Bonjour, les amis ! 🌟 Je suis vraiment désoléd'une telle absence (je dirais même une désertion...), je ne sais pas comment me faire pardonner ! Je vais donc essayer d'être plus ponctuelle dans mes postes, peut êtremême que j'arriveraisà poster deux chapitre pour un délaid'une semaine ! Sinon, voilà(enfin !) la fin du prologue. D'ailleurs, je tiens a vous avertir que cette fin de prologue sera certainement plus courte que le début... Ne soyez donc pas trop déçu, j'ai essayé d'égaliser les deux parties mais ça cassait le rythme du texte. Donc voila ! J'espèrequ'elleétait attendu car j'ai mit du temps à la poster ;)
P.S : maison d'Abel et sa famille en média :).
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PDV Omniscient
Aujourd'hui, nous sommes le Lundi 3 Novembre 2067. Abel, le grand frère d'Orianna est ici avec sa petite-amie et sa fille, Lyra. Ils habitent dans la forêt, aux alentours de la capitale, Berlin. Ils mènent une vie recluse dans les bois, ne sortant que pour aller travailler.
Abel n'avait plus de nouvelles de ses parents et cela l'inquiétait. Comment allaient-ils ? Et Orianna ? Allait-elle bien ? Il l'ignorait. Cela faisait maintenant environ un an qu'ils étaient ici et tout semblait normal. Mais il avait tout de même un mauvais pressentiment. Et s'ils leur étaient arrivés quelque chose ?
Il était dans la lune alors qu'il préparait le repas et sa compagne lui fit peur soudainement en ouvrant le premier tiroir venu rien que pour voir sa réaction. Il sursauta et faillit rater de peu l'omelette avec la casserole. Il rattrapait donc leur repas de justesse et soufflait d'exaspération envers la personne se trouvant derrière lui, mais aussi envers lui-même. Elle le prit dans ses bras, et lui demanda :
- Qu'est-ce qui te tracasse ?
- ... Ma famille... , lui répondit-il l'air contrarié.
- Tu sais, moi aussi je m'inquiète. Mais je préférerais que tu m'en parle pour que l'on traverse cela à deux. Tu t'en souviens ? , lui rappela-t-elle.
- Je sais mais ... Je ne voulais pas non plus en rajouter une couche pour que tu t'inquiète davantage. On a déjà les problèmes ici, je voulais t'éviter une énième préoccupation.
Le silence lui répondit. Il se retourna lentement et rencontra le sourire rayonnant de sa compagne.
- Quoi ? Ah non non, tu as du mal comprendre ce que j'ai dit pour que tu es ce sourire extra- white. Qu'est ce que tu as compris, encore ? , s'exclama-t-il, gêné.
- C'est mignon ! Alors c'est vrai, tu te fais du mouron pour ta femme chéri ? Que c'est chou ! , se moqua-t-elle.
A ses paroles, Abel finit de mourir de gêne et se reprocha son honnêteté.
