Partie 15

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Adam















Marie Jean - Parfait alors, la réunion se déroulera à partir de quatre heures. Je te transfert le dossier ?



Moi - Oui ! Envoie moi aussi le dossier de monsieur Gabral...et concernant ce que je t'avais demandé sur Amil Khan ?



Marie Jean - Je reçois les résultats comme convenue, ce soir...Si je peux me permettre, je m'éloignerais le plus possible de cet homme ! Il m'inspire en rien de confiant.





Moi - Il n'est pas dangereux !  Ce n'est juste pas l'homme que je m'imaginais.



Marie Jean - J'ai peur que nous découvrions des choses très graves lui concernant et qui pourrait en pâtir sur le fonctionnement  et l'image de l'entreprise.


Moi - Ne t'en fais...il ne se passera rien de tous ça. Je contrôle la situation. Bon, à toute à l'heure.



Je quitte le bureau de ma secrétaire, Marie Jean. Heureusement qu'elle a était embauchée, car sans ses dons tech dotés d'une experte...je n'aurais jamais pus démasquer certains escrocs.


Elle m'est complètement nécessaire.

En plus, ça fait du bien de parler avec une personne qui aime les sciences autant que moi. Ça change et je me sens moins seul dans cette grosse entreprise.

Elle me rappelle que ma passion à vie, est et restera pour toujours : le monde scientifique ! Également pour que l'argent ne me monte pas trop à la tête et que je gardes quand même dans un coin de la tête mes réels objectifs professionnels.






C'est en me dirigeant vers les bureau de mon père que je vois ce dernier sortir, tout enthousiaste.  Des bonnes affaires ! 

Certainement un bon contrat.


Je le vois détaler d'une vitesse impressionnante pour une personne de son âge...enfin il est encore très très TRÈS jeune mon père. Il n'a que quarante ans.






La porte était entrouverte...pas assez pour voir qui étaient les personnes dans la pièce,  mais assez pour entendre ce qu'ils s'échangeaient.




Je reconnaissais les voix et cela ne me plaisait pas du tout. Mais alors pas du tout !





Elle - Lâche moi tu me fais mal !






J'ouvre la porte sans qu'ils ne me remarquent, ils étaient assis et dos à moi de toute façon.


C'est avec une fausse stupéfaction que je vois ce pauvre connard, tenir sa mâchoire d'une manière très violente. Elle avait posé sa main au dessus cette raclure afin qu'il puisse la lâcher mais en vin....





Amil - Je te fais mal ?! Tant mieux. C'est tout ce qu'une fille de ton espèce mérite. Te faire écarter les jambes par tous les blancs et te faire engrosser par des inconnus ne te suffit plus, au dessus de ça, il faut aussi que ton langage soit insultant à mon rang social.

le journal intime d'une indienne : reva part IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant