« Regarde ce que tu m'obliges à faire après toutes ces années ? »
AdamRavi - Normalement c'est ici...Si c'est là ! Le village Jalahu Vajal !
Nous rentrons dans ce village qui m'étais encore totalement inconnu. Énormément d'enfants, se mirent autour de nous en souriant.
Moi - Salut les enfants !
Ravi - Je ne pense pas qu'il vont te comprendre si tu parles anglais. Ici, il ne parle que tamoul ou bien le hindi.
Moi - Tum kaise ho bachche ? (Comment-allez vous les enfants ? )
Une petite fille - Saphed aadamee vah hindee bolata hai !
Par contre là, je n'ai pas compris.
Moi - Elle a dit quoi ?
Ravi - Elle a dit : "L'homme blanc parle hindi !"
Je me mets à son niveau et lui fais un signe avec mes doigts.
Moi - Thoda sa...( un tout petit peu)
Il ria, tira mon oreille et courra vers ce que je suppose, sa mère.
Ravi - Tu vas me dire que t'as appris l'hindi après quelques jours en Inde ?
Moi - Oublies pas que je suis sortie avec ta sœur. Elle m'insultait tous le temps en Hindi. Il a bien fallut que je m'intéresses à la langue pour comprendre...Puis de nos jours tous le monde a accès à internet !
Ravi - Presque tous le monde. Dans ce village, peu de gens ont internet. A vrai dire, c'est un village qui ont très peu de ressources. Il n'ont eut accès à l'eau dans le village qu'il n'y a peu de temps. Ce n'est que depuis que Reva s'est porté sur leurs cas, qu'ils sont reconnut par l'état...On peut dire qu'ils étaien liv...
Moi - Livrés à eux même ! Je comprends pourquoi elle à fait ça.
Elle me surprendra toujours.
Ravi - Une femme a accepter de nous parler...On peut dire merci à Hanae, parce que c'était pas facile. Elle a accepte aussi que tu l'enregistre et la prennes en photos ou bien vidéo...elle à entendue ce qui arrivait à ma sœur. Tient, elle est là-bas !
Moi - La femme en jaune ?
Ravi - Oui. Allons-y, elle nous attends.
Nous nous dirigions vers la femme qui se trouvait sous un arbre.
VOUS LISEZ
le journal intime d'une indienne : reva part II
Fiction généralele passé et l'avenir se rejoignent pour nous rencontrer ici. quelle chance, quelle putain de malédiction ! pourquoi tu ne me regarde pas ? tous le monde y arrivent pourtant...