déjà tellement vécu de malheur que je refusais qu'il lui arrive le moindre mal.

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