chapitre11.

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Il est là debout en face de moi,son regard bleu me fige,ces cheveux noir sont décoiffés,ces vêtements sentent l alcool mais il reste toujours aussi beau. Et moi je le regarde esperant que sorte de sa bouche les mots que j ai attendue toute la journée mais rien. Il n y à que le silence entre nous.
Alors je dépose mon paquet de biscuit sur le plan de travail,j ai aucune envie de faire le premier pas quand je c est qu il à passer toute sa journée avec miss langue de vipère sens se préocupper de moi. C est mon anniversaire et j aurais aimer un joyeux anniversaire,est ce trop demandé? Je crois que non.
J essaye de partir mais il m attrape le bras me tire contre lui.
Mon coeur bas à cent à l heure je crois bien que nous n avons jamais été aussi proche l un contre l autre,il sent l alcool mais je m en fiche,je suis contre lui et c est ma premiere fois non notre premiere fois. Ces mains passent autour de ma taille et je me sens en sécurité,protégé,c est bête mais j ai l impression que rien ne peu m arriver.
-Joyeux anniversaire.
Me dit il dans le creu de l oreille et je sens mon corps s embrasser d une chaleur,je ne c est pas ce que c est mais sa me plaît. Il me la dit et j en suis heureuse mais...
-Ce n est plus mon anniversaire.
-C est faux,ma jolie, il fit sortir son portable,il est vingt trois heure cinquante huit et j ai le temps de te donner ton cadeau.
Ces lêvres s approche lentement des miennes comme s il me donnait le temps pour refuser,mais à quoi bon? Il me plaît et sa depuis que je l est rencontrée. Je veux qu il m embrasse et sa depuis longtemps.
Ces lêvres se pose délicatement sur les miennes elles sont douces comme le miel. Ces mains se pose sur mes fesses,j entrouve les lèvres pour qu il y trouve un passage. Sa bouche sent la menthe avec un legé alcool. Nos langues se rencontre et s accorde dans un ballet lent et langoureu. Je passe mes mains autour de son cou pour qu il soit bien à mon niveau,je sens mon corps s enflammer lorsqu il me presse à nouveau les fesses. Mon coeur bas plus vite et j en veux plus, j entoure mes jambes contre sa taille il enpogne mes fesses pour me maintenir en place,nous nous embrassons toujours avec passion comme si le monde pouvait s effondrer. Il me dépose sur le plan de travail,ces lèvres descendes sur mon cou le passement de baiser qui me donne pleins de frissons. Je le laisse fait,la chaleur augmente de plus en plus en moi. Il est contre moi et je sens son sexe ce durcit,sa me faire peur et en même temps sa m ecxite. Il me mort le cou comme ci il voulait me laisser une marque,je soulève son pull j ai une folle envie de le touché de le sentit,le désir me donne des ailles. Et je deviens une aventureuse,sa bouche descend sur mon épaul et ces doigts besses les bretelles de mon haut en dentelle. Une de ces mains touchent un de mes seins et je sens des frissons me paccourir tous le corps,ce contact me donne chaud.
Est ce que je suis prêtte? Le doute commence à s installer en moi je le revois avec Kimberley dans le lit,c est sa copine. Je revois Christian me présentent Ange me larguant et mon coeur seigne. J ai pas envie d être l entrée ni la deuxieme roue du carosse.
-Stop.
Il s arrête pose son regard bleu dans le mien ces mains entoure toujours ma taille,il est calme attendent que je parle.
-C est mal.
-Pour quoi?
Il n y a pas de colère dans sa voie juste du calme,il est posé.
-Ta une copine.
Il se separe de moi,et j ai froid il passe la main sur son front et il rire d un rire sens joie.
-Kimberley n est pas ma copine. Je sort avec personne.
-Alors moi je serai quoi pour toi? Il ne me repond pas. Je sais une amie plus aventages,une fille avec qui tu coucherat sens attache. En plus c est pratique elle habite dans ton chalet,à chaque fois dont tu à envie tu peux te servir.
-Je suis pas fait pour les relations,je n est pas envi d être avec quelqu un. Les relations c est de la merde,regarde mes parents mon père est mort et ma mère baise son meilleur ami.
Il avait dire cette phrase avec rage,je voyait sa souffrance dans ces yeux bleux,sa colère dans sa voie mais je ne pouvait rien fait.
Je pouvait pas accepté ce qu il attendait de moi,c était contraire à mes principes et à mon éducation.
-Je suis désolé mais je ne peu pas.
-Tu t ensouviens tu ma demander ce que je veux pour Noël?
-Oui,un plan cul africain.
-C est toi mon plan cul,une belle Ivoirienne.
Alors il voulait de moi mais que pour le sexe,je saute du plan de travail je redresse mes bretelles,lui et moi nous n allons plus jamais allez si loin.
-Oublis,par ce que je suis pas comme Kimberley.
Et je quitte la cuisine il ne me retiens pas et ces temps mieux.
Je monte rapidement les escaliers je ferme la porte de ma chambre et je m assoir le dos contre la porte et je laisse libre cour à mes larmes.

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Je vous aimes.
Bisous.

Un Noël D Hiver.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant