[SNK]Livaï x reader : jour de repos particulier

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Celui là il n'est même plus réécrit, puisqu'il était vide au niveau de l'histoire.

C'est un nouveau.

Donc bonne lecture !

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Cloîtré dans un coin, Livaï répétait le même schéma.

Chaque jour de repos donné par le bataillon laissait un quartier libre à ses soldats.

La plupart allait vers leurs familles, leurs amants, leurs amis.

Livaï n'avait rien de tout ça.

Pour autant il ne voulait pas se retrouver enfermé avec un idiot dans une cave, de ses amis qui l'accompagnaient ainsi que de gros sourcil et de lunettes merdiques, pour tous ensemble entrer dans une communication afin de mieux se connaître.

S'il voulait une putain de thérapie, il la ferait et il préférait que dedans il n'y ait pas d'abruti suicidaire avec des daddys et des mommys issues parce que sa mère s'est fait bouffer par un titan qui était l'ex de son père.

Après tout sa mère était une pute, ce n'est pas pour autant qu'il criait à tout bout de champ bordel.

Livaï partait donc lui aussi.

Assez loin pour ne pas croiser d'abrutis qu'il entraînait, ou de riches qui voudraient savoir ce que cela faisait de "risquer sa vie pour nous, l'humanité supérieure".

Il voulait juste crever, malheureusement il est doué avec les armes, point.

Il alla donc dans un petit village, évitant les chants bourrés et le pub, il vit alors une enseigne briller mais surtout une odeur qui lui titilla le nez.

Et quand il entra et qu'il comprit que cet endroit était consacré à du thé, il décida que lors de ces jours de repos, il irait ici parmi les vieilles du village à boire son putain de pisse mémé.

Cependant il n'avait pas prévu que la propriétaire fasse la discussion.

T/p.

Enfin pendant longtemps il l'a appelé "thé" (ne pas donner de nom à des gens permettaient de ne pas s'y attacher.)

Mais malheureusement même face à ses silences, t/p lui parlait de thé, de leur fabrication ou de ceux qu'elle pensait qu'il aimerait.

Sauf qu'elle était nulle.

Toutes ses recommandations étaient un fiasco pour les papilles de Livaï.

Alors il se décida à ouvrir sa bouche.

- C'est dégueulasse.

- Je savais que le citron allait marcher !

- Quoi ?

- Je me disais qu'au bout d'un moment à force de vous servir de la merde, vous alliez bien vous mettre à parler et à être poli. Mais bon il a fallu plus de 15 jours pour que ça marche.

Il ne savait pas s'il devait la tuer, car son argent était passé dans de la merde ou être admiratif de son courage.

- Pourquoi vous tenez tant que ça à ce que je parle ?

- Est-ce que vous êtes obligés d'écouter à quel point les maris de ces vieilles dames ne les satisfont plus et comment Ginette est volatile car elle a osé porté une culotte courte la semaine dernière et embrasser le livreur de farine ? 

- ...non.

- Alors quand je vois une nouvelle tête j'essaie de me distraire car pas que la vie de ces mesdames ne soient pas passionnantes, mais j'aimerais entendre autre chose que la bite de Roger qui est connu dans le village pour être la meilleure.

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