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Une avalanche de plumes blanches couvrait tout le ciel , j'étais là affalé par terre toute contente d'en recevoir en plein visage .

Il est venu se mettre près de moi et imitait les mêmes gestes que moi c'est à dire intercepter des plumes en envole .

Je suis toute bizarre et intimidé de le revoir après tant d'années . Il n'avait pas changer , son teint noir éclatant brillait de milles éclats , ses dents quasi doré dû à ses origines .

Son mutisme m'encouragea à lui toucher la main pour m'assurer qu'il était bien avec moi .

- C'est bien toi Maodo ? lui demandais je pour le pousser à la parole.

Toujours pas de réponse !

Se me je suis alors mise en position assise . Il était là me regardant sans siller . J'aurais continuer à le fixer à mon tour car j'ai toujours aimer me perdre dans son regard si une marre de sang n'avait pas commencer à ruisseler du coter de sa tempe gauche .

- OH MON DIEU !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Et bam je me suis retrouvé par terre , heureusement je dors sur un matelas sinon j'aurais eu quelque côtes cassés .

Le moment de choc dû à ma chute laisse place à l'étonnement.

Je venais de rêver de Maodo pour la première fois depuis sa mort et c'est pas par défaut d'avoir pensé à lui pourtant depuis tout ce temps.

Alors , pourquoi aujourd'hui ?

Le temps de répondre à mon questionnement mon réveil se mit à sonner bien qu'il fait encore nuit .

Je saute dans la douche prendre un bain , je me suis fais un petit déjeuner vite fait que j'ai finis dans la voiture .

Aujourd'hui c'est le grand jour et chaque minute compte .
Je conduisais comme une forcené sur les routes déserte de la capitale sénégalaise en ce samedi matin .

J'arrive à grand Yoff à 6h00 du matin , à pied bien-sûr et bizarrement habillé pour ne pas dire mal habillé . J'ai dû abandonner ma voiture plus loin .

Deux coups à la portes et ma colocatrice m'ouvri la porte . On se salua brièvement ,il faut dire c'était pas le moment , je suis convaincu d'avoir gâcher son sommeil mais bon.

Monsieur Soumarè avait insisté pour la voiture vienne me chercher pour me déposer chez Socé . Officieusement je loge à grands Yoff avec deux de mes cousines ,les Soumarè ne me connaissent pas une autre adresse donc fallait être là avant que Édouard n'arrive .

Il était 12 h quand on arriva chez maîtresse Ndiaye . Une fois à l'intérieur je faisais celle qui était émerveillé de voir tant de luxe alors qu'en réalité je vérifier s'il y avait des caméras de surveillance ou pas . Effectivement il y'en avait .

- Ah Sira vous êtes là fit la voix de Socé Ndiaye du haut des scaliers où elle se trouvait
Juste derrière elle il y'a une caméra , la centrale je dirais bien, elle doit donner une vue d'ensemble du rez de chaussée vu la circonscription de la villa.

- Oui , excusez mon retard j'habite loin...

- Oh non ne vous en faites pas vous arrivez au bon moment . Aller montez que je vous explique un peu ce que j'attends de vous .

Je la retrouve ainsi au premier étage .

- L'essentiel de ton travail sera concentré ici , je compte sur toi pour t'occuper de mes invités de marque qui sont disons pas du tout facile à satisfaire mais je te fais confiance .

- Vous pouvez être tranquille ....

Je fit coupé par la sonnerie de son téléphone . Vue l'expression de son visage elle n'est pas du toute contente de ce que lui dit son interlocuteur .

IrréversibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant