Y'a plus d'histoire, y'aura jamais de fin.
Mais ce fut un plaisir malgré les bas.
Bisous et peut-être à une prochaine ou à jamais :::///
Survivre ou mourir.
《Il n'y avait plus que du sang recouvrant la Terre à la place de la boue. Les villes s' éta...
A partir de l'image ci-dessous, le but est d'imaginer ce qui peut ce passer. La seule contrainte c'est de respecter la photo, l'imagination fait le reste !
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La lueur des réverbères se reflètent sur le bitume froid. La carrure d'un individu est mise en évidence par la lumière pâle. Adossé contre un 4x4 imposant, il a la tête baissée vers le sol, un air penseur et inquiet sur le visage. Il ne t'a pas vu, ni entendu, trop profondément ancré dans ses pensées.
Tu n'oses pas te rapprocher. Vous vous êtes disputés. Et les mots ont fendu l'air trop rapidement, trop sanglant et violent pour vous deux. Ton cœur est tiraillé par les sentiments contradictoires, comme lui. Ton âme est blessée, ton cœur saigne, mais tu l'aimes. Être séparé est d'autant plus douloureux. Rester l'observer de loin, se torturer l'esprit te rends folle.
Pourtant tu t'éloignes, c'est trop frais, trop récent, tu n'es pas prête à pardonner. Lui non plus. Tes pas te conduisent vers la mer. De l'autre côté de la route, une rambarde de sécurité donne sur la falaise. Plus bas, les vagues puissantes et déchaîne frappent la roche dans une colère aride. Tu aimerais tellement la retrouver. Dans ces fonds paisible, entourée de créatures presque fantastique. Ça mettrait fin à tout une histoire bancale, arrangerait tous les problèmes qui subsistent et continuent de proliférer. Ce serait tellement plus facile.
Le monde peut-être si silencieux à certains moments. Comme si rien ne s'était jamais passé. Qu'aucun danger ne rodait dans l'ombre. Apaisant, reposant.
Depuis votre fuite, tu as l'impression que c'est la première fois que tout est aussi calme. S'en est terrifiant.
A force de courir, de se battre pour essayer de survivre, vous n'entendiez plus que les cris de douleurs, les hurlements de morts, la résonance des armes, les souffles haletants.
Une larme solitaire glisse le long de ta joue. Tu ne craqueras pas. Non, tu n'es pas faible. Même si le monde s'écroule autour de vous. Même si tes amis tombent, même si la mort vous entoure chaque fois plus.
Tu t'es promis de survivre, de faire chier chaque monstre qui se mettra en travers de votre chemin. Tu n'as pas peur.
Enfin, peut-être, de le perdre lui.
Tu sens un souffle dans ton cou, chaud. Des mains entourent tes hanches d'une délicatesse et fragilité douce, contre le tissu fin de ta chemise blanche. Son torse est à quelques centimètres de ton dos. Il te laisse le choix. Il ne souhaite pas te brusquer. Ses doigts forment des cercles contre ta peau, un mouvement d'apaisement. Ton souffle est faible. Il sait, il connait tes faiblesses.