Je T'aime 💖 Tome 1 ( Réécriture )

Chapitre 18 : Décision

Le lendemain
Pdv Ruggero
Me voilà enfin sur le sol mexicain après de longues heures passé dans l'avion, j'ai direct pris un billet dès que Karol m'a envoyé ce message qui disait que c'était urgent alors je n'ai pas réfléchis et attendu qu'elle me le dise deux fois ou qu'elle me supplie. Je suis là pour elle quand il faut et s'il le faut, je suis tellement pressé de la retrouver pour pouvoir la serrer dans mes bras et la réconforter mais pas d'inquiétude nous y sommes bientôt. Ça tombait à pique puisque nous avions fini notre réunion. Je sors de l'aéroport à l'heure où je vous parle il est 9h du matin, je pense qu'elle doit être réveillée parce qu'elle a un sommeil lourd mais dur à attraper. Je monte dans un taxi que je repère à l'autre bout du parking et y dépose ma valise dans le capot. Je m'installe convenablement sans oublier ma ceinture et le chauffeur démarre. Sur le chemin j'ai hésité à envoyer un sms à Karol mais finalement je n'ai rien fait de tel pour ne pas la déranger. Nous arrivons devons l'immeuble à 10h et quelques, je paye le chauffeur et prends ma valise pour me rendre dans le bâtiment que j'ouvre à l'aide de mon badge. Arrivé au deuxième étage j'ouvre ma porte avec les clés et observe les lumières éteintes donc j'en conclue que ma chérie dort encore. Je ne fais aucun bruit pour ne pas la réveiller, j'enlève ma veste et tout le reste...
Je m'assieds sur le tabouret de la cuisine pour prendre mon café et mon petit déjeuner enfin si j'arrive à avaler quelque chose, j'ai tellement peur de ce qu'elle va m'annoncer que je n'arrive pas à manger .

Pdv Karol
J'ouvre un œil tout doucement comme un petit bébé qui vient de voir le monde, je suis encore choquée et à fleur de peau. Aaarrgghhh ce fameux mot «bébé » qui résonne dans le fin fond de mes pensées depuis hier, j'ai qu'une hâte c'est de parler avec mon chéri. Je me lève de mon lit pour rejoindre le salon. J'ouvre la porte puis je m'avance vers le salon et de là j'aperçois mon amoureux. J'arrive à peine à dire son nom et je me mets à pleurer de plus bel... il m'entends et se retourne aussi vite que possible et arrive dans ma direction pour venir m'enlacer et me réconforter. Je ne dirai pas que je me suis calmée mais je ne suis déjà plus en pleure, c'est déjà ça non ! Bref nous allons nous asseoir sur le canapé tout les deux et sur ce nous commençons à parler à cœur ouvert.

- Ma chérie, dis-moi ce qu'il y a pour que tu sois dans cet état ? Dit-il en me caressant les cheveux.
- Je ne sais pas comment te le dire... j'ai appris cela hier et cela est dû à mes nausées... je fais des pauses à chaque fois que je peux parce que ce n'est pas facile d'avouer cela.
- Aller Karol s'il te plaît je suis déjà en stress... me supplie t-il.
- Écoute j'ai appris hier grâce à la gynécologue que j'attends un bébé depuis deux semaines ! Dis-je à nouveau en pleurant. Ruggero reste de marbre à cause de cette annonce, il reste silencieux pendant cinq minutes. Il sort de sa transe pour me prendre à nouveau dans ces bras. Il me rassure de tout son être et de tout son âme. Je l'aime cet homme de tout mon cœur...
- Je sais que cela ne pas être facile mais si tu décide de le garder ou non, je respecterai ta décision. Quoiqu'il arrive Karol tu m'entends ! Je ne sais pas comment tu as pu digérer cette annonce toute seule, tu es une vraie guerrière ma belle Karol !
- Je t'aime Ruggero ! J'avais tellement peur que tu réagisse mal parce que nous sommes si jeunes et que nous travaillons énormément...
- Non ma chérie, je te soutiendrai tous les jours de ma vie... donc ça veut dire que tu vas le garder ?
- Oui... tu en penses quoi toi ?
- Je serai ravi d'être papa de ce petit bout qui symbolise notre amour... je fond carrément là, je ne pensais pas qu'il voudrai le garder mais je suis contente de cette réaction ! C'est officiel nous allons avoir un bébé, Karol et Ruggero vont avoir une progéniture...
Les seuls inconvénients sont les parents, je ne pense pas que ma mère veuille que j'ai un bébé maintenant alors que je n'ai pas fini mes études selon moi je peux gérer car il reste une année de cours puis je prendrai un congé maternité pour m'occuper de bébé. Surtout qu'il y a Maria aussi qui doit accoucher bientôt...

- Bebou tu sais qu'on devra annoncer cela à nos parents et je pense pas qu'il le prendront bien ?!
- Ça c'est sur mais on va leur faire comprendre que l'on peut le faire et qu'on veut le faire surtout...
- Oui je suis d'accord avec toi ! Il faudra que je prenne rendez-vous...honnêtement je ne sais pas si je vais réussir tout cela...
- Je ne sais peut-être pas ce que ça fait de porter un bébé pendant 9 mois dans son ventre mais je suis là et je serai toujours là pour t'épauler et t'aimer mon amour... vient par là...je me cramponne de toute force à lui, en essayant de cacher mon stress et mon anxiété qui eux ne me lâchent pas depuis ces dernières vingt-quatre heures. Je sens la dispute générale arriver de très loin dans la maison Sevilla et Pasquarelli. Je me sens très mal à vrai dire parce qu'ils vont peut-être s'embrouiller à cause de moi et ruggero mais bien évidemment je ne le dis pas, je garde mes peurs pour moi pour ne pas l'inquiéter encore plus qu'il ne l'est déjà... j'espère devenir une mère formidable et aimante pour ce bébé et j'e ne doute pas que mon chéri sera un bon papa.
Je me détache de Ruggero et je l'observe longuement mais celui-ci ne comprends pas pourquoi donc je lui dis ceci.

- Tu feras un bon papa mon chéri ! Il me sourit de plus bel et me dépose un baiser sur le front.
- Merci mon amour... toi aussi ne doute pas de cela ok !?
- Ouiii... dis-je alors que je suis totalement stressée et anxieuse depuis le début je me répète ces mots, cela devient répétitif à force.
Nous passons la fin de la matinée et de l'après-midi au côté de mon chéri sur le canapé. J'étais tellement affamé que Rugge prit les devants et commanda à manger.