J'ouvrais les yeux laissant une immense lumière blanche envahir ma cornée. Petit à petit mon corps reprenait son état principal. Je sentais quelqu'un caresser mes cheveux avec une tendresse maternelle.Je refermais les yeux laissant place à l'obscurité. Malgré cela, je me leva de ce sol froid et brut. Puis j'ouvris une énième fois mes yeux laissant une lumière blanche se dessiner devant moi. Je m'avance vers celle-ci, retissant. Je tendais mon bras essayant de toucher cette chaleur. La chaleur envahissait mon cœur ainsi que mon corps. Une chaleur plus qu'agréable qui avait le pouvoir de me faire perdre le fil de mes pensées. C'était ça le bonheur ? Cette douceur sans pareil ? Je crois que je l'aime déjà, ce bonheur, le vrai. Il ne m'aura fallut que ça pour le trouver ? Perdre la vie soudainement ?
- Eren...
- Maman ?
Je tournais ma tête plusieurs fois cherchant par où cette voix m'interpellait. Après avoir entendu cette voix, je veux être sûre qu'il s'agit bien d'elle. Quelque chose passa rapidement près de moi me bousculant comme une vulgaire feuille de papier. Je me retrouvais de nouveau allongé et décida de me lever pour une énième fois. Une fois debout, la seule chose d'apercevable dans toute cette luminosité c'était une sorte d'ombre onduleuse. Je m'approche et timidement réitéra... ma... ma... ma question ?
Moi : Maman ?
L'ombre se retourna laissant apparaître son visage. Ses boucles se reposent sur ses épaules dévoilant au passage ses yeux noisettes. En croisant mon regard, le sien se vide.
Maman : Eren ? Mon chéri ? Qu'est ce que tu fais ici ? Ne me dis pas que... C'est quoi ses marques sur tes bras ? Ne me dis pas... Eren ! Je t'aime mais ce n'est pas encore ton tour ! Va-t-en. Et n'oublie pas, je veille toujours sur toi... je t'aime mon fils...
Elle me prend la main, me regarde avec plein d'amour et lâche ma main aussitôt. Elle se retourne et ses cheveux reprennent leur ondulation. Me yeux se ferment lorsqu'un lumière blanche m'éblouie sans prévenir. Ce fus le trou noir...
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Teach Me
FanfictionOn s'invente une vie parce qu'on a peur de ne pas être accepter comme « je suis ». On crée toute sorte de mensonges qu'on se force de croire au point d'oublier la vérité. On a peur de perdre les seuls gens qui dans ce chaos ont vraiment du sens pour...