XXII.

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Akaya.

Akaya

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Après le musée, on est allés manger dans un petit bistrot de Montmartre que monsieur m'avait montré il ya quelques mois et j'avais franchement kiffé le bail, c'est ce genre de restaurant qu'on aime tous: Une ambiance intime du au faible éclairage, des serveurs adorables et serviables et le genre d'endroit fréquentés que par des étudiants d'art qui ne se prennent pas la tête.

Mon amoureux est habillé d'un simple tee-shirt blanc Taka, d'un jean Levis's et de ces Vans blanches. Il est incroyablement beau fin comme toujours. On marche sans direction vers l'inconnu rigolant comme si on se connaissait depuis toujours, c'est la sensation que j'ai quand je suis avec lui, le bien être assuré. Notre relation n'est absolument pas parfaite, on se dispute tous les jours, genre vraiment mais je dirais qu'on s'est engagés en sachant qu'on aura pas que des hauts mais également des bas et il y'aura tout le temps des gens à travers notre chemin et on le sait, on est préparés. Pour se dire je t'aime on attends pas que mille années passent. On se pousse et on se poussera toujours vers le haut; il a eu son bac avec mention et moi également contrairement à ce que prétendaient les gens.

Devant cet hôtel, je me questionne sur le pourquoi du comment je me retrouve ici.

"-T'aimes bien ?" Demande-t-il en le regardant avec son sourire en coin et je peux m'empêcher de sourire également mais d'un grand sourire contrairement à lui comme pour lui répondre l'affirmatif.

Pour seule réponse, il prit ma main fermement comme si il avait peur que je m'envoles et nous entrâmes dans un énorme hôtel qui contraste totalement avec le bistrot de tout à l'heure, je le gratifiais donc d'un froncement de sourcil et d'une question:

"-Qu'est-ce qu'on fout là Alrik? Lui demandais-je dans l'oreille, je sentais les regards sur nous, des regards différents, d'autres attendris et d'autres indéchiffrables dont notamment des filles qui se demandaient comment j'avais réussi à avoir un aussi beau spécimen de mâle.

-On passe la nuit ici ce soir, on se verra pas pendant une semaine vu que tu vas je ne sais où avec les filles donc commence même pas à refuser parce que je vais devoir te porter et après bien évidemment t'auras la honte et tu vas me bouder donc un seul choix, accepte bébé. Dit-il d'une traite avec des grands gestes dignes des pièces de Ionesco.

-J'accepte c'est bon olololo, de toute façon j'ai pas le choix donc allons'y mon gars." Répondis-je en gonflant mes joues telle la gamine que je suis.

On se dirige donc vers l'accueil et Alrik demande une chambre au dernier étage de cet hôtel, I don't know why ?! De toute façon il demande toujours des trucs bizarres ce garçon. Bref, il paye la chambre et on monte dans l'ascenseur direction le dixième étage pour passer une nuit de folie.

Dans l'ascenseur, Alrik qui était derrière moi, se décale à ma gauche comme si j'étais Satan.

"-Mdrrr Alrik, tu joues à quoi? Lui demandais-je de mes grands yeux.

-Putain j'en peux plus."

Après avoir prononcés ces mots à la vitesse du vent, il se jeta sur mes lèvres, enfin. Il m'embrassait avec une énergie monstre comme si on allait se quitter à la minute qui suivait, il léchait, mordait, suçait mes lèvres de toute ses forces. Devant notre suite, il ne s'arrête pas même pendant qu'il essayait d'insérer la carte magnétique. La porte ouverte, il me poussa d'une violente délicatesse dans la chambre en m'arrachant ma belle robe rouge que j'avais seulement acheté pour sa gueule.

Il m'attira sur le lit et me fit coucher de la manière la plus douce que j'ai jamais vu sur ce grand lit. Il commença par me lécher le cou en descendant lentement vers mon bas ventre en gardant tout de même un contrôle sur ma bouche et mes yeux, il arrêta tout mouvement quand ces yeux rencontrent ma culotte qu'il déchira de ses belles dents blanches, son iris devint noir de désir à la vue de ma fleur blanche qu'il embrassa puis perla de manière lente, je commençais alors à perdre le contrôle sur ma voix, mon corps qui se tortillait à ses coups de langue qu'il enfonçait en moi. Il arrêta tout mouvement et remonta à ma bouche.

"-Tu es délicieuse, je t'assure, t'es sure que tu veux aller plus loin bébé? Demande-t-il entre deux baisers

-Oui Alrik, j'en ai putain d'envie aussi donc évite les questions." Répondis-je en bégayant.

Après ça, Alrik, malaxant ma poitrine de sa main gauche, enfouit ses doigt en moi, pour la première fois de ma vie je découvrais le plaisir charnel. Tout à coup, il m'agrippe les fesses et échangea de position, il mène clairement le jeu, il remporte alors toute son attention sur ma poitrine et se remit à la mordre, sucer et lécher. Sans m'y attendre, il s'aventura en moi avec une force animale et j'émets mon premier orgasme, son prénom. Il me regarda alors les yeux pétillants de désir comme si j'étais la septième merveille du monde et on s'écroula dans le lit tout les deux.

"-Tu est si serré Akaya, si fragile." Dit-il en me regardant

Je ne répondis pas, beaucoup trop fatigué et m'assoupis sur le matelas sous son regard redevenu pétillant. Je pourrais pas décrire à quel point j'aime cet homme.

Fin.


***

Ok guys, c'est la fin. Je voulais pas faire une longue fiction qui finit mal et tout.

Franchement, j'ai kiffé écrire ça. J'espère que vous avez kiffé la lire, c'est important quand même mdrr. 

Je suis là pour répondre à vos questions bien évidemment et une nouvelle fiction arrive très prochainement. 

Dude. [Réédition]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant