FRACAS, ÉCLATS, BAZAR.
Méditer dans le silence assourdissant de mes tribulations furieuses.
N I N
Même principe que "Ruminations" (liste de lecture "2016-2018" sur mon profil)
J'étouffais ici, dans mes mots, dans ce "bouquin", là, devant vous, j'suffoquais. J'ai relu mes ruminations, tiens, pendant ma période de spleen à la Baudelaire (sauf que je suis pas Baudelaire) et j'ai lu à droite, à gauche les textes des gens que j'aime beaucoup bien sur Wattpad, ceux dont les mots vibrent de vie à mes yeux.
J'ai enfin repris ma lecture de Sur la route (J. Kerouac) et j'suis retombée sur cette phrase que j'avais surligné :
"Et moi, assis là à écouter ce son qui est devenu le son de la nuit pour nous tous, je pensais à tous mes copains, d'un bout du pays à l'autre, et je me disais qu'ils étaient tous dans la même cour immense, dans un trip tellement frénétique, tellement viscéral."
(trad. by Josée Kamoun)
C'est là que j'ai compris que moi aussi j'étais sur la route mais que je vais droit dans le mur. C'était pas ça que j'avais envie d'écrire, j'suis pas faite pour la concordance des temps, pour les règles et les longueurs. Avant, j'écrivais beaucoup, si vous regardez le nombre de parties que contient mon recueil "2017", ça vous donne une idée de mon ratio textes/an. Puis là, l'ennui, la lassitude, le rien qui s'abat sur mon petit corps vulnérable.
Alors oui, j'ai posté "Dans la ville lumière" cette année, j'l'avais écrit d'une traite comme on boit un café mais, à part ça, j'avais perdu l'envie, j'avais fait le tour des sujets, j'avais plus trop de compagnie ici, j'm'enfonçais un peu dans le vide mais je voulais pas abandonner des trucs en cours de chemin.
On voyage avec ses feuilles sous le bras ou pas du tout.
On ne quitte pas le train en marche.
Donc, j'reconfigure et ça a pas vraiment de sens, de logique, de suite mais c'est ça qui me plait. Interprétez si ça vous chante, moi, j'veux juste écrire sans plus me poser de questions un peu comme à l'époque de "mon tandem, boum, boum".
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MÉDITATIONS
RDV dès la partie suivante.
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LES HISTOIRES DE PRÉNOMS
HENRI: Il a le prénom d'un roi Henri mais il règne sur rien car il se cerne pas lui-même. Henri, la jeunesse désabusée, qui souffre d'un manque de repères et d'une impression d'être incompris de la terre entière.
NINA : Un soleil dans le ciel qui tend à être caché par des nuages en ce moment. Météo peu clémente.
TATIANA : Tatiana c'est la beauté de l'amour brut qui embrase les âmes et le revers de ce même amour qui, une fois la flamme éteinte de grès ou de force, fait exploser en copeaux de cendres les cœurs jadis heureux.
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DANS LA VILLE LUMIÈRE
C'est mes aventures, c'est les tiennes, celles d'Anna et de Mickaël dans le Paris aux mille merveilles... et à la fragilité de la vie humaine.
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CETTE ENVIE DE TE PARLER
C'est un peu notre café philo sauf que je suis nulle en philo mais j'aime bien te parler :
1. La beauté
2. Profite de TA vie
3. Fade
4. Vie, amitié, blabla
5. Vulnérabilité humaine & fausse solitude
6. Aux Candide (mais pas trop) qui voient la vie en rose cramoisi
