Y'a plus d'histoire, y'aura jamais de fin.
Mais ce fut un plaisir malgré les bas.
Bisous et peut-être à une prochaine ou à jamais :::///
Survivre ou mourir.
《Il n'y avait plus que du sang recouvrant la Terre à la place de la boue. Les villes s' éta...
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La première nuit se passe avec la difficulté de trouver le sommeil. Vos esprits réfléchissent hardiment sur cet endroit et se perdent dans les nombreux couloirs labyrinthiques. Et tu te réveilles avec comme souvenir le visage de cet étrange docteur murmurant de terrible mots, qui finissent par se cacher dans un coin de ta mémoire.
Les autres nuits s'écoulent, et c'est une boucle qui te poursuit dans tes rêves. Son visage étant toujours la derrière chose que tu aperçois, avec ces paroles dont tu n'arrives jamais à te remémorer en journée.
Vous êtes comme isolé des autres. Personne ne cherche à vous côtoyer, sauf pour les taches communes et nécessaire, et même lorsque vous êtes séparé par obligation, la solitude est votre premier compagnon.
Les gens ici, ne sont pas de grand bavard, et rare sont les personnes qui forment de petits groupes.
Il y a bien une jeune fille, aux joues rebondies, et au visage d'enfant qui t'a approché. Lors de vos quelques échanges qui se sont éteints par ton manque d'ouverture à son vis-à-vis, tu as pu en apprendre un peu plus sur les autres.
« Je suis arrivée ici quelques temps après l'invasion des monstres, avec deux amis, raconte YooSun en lavant le linge. Nous avons été dans les premiers à vivre ici, les débuts étaient difficiles car nous n'avions aucune organisation, puis, sa voix descend pour que tu ne sois que la seule à l'entendre. Les lieux ont été envahit à quelques reprises par le manque de sécurité du bâtiment, et de la zone.
- Oh, t'écris-tu tout bas. Et maintenant ? »
YooSun lance un coup d'œil circulaire dans la pièce. Tes doutes se fondent, il y a bien des gens qui vous observent, pour que la brune réagisse ainsi.
« Aujourd'hui, crois-moi, il n'y a plus aucun moyen de passer au-delà de la zone. »
Un rire nerveux caresse ses lèvres et elle reprend son travail avec silence. Plus aucuns mots ne s'échangent durant cette tâche. Et vous n'en parlez plus.
Lorsque tu tiens au courant cette discussion avec JiHoon, cette dernière s'enflamme, tentant de garder sa colère pour elle-même.
« Tu te rends compte ! scande-t-elle. Ils nous gardent prisonniers, et à priori certaines personnes ont dû perdre la vie en tentant de s'échapper pour qu'elle réagisse de cette manière, théorise ta compagne.
- Tu penses réellement qu'on ne pourra pas s'échapper, ni même rejoindre les gars ? questionnes-tu sombrement.
- J'espère surtout le contraire, s'indigne-t-elle, les bras repliés contre son torse. J'en ai marre d'être utilisé contre ma volonté, je préfère encore me retrouver face à ces monstres, qu'être entouré de menteurs aux mauvaises intentions. »
Après cette soirée houleuse, la routine qui s'était installé en quelques semaines jusqu'à maintenant, fut modifié un peu plus chaque jour.
D'abord JiHoon disparaissait sans un mot de temps à autre, puis des personnes du corps médicale venaient chaque matin faire des examens, allant du simple check out, aux prises de sang et tests. Sans aucunes explications, vous étiez dans l'obligation de vous laisser faire malgré vos plaintes et protestations.
