XXXVI .

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Phoenix Arizona
Point de vue Ashley Kartson

Je suis assise sur le canapé en attendant que Madame Vaugchi arrive avec du thé et des biscuits. Une fois revenu, elle s'assit à côté de moi, enroulé d'un plaid.

-Avant qu'il n'arrive, tout allait bien. J'avais une famille, mes amis et même un copain. Puis du jour au lendemain, j'ai tout perdu le jour de mes seize ans. Vers 10 heures, alors que j'attendais mes amis dans ma chambre, j'ai entendu un cri. Je me suis levé et j'ai descendu les marches à toutes vitesse. Une fois en bas, des hommes, armés et cagoulé se trouvaient devant moi. Un tenait un couteau, prêt à trancher la gorgé de ma mère. Mon père était déjà étalé parterre, entouré de sang. Ils étaient tout deux âgés de la cinquantaine, m'ayant eu assé tard. Ils devaient être trop vieux ou ne pas correspondre à leur critères, car ils n'ont pas hésité à tuer ma mère sous mes yeux. J'étais pétrifié. Je ne comprenais pas comment on pouvait être si inhumain. C'était comme si le temps c'était arrêté avant de redémarrer à la vitesse de l'éclair. Un des homme m'a attrapé, une main sur ma bouche et l'autre me tenant les deux bras dans mon dos. Un autre à monté les escalier puis et revenu avec mon petit frère. Je me suis débattu mais ça ne servait à rien. Ils nous ont enmené devant une camionnette. Notre maison était situé en pleine campagne, non loin de la ville mais pas assé près pour que quelqu'un remarque quoi que ce soit. Ils nous ont attaché, bayonné, puis jeté comme de vulgaire déchet dans le véhicule. Bien sûr, une fois celle ci fermé ont ne pouvait rien voir de l'extérieur, ni de l'intérieur. Ils ont enlevé leur masque. Au bout d'un certain temp à rire entre eux. L'un a proclamé en nous regardant.

"-Et si on s'amusait un peu les gars ?"

Il m'a attrapé les cheveux, puis d'un signe de tête à fait comprendre à un autre de s'occuper de mon frère âgé seulement de 13 ans. Il l'a prit et l'a retourné, ventre contre sol. L'homme brun c'est assis sur mon frère avant de sortir un couteau de sa poche. J'ai recommencé à me débattre, à vouloir crier, mais ça ne faisait qu'accentuer sa prise et leurs rires. Le brun a remonté le tee-shirt de Maximilien, mon frère. Des larmes commençaient à couler quand la lame passait sur son dos, laissant une traîné de sang. Mes joues était mouillé, mon cœur me faisait mal, j'étais inutile pour mon frère à cette instant. Je cherchais un moyen sans trouver. Le brun a relevé les fesses de mon frère avant de... Avant d'enlever son jean et le sien. Je n'en revenais pas. Ils riaient tous comme si c'était normal alors que sous leur yeux mon frère ce faisait violer. Pour eux c'était une distraction alors que moi j'étais complètement terrifié et mon frère sûrement détruit. C'était horrible, pourtant je n'arrivais plus à quitter son visage qui était si souriant le matin même. Le brun y allait tellement fort que quand il c'est retiré mon frère c'est endormi, ou il a juste fermé les yeux je ne sais pas.

"-Ne t'inquiète pas trésor, il y en a aussi pour toi. Fit le blond qui me tenait sur lui. "

Il avait frôlé la chair de mon cou avec sa langue. Un frisson de dégoût m'avais parcouru et une image de mon petit ami m'a parcouru l'esprit, j'ai d'autant plus pleuré. En quelques secondes, je me suis retrouvé au sol. Ma tête a frappé le sol métallique et froid. Le blond c'est levé et a sortit un couteau lui aussi. Je me suis reculé mais un homme a attrapé mais deux bras, laissant mon ventre totalement à découvert. Il c'est abaissé juste devant moi et m'a montré la lame de son couteau avant de frôlé ma joue en appuyant de plus en plus. Une sensation de picotement surgit surtout au bat de ma mâchoire qui était encore plus ouverte. Ce jour là, je portait un chemise sans manche. Il a enlevé tout les boutons, un par un, sans me quitter du regard. J'essaye d'éviter le sien main là main d'un des hommes qui se trouvait derrière moi me tenait le crâne fermement. Après, il a coupé les manches, faisant tomber mon haut au sol. Suite à ça, il a déchiré mon short de manière plus brutale et rapide. Il c'est assis sur mes cuisses avant de passer sa lame entre mes seins, coupant en même temps mon soutien gorges en deux. Il a retiré le dernier bas qu'il me restait avant d'agripper mes fessées et de me soulever après avoir enlevé le bouton de son jean. En même temps, il avait léché le sens qui coulait au milieu de ma poitrine. Quand il est entré en moi, c'est comme si mon monde s'ecroulait une nouvelle fois. Quand il eu finit, il m'a chuchoté.

Coeur EnchainéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant