Inspiration, je t'appelle...

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En tant qu'écrivains, on a tous connu le fameux syndrome de la page blanche... et quand ça nous arrive, on peut vite faire un bon pétage de câble.
Rester une heure devant une feuille désespérément vierge en se tenant la tête entre les mains et en implorant notre imagination de nous aider (elle est probablement déjà partie se coucher, houla la, quel humour *tousse et s'étrangle*), c'est un peu la maladie de l'écrivain.

Mais il y a des jours où, subitement, nous vient un coup de génie, l'idée du siècle, une grande inspiration qui ne demande qu'à coucher tous ses mots sur le papier (hum hum, quelle poète, moi... *toussote*).
À ce moment là, c'est le branle-bas-de-combat: vite, une feuille, un stylo, on note tout ce qu'on sait...
Dans mon cas, c'est rapidement l'excitation et je cours un peu partout pour réunir tout ce qu'il me faut.
Généralement, les idées apparaissent en vrac et ça peut prendre des heures de tout trier (au secours je suis perdue...).

Petit soucis qui survient souvent APRÈS (mais pourquoi??...) l'idée de génie, c'est... ce nouveau manque d'inspiration. «Ô, rage, Ô, désespoir», me direz-vous. C'est exactement le même état d'esprit que j'obtiens dans ces cas-là.

Aller, tous ensemble:
-Ô, grand dieu de l'écriture, aidez-nous à retrouver l'inspiration!

Hum... je devrais peut-être songer à faire une pause, ça devient vraiment bizarre.

Journal d'une écrivaine pas toute seule dans sa têteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant