[Rivamika] Et Si....

"Fuis"

NDA: Ohayo, petite précision :cette histoire est purement fictive et l'âge des personnages et tout n'est pas respecté donc voilà l'histoire se passe quand Mikasa avait 11 ans, que ses parents étaient encore en vie et qu'elle vivait encore une petite vie normale pépère avant que je la fasse souffrir donc j'espère que cette histoire va vous plaire sinon tant pis .😁
C'est ma première fic alors soyez indulgent s'il vous plaît et n'hésitez pas a commenter sa me ferais trop plaisir merci d'avoir lu ce début un peu chiant (pour ceux qui l'on fait évidemment) et bonne suite de l'histoire 😝😝

PDV externe:

"Tu vois Mikasa, c'est simple, il suffit de faire passer l'aiguille sous le tissu et de le refaire passer dessus en dessinant une croix. Dis une mère essayant d'apprendre l'art de la broderie à sa fille.

-Mais c'est trop dur,se plaignait Mikasa. J'y arriverai jamais."

Toc toc toc (ouai je sais le super bruitage😂)

"Chéri, tu veux bien ouvrir s'il te plaît ?" demande sa mère.

Il ouvre la porte:
"Bonjour"

PDV Mikasa:

Soudain ma vision se colore de rouge et une odeur écoeurante m'assaille.

Trop rapide.

Mon père est allongé par terre auréolé d'une tache rouge sombre. Ma mère est déjà debout et me crie "Fuis"
Je suis alors pétrifié par la peur et mon corps refuse de m'obéir. Ça y est. Ma mère est elle aussi a terre, ses yeux vitreux qui fixent le ciel sans le voir. Ma tête tourne et me provoque des haut-le-cœur. J'ai compris. J'ai compris mais je ne bouge pas. Je ne pleure pas, je ne suis ni triste, ni en colère. Je ne vois rien, je n'entends rien. Seulement les battements lents et réguliers de mon cœur. Soudain, je remarque la présence de deux hommes. C'est eux. Ils sont penchés au dessus du corps de ma mère. L'un crie des mots incompréhensibles à l'autre. Une colère sourde s'empare de moi mais avant que je le remarque, une douleur insoutenable me fend le crâne puis tout devient noir. "Ils étaient trois." Ai-je le temps de penser avant de sombrer dans l'inconscience.

J'entends des voix. Des voix d'hommes. Trois hommes. Ces hommes. Je ne peut pas bouger. J'ai mal. Je suis ligotée.

Je garde les yeux fermés. Je ne veux plus rien voir. Je ne veux plus rire, plus parler, plus respirer, plus vivre. Un goût de bile me monte à la bouche. "Ils ont tués mes parents." C'est la seule pensée que j'arrive à formuler dans mon esprit confus. Les hommes se disputent encore et inlassablement. Je me décide enfin à ouvrir les yeux. Contre toute attente, le rouge ne domine pas dans cette scène semblée sortir tout droit d'un tableau. Les hommes sont assis sur des fauteuils défoncés, des draps blancs recouvrent les meubles et un soleil rayonnant illumine la pièce de façon irréelle. Comment le soleil peut il briller autant après ce qu'il c'est passé ? Pourquoi mes parents ? Pourquoi moi ?

Un homme remarque je je suis réveillée et viens me voir. Il me donne un gros coup de pied dans les côtes. Je souffre le martyr mais je ne lui laisserai pas la satisfaction de m'entendre crier. Il recommence avec un coup encore plus fort en me racontant que si je le suppliais il arrêterait peut- être. "Jamais ! Lui criai-je. Jamais je ne suplierai des ordures comme vous.

- Ho mais c'est qu'elle a du cran la petite. Me répond-il. Vous êtes sûr qu'on ne peut pas s'amuser un peu avec elle avant de la vendre aux pervers de la ville souterraine ?

-On ne joue pas avec la marchandise, lâche-la." Dit un des deux autres hommes.

Les hommes me jetèrent et m'enfermerent dans une autre petite pièce sombre adjacente à la première en disant qu'ils allaient chercher des chevaux et qu'ils revenaient. Ma tête, mes côtes et tous mon corps me fait mal. Une douleur lancinante me traversa soudain la main. Coup de chance (effectivement c un vrai coup de chance ça 😂), il s'agit un gros bout de verre pointu et coupant. Je me détache, étire mon corps raide et endoloris après plusieurs heures d'inactivité et plusieurs coups, et réalise qu'une seule pensée hante à présent mon esprit. "Tuer".

La porte s'ouvre et un homme entre. Il n'en ressortira jamais. D'un coup rapide et précis je plonge la lame de verre profondément dans sa gorge en ignorant la douleur due au verre contre ma main. Il pousse un  ultime cri tandis que son corps est secoué d'un dernier spasme avant de s'éfondrer raide mort. J'enchaîne et en tue un deuxième avant que le troisième m'assome...

Fin de la première partie 😄
Merci de l'avoir lue🤣